Gauvain

aussi courtoisie et noblesse d'esprit. La Douloureuse Garde Parvenu à l'âge de dix-huit ans, il pressa la fée Viviane de l'introduire auprès du roi Arthur pour être adoubé chevalier. Grâce à son appui, mais aussi grâce à l'aide du chevalier Gauvain, neveu du roi, il fut fait chevalier le lendemain même, jour de la Saint-Jean. C'est durant cet adoubement qu'il remarque celle qui sera sa dame, mais qui provoquera aussi sa perte, la reine Guenièvre. Ébloui par celle-ci, il va à sa rencontre et

pour sortit du château et sauver trois cent jeunes filles faites prisonnières par les deux démons. Yvain tuera les deux démons avec son Lion et ira combattre à la cour du roi pour défendre la cadette de Noire-Epine. Il arriva au château et combat Gauvain qu’il n’avait pas reconnu. Le combat s’arrête quand les deux amis se reconnaissent ; le roi Arthur décida

différentes influences politiques que l’auteur français a connu de sa jeunesse jusqu’à sa mort, met en avant la lutte épique opposant les royalistes et républicains entre 1793 et 1794. Au chapitre X du livre quatrième, alors que les républicains de Gauvain et Cimourdain assiègent la Tourgue afin d’y déloger Lantenac le contre-révolutionnaire, Hugo nous rappelle la présence du sergent Radoub. Personnage courageux et intelligent, Radoub se porte volontaire pour infiltrer la tour alors que le combat entre

personnages que nous avons affaire. Au sommet de cette hiérarchie se trouvent les figures jumelles de Perceval et de Gauvain. Entre les deux personnages existe une affinité qui n’a, au départ, même pas besoin de passer par la parole : Gauvain devine les dispositions secrètes de Perceval sans rien connaître de son histoire. Cette prédisposition se voit d’ailleurs par le fait que Gauvain apparaisse comme le détenteur des règles de savoir-vivre en appliquant notamment le précepte enseigné à Perceval par

neveu Gauvain qui lui est passé du côté des révolutionnaires et qui a un tuteur dénommé Cibourdain qui est mandaté par le comité de salut public… Quatre vint treize présente donc les plus terribles années de la révolution française en s’appuyant notamment surtout sur la terreur selon la volonté de l’auteur. La confrontation de deux modèles, de deux visions de l’histoire et de deux systèmes de valeur sont très présents dans le roman quatre vingt treize. Lanternac pour l’ancien régime, Gauvain pour

table autour de laquelle Arthur réunissait ses fidèles et meilleurs chevaliers. Le siège périlleux est le siège de la table ronde ou seul le vainqueur de la quête du Graal pourra s'asseoir. La ceinture verte est la ceinture qui a été donnée à Gauvain par la femme de Bertilak pour le protéger de la mort. Le saint Graal est un objet d'une grande richesse spirituelle, but de la quête du roi Arthur. On l'assimile à la coupe dans laquelle le Christ aurait bu lors de la Cène et dans laquelle Joseph

sous les yeux désespérés de la reine Hélène. C'était en fait le passage obligé pour rejoindre le château de Viviane. Elle l'appella Lancelot du Lac. Elle l'éduqua afin d'en faire le chevalier parfait pendant 18 ans. Grâce à l'aide du chevalier Gauvain, fils légitime du roi Lot d'Orcanie et de la reine d'Orcanie et neveu du roi, il fut fait chevalier. C'est durant cet adoubement qu'il remarque la reine Guenièvre. le coup de foudre est réciproque. Celle-ci lui apprend qu'il doit délivrer des maléfices

en |Lecture magistrale du texte en AF, | | |Ancien français: Ch.XIV: Yvain et |ancien français d’après la copie de |puis en FM, confrontation des deux | |OL |Gauvain |Guiot et en français moderne, éd° |textes à l’aide d’un questionnaire, | | | |Ecole des Loisirs. |tentative de traduction

elles) à Paris. Cette partie est dominée par le personnage de Gauvain, neveu de Lantenac élevé par Cimourdain. Chaque personnage est ici associé à un lieu. B. Organisation tertiaire trois figures s'opposent dans un roman apparaissant petit à petit comme un combat entre l'ombre et la lumière. On peut noter un dénouement ahistorique : il devrait se terminer par le triomphe de la Révolution et de Napoléon, hors Lantenac est victorieux, Gauvain est guillotiné et Cimourdain se suicide. Ce parti pris

(2h) Objectifs : - Découvrir les règles et les codes du combat singulier - Comprendre son rôle dans la constitution de la figure du héros Textes support : combat d’Yvain et d’Esclados le Roux (texte complémentaire) ; combat d’Yvain et de Gauvain (p. 79-82) I - Deux récits de combats 1. Le contexte du combat - Quel est le point commun entre ces deux textes ? (Ils racontent tous deux un combat entre deux chevaliers. Yvain participe à chacun des deux combats