Genève

ainsi qu'un sentiment universel de solidarité envers tous ceux qui ont besoin de protection et d’assistance. 1. Contexte historique 2. Henri Dunant ; qui ? ce qu’il a fait ? 3. Création du comité international de la Croix-Rouge 4. Convention de genève  extensions 5. Autres symboles de la Croix-Rouge : pourquoi et pour qui ? 6. Missions de la Croix-Rouge a. Temps de guerre b. Temps de Paix c. Exemple de l’action de la CR en 14-18 7. Sociétés nationales : la Belgique a. Missions : prévention

humaniste et utopique ( convention à vocation politique et juridique ) : elle concerne les soldats vaincus : « libres », « rendus libres », « indépendants », « délivre » elle met en avant l'Homme cette convention existe maintenant : convention de Genève (ironie : elle l'existait pas encore à l'époque) traité de paix international : choix du futur souverain (l.30) futur souverain indiqué selon les principes de l'utopie le vainqueur va empêcher le pays vaincu de tomber dans l'anarchie (en luttant

la santé. * Respecter la personne humaine. * Aider la compréhension mutuelle, l’amitié, la coopération et une paix durable entre les peuples. | Histoire | En 1864, la France est l’une des premières nations à signer la première Convention de Genève et à mettre en place la Société de secours aux blessés militaires. Elle agit véritablement pour la première fois lors de la Guerre contre la Prusse en 1870 et arrive déjà à récolter des fonds d’en plus des secours aux blessés et mutilés de guerre

l’association : aide et assistance aux victimes Créé par Henry Dunant, lors de la bataille de Solferino, la Croix-Rouge s’impose dès son origine comme un mouvement international d’aide et d’assistance aux victimes. C’est dans les Conventions de Genève de 1864 que ce mouvement international, son identité et son action prennent leur source, parallèlement à la création du Droit International Humanitaire. Signée par seize nations, la Convention permet la création dans chaque pays de comités de secours

blessés en temps de guerre. Il compose le Comité des cinq avec quatre autres citoyens suisses et organise une première conférence internationale à Genève en 1863, à laquelle assistèrent les délégués de 16 nations. Une seconde conférence, tenue l'année suivante avec les représentants de 12 nations, permit la signature de la première Convention de Genève, qui établissait des règles pour le secours aux blessés et la protection du personnel médical. Ce fut également lors de cette conférence que fut adopté

familles ne pourront jamais retrouver. Les troubles psychologiques provoqués par le trauma du champ de bataille –l’ « obusite »- sont d’autant plus graves que la psychiatrie de guerre reste rudimentaire. -Le droit de la guerre bafoué. Les conventions de Genève (1864) et de la Haye (1907), qui avaient tenté de limiter la violence de guerre, sont systématiquement ignorées. Les blessés agonisent sans pouvoir être secourus. Les officiers faits prisonniers, naguère libérés sur parole, sont désormais détenus

Genève / Londres ? Résumé Genève : Avantages | Points d’amélioration | Stabilité politique (fiabilité du système politique et de l’administration) | Règles TVA simplifiées | Flexibilité du marché du travail | Simplifier les processus de règlementation | Niveau de qualification de la main-d’œuvre | Accès aux permis de travail, notamment pour les citoyens n’appartenant pas à l’UE et les épouses | Disponibilité d’employés (qualifiés) | Disponibilité de vols directsSystème de circulation

la personne humaine en situation de crise. La dimension juridique du concept d'humanitaire n'a été officialisée que dans les années 1970, précisément lors de la conférence diplomatique de Genève réunie de 1974 à 1977, qui a mené à son terme à l'adoption de deux protocoles additionnels aux conventions de Genève de 1949 qui lui procure alors un caractère absolu (obligations exigibles par tous). Par conséquent, cette reconnaissance du droit international humanitaire vient à rendre obligatoire la protection

primer 31­10­1989  Revue internationale de la Croix­Rouge no 779, p.456­477 par Antoine Bouvier Aspects particuliers de l'utilisation de l'emblème de la croix rouge ou du croissant rouge Antoine Bouvier est licencié en droit de l'Université de Genève. Il est membre de la Division  juridique du Comité international de la Croix­Rouge depuis 1984. Introduction Contemporain de la Convention de 1864 ­ dont il constitue l'une des innovations les plus  marquantes ­ l'emblème de la croix rouge n'a depuis lors cessé de susciter discussions

Thierry Tardy, intitulé « Gestion de crise, maintien et consolidation de la paix ». Thierry Tardy est Docteur en sciences politiques, spécialisé dans les questions de sécurité internationale et enseigant-chercheur au Centre de politique de sécurité de Genève (GCSP) ainsi qu'expert associé au Centre d’études et de recherches internationales (CERI) à Paris. Dans cet extrait, l'auteur définit le statut, le rôle et l'action des Organisations Non-Gouvernementales (ONG) dans la gestion de crises nationales