Gazoduc

Cependant, à chaque fois que l'Ukraine regarde un peu trop vers l'ouest, Moscou par l'intermédiaire de sa grande compagnie gazière "GAZPROM" menace de couper les robinets de gazoducs. Or, la consommation de gaz ukrainien vient essentiellement de Russie. Et c’est aussi par le territoire ukrainien que passent les principaux réseaux de gazoducs qui alimentent une grande partie des besoins énergétiques de l’Union européenne. Cette dépendance permet à la Russie, en plus de redresser son économie, d'utiliser ses

public pour l’entretenir. Rue de l’Afrique - Sur la deuxième photo, on peut voir que c’est un chantier qui n’a pas encore commencé, mais c’est aussi pour un remplacement de lampadaires. Dans ce cas précis, il y a un problème, sous cette rue, passe un gazoduc situé proche d’habitations et une entreprise est chargée de poser une plaque de métal pour protéger et le réseau (en cas de travaux à proximité) et les riverains (en cas d’explosion), la réglementation actuelle l’impose. Mais, la conduite de gaz se

kilomètres de profondeur. L’exploitation nécessite des forages horizontaux très profonds et une fracturation hydraulique de ces roches profondes, compactes et imperméables. Le gaz remonte à la surface à travers un tube en acier puis rejoint un gazoduc. * Consommation d’eau élevée durant l ‘extraction On doit utiliser 15000 à 20000 m3 d’eau par puits. De plus, cette eau reçoit des additifs et se charge souvent de métaux lourds présents dans les puits. * Risques de pollution Ainsi

être piégé dans la roche et qui ne peut pas être exploité de même façon que les autres gaz. L’exploitation de ce gaz nécessite en effet des forages horizontaux et une fracture hydraulique de la roche pour permettre à celui-ci de remonter dans le gazoduc. La fracturation de la roche se fait en injectant de l’eau mêlée à plus de 596 produits chimiques tel que le benzène, le plomb, etc… Ces composants chimiques polluent l’eau qui de ce fait n’est plus potable. De plus ce procédé engendre des conséquences

certains chercheurs, la priorité actuelle du Kremlin n’est pas tant d’assurer la prospérité du pays que de créer une machine de projection de puissance qui puisse se substituer à la défunte Armée rouge. Cette machine, c’est le réseau des oléoducs et des gazoducs que le gouvernement russe n’entend pas laisser échapper à son contrôle, pas tant pour des raisons économiques que parce qu’il représente le socle sur lequel la Russie veut bâtir son hégémonie en Europe. Le bilatéralisme pour peser dans l’Union européenne

d’appoint. - Klaus Lackner, géophysicien, a l’idée de mettre en place des arbres artificiels, dont les branches recouvertes de soude caustique capterait le CO2 et créerait ainsi une solution liquide de bicarbonate de sodium qui serait évacuée par gazoduc, traitée et stockée. Un projet qui séduit par sa faisabilité et son coût modéré. - Un projet suédois réside dans la création d’atolls artificiels aux pieds des éoliennes qui créeraient, grâce à des turbines, de l’électricité lorsque les éoliennes

native. Seul le souffre, présent parfois, est réellement indésirable car polluant. -Le combustible fossile le moins polluant et le moins émetteur de dioxyde de carbone. -Le transport de gaz est facilement réalisé par des canalisations appelées gazoducs. Les méthaniers (bateaux transportant le gaz naturel sous forme liquide) servent aux transports intercontinentaux. -En cas de rupture de canalisation, le gaz naturel se détend puis, plus léger que l'air, se disperse dans l'atmosphère. Ainsi les

naturel sur plus de 160 kilomètres et ce produit a été gaspillé pendant des années car brûlé sur place. Le transport du gaz naturel sur de longues distances s'est généralisé au cours des années 1920, grâce aux progrès technologiques apportés aux gazoducs. Après la seconde guerre mondiale, la consommation de gaz naturel s'est développée rapidement en raison de l'essor des réseaux de canalisation et des systèmes de stockage. Dans les premiers temps de l'exploration du pétrole, le gaz naturel était

dépendante du gaz russe, qui représente ¼ de ses besoins. Le gaz est monopole d'Etat: Gazprom contrôle 90% de la production, 100% du transport. La tarification est variable: les prix sont bas sur le marché intérieur, quatre fois plus cher en France. Les gazoducs passent par les anciens satellites, ce qui donne à la Russie un pouvoir géopolitique considérable. Problème de répartition des ressources de la mer Caspienne entre les pays nés de l'éclatement de l'URSS => conflit sur le statut de la mer Caspienne:

serre (occasionnée par les fuites de tubage ou de gazoducs, par les remontées de gaz après exploitation, par la migration du gaz par le sol vers la surface, la fumée des torchères). Le méthane a un pouvoir de réchauffement global 21 x plus élevé que le CO2 ! – utilisation de 500 à 1000 camions par puits ; routes dégradées, bruit, CO2 – dégradation des paysages (terres rasées, puits laissés tels quels après exploitation, routes refaites, gazoducs) – sous-sol fragilisé par les fissures (secousses