Génie du christianisme

Hegel semble privilégier la figure de l’ingénieur artiste (voir dans le paragraphe précédent). Ainsi il nous semble au final que Hegel synthétise Aristote et Platon sur la question de l’imitation dans une vision chrétienne dans la mesure où le christianisme insiste sur la révélation du divin dans l’univers, sur son incarnation... La Renaissance pour Hegel est précisément le moment où l’art chrétien synthétise l’apport de l’art symbolique (égyptien) défendu par Platon avec l’art classique (grec antique)

HIIIIIISTOIIIIIREEEEEEEEEE ATHÈNE Les grecs ont gagné la victoire pour 3 raisons : 1- l’unité : ils ont unis pcq – parle la même langue, - ont les mêmes dieux, -bat en équipe 2- hoplites : soldats--»collectifs, les grecs se battent ensemble 3- génie stratégique : ils ont de très bons généraux. Conséquences à la victoire : 1-liberté des grecs p/r aux perses 2- une ville sort grande gagnante : ATHÈNE, impérialisme d’athène : veut dominer les autres villes. Ligue de DELOS (île) : 1) alliance

un peu plus. Luc Ferry souligne avec beaucoup de clarté pourquoi le christianisme prend le pas sur la philosophie grecque. « À vrai dire, les chrétiens ont inventé des réponses à nos interrogations sur la finitude qui sont sans équivalent chez les Grecs, des réponses, si j'ose dire, si "performantes", si "tentantes" qu'elles se sont imposées à une bonne partie de l'humanité comme littéralement incontournables. » Le christianisme remplace une structure impersonnelle par une personne : chaque personne

DS HLP Terminales, mercredi 9 décembre, 2 heures M. Carozzi Au départ, René figurait dans Le Génie du christianisme comme simple illustration du vague des passions. Publié comme roman à part entière avec Atala en 1802, il connut un immense succès. René est un héros exilé en Amérique, qui analyse ici sa souffrance à exister. 5 10 15 20 25 30 Mon humeur était impétueuse1, mon caractère inégal. Tour à tour bruyant et joyeux, silencieux

apparaît alors comme par exemple le remord. La morale empêche donc ses pulsions morales qu'il dénonce au christianisme qui dénature l'être de ses pulsions. Fantasmatisation du réel. Repliement sur soi de la volonté de puissance dans les religions mais il reste une volonté de puissance intermédiaire comme dieu, l'âme etc. Qui repartie en quelque sorte cette volonté de puissance. Le christianisme porte en elle sa volonté de démolition de puissance, qui va parvenir a ses fins, une société ou le capital

changé le monde et aurait ouvert la voie au progrès futur de la connaissance. Les historiens modernes ne sont visiblement pas tous d’accord avec cette idée. Certains y voient une exagération. En effet, le mot « miracle », fait référence plutôt au christianisme et au divin. Comme si Thalès de Milet avait reçu une révélation de Dieu. Les Milésiens Lorsqu’on parle des Milésiens, ce n’est pas du peuple dont on parle mais bien de trois hommes, Thalès, Anaximandre et Anaximène, qui ont marqué l’histoire

permettre le passage entre le monde réel et un monde supérieur, idéalisé. | Principaux auteurs dans l’ordre chronologiques et deux œuvres représentatives par auteur. | 1. René de Chateaubriand (1768-1848) Atala (R), René (R), Le Génie du Christianisme (LI), Mémoires d’outre-tombe (R autobio) 2. Alphonse de Lamartine (1790-1869) Méditations poétiques (P), Harmonies poétiques et religieuses (P), Voyage en Orient (R auto), Raphaël (R), Graziella (R) 3. Victor Hugo (1802-1885) Les Feuilles

contraints de quitter le Reich », et que « tous les directeurs et collaborateurs de journaux paraissant en langue allemande soient des citoyens allemands »[4]. Ils s’opposaient à la « conception matérialiste du monde », et se revendiquant d’un « Christianisme positif » [5]. Le programme national-socialiste prétendait également avoir une dimension sociale, symbolisée par le rouge dans le drapeau nazi, qu'il imposa à l'Allemagne[6]. D'après les travaux de l'historien Götz Aly, les nazis témoignaient

anglaise et allemande ne s'étaient asservies que momentanément à la discipline du classicisme, sous l'influence prédominante de notre grand siècle ; et ce qu'on appelle proprement romantisme outre-Manche et outre-Rhin c'est la période littéraire où le génie septentrional, reprenant conscience de lui-même, répudie l'imitation française. En France, au contraire, pays de culture et de tradition gréco-latines, la littérature était classique depuis la Renaissance, et l'on appelle romantiques les écrivains

républicains et les prêtres ne sont plus élus par le peuple mais désignés par le gouvernement et approuvés par le Pape. Cette période est marquée par le retour du sentiment catholique dans la population, aidé par Du génie du christianisme, de Chateaubriand, qui fait l‘éloge du christianisme. Le retour de la religion est encore confirmé à l’occasion du couronnement de Napoléon. Bien que le Pape Pie VII ne fasse que donner sa bénédiction à l’empereur, il reçoit un accueil triomphal à son arrivée à Paris