Génie du christianisme

elles vont se faire en plusieurs temps autour de la méditerranée, principalement la conquête de l'Espagne au IXème, d'une partie de la France, de la Sicile, et à l'est comme la Turquie. Ces conquêtes ont entraîné une réaction identitaire du christianisme, et une réaction politique avec de nouvelles conquêtes chrétiennes (mouvement de conversion) dans différentes directions : des conquêtes au nord comme la Scandinavie, puis la Russie, à l'est avec les croisades, et au sud avec des tentatives plus

CHAPITRE 2 : LE PEUPLE ROMAIN GENIE DU DROIT. Chronologie : 753 avant J-C : acte de naissance de ROMULUS et REMUS sont abandonnés et recueillis par une louve. On parle d’une vie de brigandage. Fondation de la cité sur le mont Palatin : ROMULUS tue REMUS. Extension de la cité dans la vallée du Tibre. C’est le début de l’Antiquité romaine. La fin de Rome : IVème siècle avant J-C c’est la fin de la grandeur de Rome : il y a un partage de l’Empire romain : Empire romain d’Occident : Rome latine Empire

3. La question religieuse (§6 à 8 ) On touche ici à la caractérisation du religieux comme ordre des grandeurs et des principes réglant l’estime et la valeur des hommes. La force du christianisme a été de suggérer que les premiers dans l’ordre de la nature pouvaient bien être les derniers dans l’ordre de la Grâce ; il y a liberté quand la société cesse d’être homogène, mais laisse vivre un dédoublement des “valeurs”. La critique des principes religieux, leurs dissociations de simples préjugés communautaires

attestait de la supériorité des ses divinités. C’est cette approche du phénomène religieux qui fit que NJOYA crut sage de se convertir à l’islam pour bénéficier e la puissance du dieu des Peuls[6]. Peu après cette adoption de l’islam, le christianisme entra en pays Bamoun avec l’arrivée des Allemands. Il s’en suivi une période de tergiversation religieuse. NJOYA pensa à créer sa propre religion : Nuot Kwote. 2. Le Nuot Kwote[7] Vers 1915, NJOYA créa une doctrine syncrétique, le Nuot

poétique aliène l’âme du poète et le rend comparable à un fou. L’idéalisme platonicien renforce cette idée : le poète est mélancolique car il a, sous le coup de l’inspiration divine, la révélation lacunaire et épisodique de l’idée du Beau. Le christianisme ne fera que renforcer cette conception idéale de l’existence d’un absolu. Un texte de Baudelaire le rappelle : « C’est à la fois par la poésie et à travers la poésie […] que l’âme entrevoit les splendeurs situées derrière le tombeau ; et quand

très banale d'atteindre le romantisme, c'est normal : il faut du temps pour changer ses règles intérieures et adhérer aux révolutions. Quelle est la stratégie narrative en prose et en poésie ? Chateaubriand grand auteur romantique, écrit Génie du Christianisme puis René (1802) : héros romantique très négatif. Il se replie sur lui-même dans la mélancolie et la nostalgie et il est incapable de réagir et choisit de se suicider. Auteur critiqué pour modèle négatif mais le public s'est trompé d'interprétation

ouvert la voie.Ce mouvement se développe en France dans la première moitié du XIX après avoir été annoncé par des précurseurs tels que Rousseau ,Bernardin de Saint Pierre. Citons parmi les romantiques les plus connus Hugo, Chateaubriand ( Le génie du christianisme), Alfred de Vigny(Stello 1832,Chatterton,1835 ), Lamartine ( Méditations poétiques, 1820) . La révolte romantique, portée par de jeunes créateurs, s'attaque à tout ce qui peut entraver l'épanouissement de l'individu et s'oppose violemment

poétiques et religieuses après avoir été élu à l’Académie française en 18294. En 1830, il entre en politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation. Il voyage alors en Orient visite la Grèce, leLiban et les lieux saints du christianisme. En 1833, il est élu député et le restera jusqu'en 1851 : il évolue du royalisme au républicanisme et prononce des discours remarqués. Il joue un rôle important au moment de la Révolution de 1848, proclamant la République ; il est pendant trois

et religieuses après avoir été élu à l’Académie française en 1829[4]. En 1830, il entre en politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation. Il voyage alors en Orient visite la Grèce, le Liban et les lieux saints du christianisme. En 1833, il est élu député et le restera jusqu'en 1851 : il évolue du royalisme au républicanisme et prononce des discours remarqués et joue un rôle important au moment de la Révolution de 1848 mais il se retire de la politique après sa lourde

et philosophique ayant dominé en Europe, et plus particulièrement en France. En effet, la philosophie des Lumières affirme le primat de la raison sur la foi, et la laïcisation de la pensée entraîne en partie, une déchristianisation générale. Le christianisme est réduit à ses principes éthiques, la Révélation niée. Il est vrai que le XVIIIe siècle, appelé également siècle des Lumières, est, d'un certain point de vue, une révolution dans la manière de penser. S'opposant donc à l'obscurantisme religieux