Gardon

guerre en 1914. La première guerre mondiale inaugure de nouvelles formes de combats également d’autres formes de reportages photographiques, mais c’est en 1916-1917 que la photographie devient majoritaire dans les journaux. C’est pour cela que nous gardons encore de nombreuses représentations de la grande Guerre. Dès le début de la guerre, un reporter-photographe était présent dans chaque régiment. Mais après huit mois de conflit, le ministère de la Guerre en accord avec le ministère de Affaires étrangères

qu’il n’a pas eu peur. En parlant avec Nicolas, Cyprien découvre qu’en fait s’était des chouettes hulottes. Toute sa vie il s’était trompé. Aux yeux de l’enfant, il ne veut pas rester sur une défaite, et leur propose d’aller tous ensemble pêcher le gardon et que le plus gros serra pour lui. Caro sourit : ce besoin qu’a son grand-père d’être le plus fort montre qu’il va bien. Ma reflexion sur ce livre Cyprien ne rentre pas en maison de retraite par choix : c’est une obligation car il est gravement

de grands yeux immenses que le bébé referment aussitôt avec un hurlement et se peint alors sur le petit visage, une indicible douleur ! L’ombre n’est elle pas plus apaisante ? Ne ferme-t-on pas les yeux pour mieux écouter, pour se délasser ? Gardons juste ce qu’il faut d’éclairage pour voir ce que l’on fait, surveiller que la mère ne risque pas de se déchirer, observer l’état de l’enfant.

c’est souvent là que ça se passe ! L’expérience montre que les grandes innovations viennent de petites choses qui ont d’abord été méprisées ou ignorées. Cela a été les cas pour internet, les moteurs de recherche, les mangas, le rap, le streetwear…Gardons l’esprit libre : ce que l’on méprise ou dénigre aujourd’hui sera peut-être notre principal concurrent demain. […] Plus mon entreprise grandit, plus ma responsabilité s’accroît : vis-à-vis de mes associés, de mes collaborateurs, des internautes et

c’est souvent là que ça se passe ! L’expérience montre que les grandes innovations viennent de petites choses qui ont d’abord été méprisées ou ignorées. Cela a été les cas pour internet, les moteurs de recherche, les mangas, le rap, le streetwear…Gardons l’esprit libre : ce que l’on méprise ou dénigre aujourd’hui sera peut-être notre principal concurrent demain. […] Plus mon entreprise grandit, plus ma responsabilité s’accroît : vis-à-vis de mes associés, de mes collaborateurs, des internautes et

qui était le premier des humains. Personne dans sa ville ne pouvait contempler son destin sans envie. Aujourd’hui, dans quel flot d’effrayante misère est-il précipité ! C’est donc le dernier jour qu’il faut, pour un mortel, toujours considérer. Gardons-nous d’appeler jamais un homme heureux, avant qu’il ait franchi le terme de sa vie sans avoir subi un chagrin.» (Œdipe roi de Sophocle) La fatalité Le mot fatalité vient du latin «fatalis», de «fatum» signifiant le destin. C’est la fatalité qui

prudence. Rappelons qu'à l'époque où écrivaient Man Ray et Paul Eluard, le féminisme était encore loin d'être populaire, ou même pensé, et la conception de la femme pouvait s'inscrire dans certains symboles tels que la couture. Cependant, attention ! Gardons-nous d'interpréter trop hâtivement peut-être cette conception comme le signe d'un quelconque misogynisme de la part des auteurs. Rappelez-vous que Paul Eluard était un grand adorateur de la femme, et que Man Ray allait jusqu'à détourner des objets

C’est sans doute aussi pour Molière une façon d’opposer aux signes falsifiés de l’astrologue des signes véritables, ceux de l’amour. Dans la réplique de Sostrate, il y a une opposition entre « laissons-la voir » et « gardons bien […] qu’elle en apprenne jamais rien » : le déchiffrement des signes est autorisé, l’amour peut se déclarer par le non-dit, par les signes extra-verbaux. MAIS l’aveu, le discours, sous-entendu par « nulle autre voie », est interdit. L’amour

Près du ruisseau, sous la feuillée, Menons la Muse émerveillée Chanter avec le doux roseau, Puisque la Muse est un oiseau. Puisque la Muse est un oiseau, Gardons que quelque damoiseau N'apprenne ses chansons nouvelles Pour aller les redire aux belles. Un méchant aux plus fortes ailes Tend mille pièges infidèles. Gardons-la bien de son réseau, Puisque la Muse est un oiseau. Puisque la Muse est un oiseau, Empêchons qu'un fatal ciseau Ne la poursuive et ne s'engage Dans les plumes

but [20]» --------------------------------- [ 1 ]. Gai savoir, § 109, énoncé précédé de « Gardons-nous de déclarer qu’il y a des lois dans la nature. Il n’y a que des nécessités : là nul ne commande, nul n’obéit, nul ne transgresse. Dès lors que vous savez qu’il n’y a point de but, vous savez aussi qu’il n’y a point de hasard. Car ce n’est qu’au regard d’un monde de buts que le mot hasard a un sens. Gardons-nous de dire que la mort serait opposée à la vie. » [ 2 ]. Ouvres posthumes, §3. [ 3 ].