Gare ferroviaire

Titre : La gare Saint-Lazare. Auteur : Claude MONET (1840-1926) Date de création : 1877 Date représentée : 1877 Dimensions : Hauteur 75.5 cm - Largeur 104 cm Technique et autres indications : Huile sur toile Lieu de Conservation : Musée d'Orsay (Paris) ;   Contexte historique Symbole de la révolution industrielle naissante, le chemin de fer se développe en France à partir des années 1820. Longtemps considéré comme une curiosité, un " jouet " selon Thiers, il devient sous le Second

27 Pirmil Gréneraie Placis Bignons Gripots Gare de Vertou Nord Chalonges Pôle Sud La Herdrie Vertou Pirmil Gréneraie Placis Bignons Gripots Gare de Vertou Nord Chalonges Pôle Sud La Herdrie Vertou 6.48 6.51 6.53 6.58 7.01 7.04 7.05 7.06 7.11 7.03 7.06 7.08 7.13 7.16 7.20 7.21 7.22 7.28 7.19 7.22 7.25 7.30 7.33 7.37 7.38 7.39 7.45 7.41 7.44 7.47 7.52 7.55 7.59 8.00 8.01 8.07 7.58 8.01 8.04 8.09 8.12 8.16 8.17 8.18 8.24 Pirmil 8.19 8.22 8.25 8.30 8.33 8.37 8.38 8.39 8.44 8.40 8.43 8.45 8.50 8

extrêmement dense en semaine. Les flux de population – La Gare Saint-Lazare. Un brassage social facilité par les transports en commun. On ne peut penser cette ville sans prendre en compte sa banlieue. Le visage de Paris; c'est la ville à l'intérieur du bd périphérique et la banlieue. Cette dernière se déverse chaque jour dans Paris; cela est permit par moyens de locomotion, et les Pinçon se sont attardés sur l'exemple de la gare Saint-Lazare, qui est selon eux un endroit clé dans la distribution

che passa qualcuno. Tono lamentoso, con pretese | | | |di cattiveria. Non appena vede un posto libero, vi si butta. Due ore piú tardi lo incontro alla Cour de Rome, | | | |davanti alla Gare Saint-Lazare. È con un amico che gli dice: «Dovresti far mettere un bottone in piú al | | | |soprabito». Gli fa vedere dove (alla sciancratura) e perché. |

en latin, il est le tout premier texte du roman. En effet, il présente le cadre où se déroule l'histoire, ainsi que les personnages, l'époque et l'action. Dans ce passage Zola situe l'action dans un cadre urbain, plus précisément à Paris, « la gare Saint-Lazare » ligne 1; « au milieu du vaste Paris » ligne 6; « rue de la Michodière »ligne 8; « la place Gaillon » ligne 9; « Saint Roch » ligne 22. Le magasin « Au bonheur des Dames » est lui aussi situé et décrit pour les lieux qu'il occupe : «

Yvonne avec un rictus aux lèvres.) Quatre heures dix! Lucien. - Comment, "dix"! Yvonne, coupante. - Evidemment! La pendule retarde de dix minutes! Lucien. - C'est pas possible, elle bat la breloque... Tout à l'heure, quand je suis passé devant la gare Saint-Lazare... Yvonne. - Oui! Oui! tu vas me dire qu'il était minuit! Lucien. - Minuit, non, mais... Yvonne. - Mais si! mais si! c'est une chose connue: quand les maris découchent, les pendules de leurs femmes battent toujours la breloque... Lucien

14 mots dont l'énonciation dura 5 secondes et qui faisaient allusion à des déplacements involontaires de 15 à 20 millimètres. Il va ensuite s'asseoir à quelque 2 m. 10 de là. SPECIALISTE 2 : 118 minutes plus tard il se trouvait à 10 mètres de la gare Saint-Lazare, entrée banlieue, et se promenait de long en large sur un trajet de 30 mètres avec un camarade… SPECIALISTE ZELE : âgé de 28 ans, taille 1 m. 70 et pesant 71 kg. qui lui conseilla en 15 mots de déplacer de 5 centimètres, dans la direction

ports, présente au Salon de Paris le tableau intitulé Les Docks de Cardiff. Comme Whistler, autre peintre américain de Nouvelle-Angleterre qu'avaient séduit les paysages londoniens ou comme Monet qui avait magnifié le chemin de fer dans son tableau La Gare Saint-Lazare, Walden s'inscrit ici dans un mouvement qui considère les paysages industriels enfumés comme dignes du regard de l'artiste, contrairement à toute une tradition qui refusait ce statut au monde de la machine. Ce qui frappe dans ce panorama

manque d'affection auprès de ses amis proches ou de son oncle Édouard, pour qui il ressent une affection très particulière et réciproque mais qu'aucun d'eux deux n'arrivent à exprimer. Bernard rencontre Édouard en « volant » sa valise laissée à la gare et découvre ainsi l'existence de Laura, amie de l'écrivain et enceinte de Vincent, le frère d'Olivier. Édouard s'amuse de la valise disparue et propose à Bernard de l'accompagner avec Laura en Suisse ainsi que d'être son secrétaire. À leur retour

cet extrait seuls ces deux personnages, la mère Victoire et Roubaud, sont cités. On apprend que Roubaud est sous chef de gare habitant « impasse d'Amsterdam » dans une chambre prêtée par la mère Victoire. Zola décrit les lieux dans un mouvement qui va de l’intérieur, la chambre, vers l’extérieur, le quartier de l’Europe puis la gare. Il les décrit avec beaucoup de détaille « la gare, cette tranchée large trouant le quartier de l'Europe » . Dans cet extrait, les machines (trains) occupent une grande