Gazoduc

réseau de pistes devra relier entre tous ces puits pendant la période de forage pour permettre le passages d'engins et camions, et après, pendant la phase d'exploitation, si le gaz est évacué par citernes. Si le gaz est évacué par gazoduc, c'est tout un réseau de gazoducs à construire pour relier tous ces puits d'abord entre eux puis et à un centre d'évacuation sur le réseau national. * Pour se rendre compte de ce à quoi correspondent « en vrai » les atteintes aux paysages, causées par l'exploitation

diamant, etc.) et énergétiques (pétrole, gaz naturel, hydroélectricité) abondantes appelées hydrocarbures, qui en font l’un des principaux producteurs et exportateurs mondiaux. Ces derniers sont transportés grâce à un important réseau d’oléoducs et de gazoducs. Par ailleurs, certains gisements ne sont pas exploités (comme par exemple celui juxtaposé au bassin de Léna ou encore celui situé près de la mer de Kara). Elle dispose donc de nombreuses réserves, ce qui justifie le fait qu’elle possède les premières

la maîtrise du territoire sont tout d'abords les axes terrestres majeur comme Landbridge, pont multimodal reliant les rives de l'Atlantique et du Pacifique. Nous trouvons d'autres réseaux comme les rails, les tubes qui sont des oléoducs et des gazoducs. En raison du poids économique des hydrocarbures, ils jouent un rôle majeur dans les solidarités américaines. Ils permettent de relier les côtes est et ouest du continent. Les axes Fluviaux comme le Mississippi, qui pendant l'époque précolombienne

pays importateurs. Alors que 80% de la consommation de charbon se fait dans le pays de production, 57% du pétrole consommé l’est en dehors de son pays de production : la circulation des hydrocarbures impose la construction de conduites (oléoducs, gazoducs) et de navires spécialisés (supertankers, méthaniers). La domination des énergies fossiles pose la question de la sécurité des approvisionnement (état des réserves, accès aux ressources) car les techniques d’extraction du pétrole sont de plus en

grande campagne destinée à engranger des contrats gaziers à l’Est comme à l’Ouest comme le rapportait mi-octobre le quotidien Le Monde. Selon ce journal, « L’Europe est aussi dans la ligne de mire de Vladimir Poutine qui défend ses deux projets de gazoducs : North Stream, lancé en coopération avec les Allemands, destiné à acheminer le gaz via la Baltique et South Stream, en partenariat avec les Italiens qui transporterait le gaz russe depuis la Caspienne ». Si l’on croit ce quotidien, les dirigeants

milite depuis plus que 6 ans pour la fondation d’un « OPEC du gaz ». D’un côté, la RPC a les ambitions de mettre sa main sur les ressources énergétiques de la région. Et, un lancement d’oléoduc liant le Kazakhstan et la Chine en est une preuve. Le gazoduc Turkmenistan-Uzbekistan-Kazakhstan-Chine, et le travail sur les chemins de fer, liant la Chine au Kirghizistan et à l’Ouzbékistan, en sont les autres preuves des mains chinois qui s’étendent doucement partout en Asie Centrale. Donc, la RPC a l’occasion

transporté par voie terrestre à travers des gazoducs qui sont constitués de tubes d'acier de 20 à 42 pouces8 de diamètre. Le gaz est acheminé sous haute pression des stations de compression disposées tout au long de la canalisation. Ces stations maintiennent la pression du gaz au niveau souhaité. Comparé à d'autres sources d'énergie, le transport du gaz naturel est très efficace étant donnée la faible part d'énergie perdue entre le départ et l'arrivée. Les gazoducs sont un des moyens les plus sûrs de distribution

canadienne. Il suffit d’observer d’un peu plus près pour déceler quelques failles dans le résonnement. On fait ici allusion à l’important port construit en 2006 à Gwadar qui sert majoritairement à l’exportation de pétrole ou encore au projet de gazoduc Turkménistan - Afghanistan - Pakistan - Inde qui débutera cette année (2010) . Contrairement à cela, l’Argentine, qui est largement touchés par les changements climatiques, notamment par la fonte des glaciers, sont moins enclins d’appuyer le Canada

les flux matériels et les flux immatériels. Ces flux sont possibles grâce à des réseaux c’est à dire différents circuits qui mettent en relation les hommes et les lieux entre eux. Ces réseaux sont visibles comme les routes, les ports, aéroports, gazoducs ou oléoducs ou invisibles comme internet. Les échanges se multiplient et favorisent ainsi certaines zones du monde comme la Triade ou les puissances émergentes comme la Chine et l’Inde. II) Les acteurs de la mondialisation. (Espaces, pays

PFC et SF6 participent à hauteur de 4% à ces émissions, au même titre que le méthane. Ce dernier gaz ne sera toutefois pas pris en compte, puisqu'il provient quasi exclusivement de la production d'énergie (extraction du charbon et pertes dans les gazoducs). ← ← La part du secteur de l'industrie dans les émissions de gaz à effet de serre de la France est de 23%, comme l'illustre le schéma ci-dessous. L'industrie se situe au troisième rang des secteurs considérés. ← ← Les émissions