Gardon

troisième création de se collectif qui c’est formé en 2005. Il à été créé en Juin 2009 au théâtre de Gennevilliers dans le cadre du festival TJCC organisé par Laurent Goumarre et Pascal Rainbert. Il a pour producteur le collectif lui-même, et le Grand Gardon Blanc. La coproduction est assurée par le théâtre « La rose des vents » de Villeneuve d’Ascq. Il à également reçu le soutien du théâtre de Vanves et de La Ménagerie de verre à Paris Pour défendre leur théâtre le collectif a écrit un Manifeste où

l'homme a le besoin d'affirmer sa culture, de laisser une trace humaine sur le territoire naturel. Pour reprendre l'analyse de Hegel, dans l'Esthétique, l'homme ressent le besoin de transformer le monde extérieur, pour qu'il lui ressemble. Mais nous gardons toujours cette idée que la nature est protectrice, bienfaisante, maternelle à l'égard de l'homme ; et que son éloignement est une folie, comme celle d'un garçon un peu fou qui romprait les ponts avec sa propre famille. Ce paradoxe entre la réalité

développement durable : l’Etat, les Collectivités Locales, les Entreprises et les Citoyens. Travaillant chez Carrefour, je me suis intéressé de plus près au développement durable dans les grandes enseignes comme Carrefour, Leclerc et Intermarché. Gardons à l'esprit que les principes de base de la Grande Distribution sont : - dévoreuses d'espaces (en périphérie des villes et ailleurs), - de matières (elles poussent toujours à la surconsommation), - et d'énergie (induit par la surconsommation et l'utilisation

lève, et marcher dans la rosée, le long des champs, au bord de la mer calme, quelle ivresse !     Quelle ivresse ! Elle entre en vous par les yeux avec la lumière, par la narine avec l'air léger, par la peau avec les souffles du vent.     Pourquoi gardons-nous le souvenir si clair, si cher, si aigu de certaines minutes d'amour avec la Terre, le souvenir d'une sensation délicieuse et rapide, comme de la caresse d'un paysage rencontré au détour d'une route, à l'entrée d'un vallon, au bord d'une rivière

dans le tourisme vert, nous rapprocherons plus ce plan d'affaire de la notion de Vision statement (c'est-à-dire un texte d'anticipation) que de celle de Business plan. Néanmoins, nous conserverons la rigueur nécessaire à la viabilité du projet : gardons en mémoire les qualités relationnelles, les compétences en gestion et les capacités d'innovation indispensables au porteur de projet, et surtout les compétences managériales "insolites", comme, par exemple, savoir dire "non". Alain Blayo IML projet

Baudelaire l’accusait d’avoir voulu s’insérer entre son maître, Ingres, et Delacroix qu’il aurait voulu « détrousser ». Heureusement, Henri Focillon, dans les années 1930, ne voulait que voir son humanisme, sans chercher à expliquer sa peinture. Gardons simplement en mémoire que ce Français des Antilles était nourri de plusieurs terres, de plusieurs maîtres. Il cherchait à réunir dans un même élan de jeunesse, la délicatesse de l’intime, les mythes antiques, le sacré des chrétiens et la poésie de

vous embrasse tous) ¤ I’m looking forward to hearing from you. (= je suis impatient d’avoir de tes nouvelles) ¤ I hope to hear from you soon. (=j’espère avoir de tes nouvelles bientôt) ¤ Take care, (= prends soin de toi) ¤ (Let’s) keep in touch (= gardons le contact) ¤ Write back soon (= réponds moi vite) ¤ Best wishes / Kindest regards, (= amitiés) ¤ See you soon , ¤ (With) love from / Love and kisse (= je t’embrasse / bien amicalement) Plus familier : ¤ Love to all, ¤ Love from us all, ¤ All the

des perturbations de perception. Pour Linda Stone, qui a étudié l’attention partielle continue, chaque interruption dans notre attention nous coûte 25 minutes de productivité et nous passons un tiers de nos journées à essayer de les récupérer. Nous gardons en moyenne huit fenêtres ouvertes sur nos écrans d’ordinateur et l’on passe en moyenne de l’une à l’autre toutes les 25 secondes. Les gens qui vérifient constamment leurs mails ont été diagnostiqués comme moins attentifs que ceux qui ont fumé de la

sélection draconienne des textes. La question de la censure est donc légitime. Même si elle n’existe plus sous sa forme officielle, force est de constater que les règles de notre société de consommation ont amené une nouvelle forme de censure. Aussi gardons-nous de célébrer le médiatique. Et l’écrivain ou l’artiste engagé n’est pas forcément celui qui est médiatique. On est parfois plus acerbe dans la salle en proclamant que ceux qui se donnent en spectacle à la télévision sur un air engagé pourraient

quartier, en se basant également sur l’expression « MARSEILLE EST UN VILLAGE » pour réaliser notre campagne. Le but principal est de garder l’authenticité du dessin, cependant tout en représentant les couleurs d’EAT SUSHI. En d’autre terme, nous gardons les mêmes personnages et leurs positionnements sur la caricature et on insére les éléments de notre marque. Nous commencons tout d’abord le logo Eat Sushi en haut, à gauche couvrant le « bar » [pic] Ensuite, a gauche de la table, nous insèrerons