Geoffroy de Monmouth

du VIe siècle. Vers 1135 Geoffroy de Monmouth publie son Historia regum Britanniae. Il est question de conquêtes d’Arthur jusqu’aux portes de Rome. Selon Faral c’est plutôt la légende que l’histoire. Wace dans son livre l’Historia regum Britanniae parle pour la première fois de la table ronde. Cependant il dit que les Bretons ont en ce qui concerne la matière de Bretagne « maintes fables » Le roman Kulwch et Olwen, un roman arthurien gallois est plus ancien que Geoffroy. La tradition de la littérature

roi de Troie (et descendent du dieu de la guerre Mars) arrive au futur site de Rome après la chute de Troie aux mains des Grecques (les Achéens; Homère ne connaissait pas le mot "Grec"), où il prend pour épouse Lavinia princesse d'Alba Longa (Geoffroy de Monmouth au 12e siècle embellit l'histoire en proposant qu'un de ses descendants, Brut – dont le nom deviendra Bretagne, "Terre de Brut" – fonda Troienovant, la Nouvelle Troie, en Albion: Londres; Alba et Albion dérivent probablement du même mot latin

conserve ses pouvoirs de héros.Du pdv de la réception, notion de « légende » illogique car c’est ce roman qui contribue à faire vivre dans la langue française la légende autour de la Mort d’Arthur. Existe en anglais dans les récits de Wace et de Geoffroy de Monmouth. Roman qui vient construire une légende et non la tuer. Il construit cette légende non pas en se défaisant de ce qui avait été fait, mais au contraire en s’en inspirant (l’inceste de Morgain présent en anglais). Loin de décevoir, il propose

enfances. Trois mabinogion, plus récents, ont un sujet de Chrétien de Troyes: - Gereint = cf. Erec et Enide. - Owein ou La Dame à la Fontaine = cf. Yvain. - Peredur = cf. Perceval. Le grand prestige international d‘Arthur est surtout dû à Geoffroy de MONMOUTH, prêtre gallois, auteur de Historia Regum Brittaniae, ± 1136. Fraude, fiction, mystification, légende. But: légitimer les Normands sur le trône anglais par une généalogie troyenne. 12 livres sur les rois celtiques d‘Angleterre, du premier

lequel on rachète ses fautes ▪ Une extraordinaire aventure : on voyage dans des contrées inconnues, perspectives de combats glorieux, butins précieux… La littérature de l’époque traitant des croisades est essentiellement représentée par : – Geoffroy de Villehardouin (1150-1213) a écrit l' “Histoire de la Conquête de Constantinople” relatant les évènements de la IVème Croisade qui devait être une croisade de conquête et aboutit à la prise de Constantinople en 1204. – Jean Joinville (1224-1317)

collectives et sur lui repose la révélation, la survie ou l’écroulement d’un monde grandiose et menacé. C’est à travers ces destins individuels chargés d’une responsabilité collective que les romans du Graal retrouvent l’histoire. Non pas celle de Geoffroy de Monmouth ou de Wace, qui va d’Énée et de Brutus à Henri ii Plantagenêt en passant par le roi Arthur et par rollon, mais celle qui va de joseph d’Arimathie à Perceval ou à Galaad. Leur histoire est celle du salut, qui, formulée dans les termes d’Étienne

de Cligès Chrétien de Troyes évoque toutes les œuvres qu’il a écrites. Deux romans antiques ont été commandé à Wace auquel on accole à tort le prénom de Robert. Wace écrit le Roman de Brut ca 1160 adapté de la chronique latine médiévale de Geoffroy de Monmouth qui avait écrit l’Historia Regum Britanniae ca 1130  , mais Wace écrit aussi sans l’achever le Roman de Rou ca 1170 lorsqu’il tombe en disgrâce. Le but de ces écris était de trouver une filiation entre les Plantagenets et l’antique et divin

y a joué un rôle central au 12e siècle. C’est un écrivain normand ecclésiastique lié à Henri II Plantagenêt à qui il a dédié deux romans : - Le roman de Brut (1155) : c’est une adaptation du texte latin « historia Regum Britanniae » de Geoffroy de Monmouth. C’est l’histoire des rois de Grande-Bretagne depuis Brutus jusqu’au roi Arthur. Brutus est le descendant d’Enée, et Arthur est un chef de guerre obscur. Cette histoire est légèrement amplifiée dans le roman de Brut. Wace va faire d’Arthur

Shakespeare et créée le 26 décembre 1606 au Palais de Whitehall de Londres en présence du roi Jacques Ier d'Angleterre. La pièce, dont l'action est placée 800 ans avant l'ère chrétienne, s'inspire entre autres de l’Historia regum Britanniae de Geoffroy de Monmouth, qui évoque la figure légendaire de Leir, roi mythique de l'île de Bretagne à l'époque celtique précédant la conquête romaine et de sa fille Cordélia. Elle contient une double intrigue (procédé habituel chez l'auteur) dont l'action secondaire

du VIe siècle. Vers 1135 Geoffroy de Monmouth publie son Historia regum Britanniae. Il est question de conquêtes d’Arthur jusqu’aux portes de Rome. Selon Faral c’est plutôt la légende que l’histoire. Wace dans son livre l’Historia regum Britanniae parle pour la première fois de la table ronde. Cependant il dit que les Bretons ont en ce qui concerne la matière de Bretagne « maintes fables » Le roman Kulwch et Olwen, un roman arthurien gallois est plus ancien que Geoffroy. La tradition de la littérature