Générations futures

passé, c’est demeurer vigilant et être capable de déceler ce qui dans notre temps risquerait de s’avérer une répétition sinistre du passé. Il paraît donc important de donner à l’enseignement de l'histoire une place de premier plan, afin que les générations à venir ne demeurent pas aveugles au présent ; l’enseignement de l’histoire tend en effet à montrer que le présent n'existe que parce qu'il a été fait par un passé. Pourtant, ce consensus autour de la valeur de l’histoire ne suffit pas à

se soucier des générations futures? Et si les actes que nous posons maintenant pouvaient hypothéquer leur avenir? Et si nous commencions à nous soucier de celles-ci mais qu’en tenant de prévenir leur destruction nous nous imposions un fardeau trop lourd à porter à l’égard des générations futures? Plusieurs dilemmes s’imposent. Prenons d’une part, les partisans qui ont le désir de gérer les actes des générations actuelles en vue de tenter d’offrir un avenir meilleur aux générations à venir. Puis d’autre

question : faut-il oublier le passé pour avoir un bon avenir ? 2 idées quasiment opposées seront développées : vivre le passé nous détourne de l’avenir et ignorer le passé nous en détourne aussi. S’en suit le développement de la troisième idée : avenir et futur sont-ils des synonymes ? Prendre conscience du passé nous permet-il d’avoir un bon avenir ? Tout d’abord, commençons par la vie centrée sur le passé. Il suffit d’un mauvais moment, une mauvaise passe dans notre vie pour se tourner vers le passé et

destructeurs pour la possibilité future d'une telle vie» ; ou simplement : « Ne compromets pas les conditions pour la survie indéfinie de l'humanité sur terre » ; ou encore, formulé de nouveau positivement : « Inclus dans ton choix actuel l'intégrité future de l'homme comme objet secondaire de ton vouloir ». On voit sans peine que l'atteinte portée à ce type d'impératif n'inclut aucune contradiction d'ordre rationnel. Je peux vouloir le bien actuel en sacrifiant le bien futur. De même que je peux vouloir

1- Une génération est toujours porteuse des suivantes. - Comment ne pas se sentir aujourd’hui héritier des bonheurs et malheurs de la génération 68 ? - La génération d’avant mai 68 a vu l’apparition d’une génération désabusée , lassée et asphyxiée.Cette génération si bien décrite par Françoise Sagan dans Bonjour Tristesse. En effet, une génération après Mai 68 lui succède et c’est celle des années 70 , qui choisissent la marginalité , l’indépendance de la jeunesse, les expériences

le coup ) et c'est le fait d'ignorer celles ci qui fait que l'homme peut profiter pleinement et réaliser ses plus grands fantasmes, je dirai même surpasser ses limites; il est dit que « je peux vouloir le bien actuel en sacrifiant le bien futur », n'importe qui pourrait profiter pleinement de sa vie à sa manière et se dire qu'après tout, il n'en a qu'une seule; le but de la vie ( si il en existe vraiment un ) n'est surement pas de vivre longtemps mais plutôt d'en profiter ( il

sortes de marionnettes.. Et bien je suis désolé, mais c'est comme ça que je me détends. J'avance avec le monde alors que toi tu restes en retrait en ayant peur du futur... Exactement ! J'ai peur du futur mais pas pour moi, c'est pour vous, vous vous imprégnez d'une paresse qui vous mènera à votre pertes ! Et bien ceci est la nouvelle génération ! Je le sais très bien, tout ce que tu dis n'est pas faux, en plus je sais aussi qu'il y a déjà eu des morts dû à ces nouvelles technologies mais as-tu déjà pensé

Depuis de nombreuses années, nous avons pu voir évoluer différentes sortes de cultures et de générations. Chaque génération essaie de transmettre au fil du temps la culture qu’on lui a inculqué. Nous allons nous demander si le fait de préserver une culture commune entre les générations nous semble important. Pour cela, nous verrons dans un premier temps, en quoi consiste cette culture commune, puis dans un second temps, nous verrons comment nous conservons cette culture au fil des années.

construire un présent sans refaire les mêmes erreurs. Et essayer de transmettre aux générations qui suivent ses erreurs du passé. Les Deux articles du Monde et figaro débattent en grande parti sur cette question. Hannah Arendt évoque plus le fait de transmettre aux plus jeunes générations cette culture historique. Sur la photo prise sur le camp d’Auschwitz, explique le devoir de mémoire. Les nouvelles générations ne veulent plus entendre parler de l’histoire de France, ils se demandent à quoi sa

et elle est de plus en plus fréquente ce qui préoccupe certains grands organismes tels que la FAO ou encore l’ONU. En définitive la surpêche a de nombreuses conséquences sur l’homme, la nature car elle crée un déséquilibre et enfin pour les générations futures dans le long terme. En économie, il y a différents types de biens dans un marché à la disposition des agents économique. Les poissons ou les animaux aquatiques (crustacés, crevettes …) quant à eux sont des ressources