Georges Athénas

Dans le cadre du cours de Français, il serait intéressant de comparer 2 bâtiments très populaires, Le Parthénon et Les Colonnades du Louvre, Le premier se trouvant en Grèce sur l’acropole d’Athènes, Le second, en France plus particulièrement à Paris. Notre objectif premier est de montrer les ressemblances et les différences de ces deux œuvres architecturales. Premièrement, nous pouvons constater que même si ces deux constructions ont été construites avec plus ou moins seize siècles d’écart, Les

calme avant la tempête ».) En effet, des récifs vont mettre à rude épreuve le physique d’Ulysse, lui « écorchant les mains », lui rompant « les genoux et le cœur », et laissa des « lambeaux de ses mains » au rocher. Il finira finalement, guidé par Athéna, par arriver en Phéacie, et à se reposer à l’abri. Ainsi, on assiste, dans ce chant, à une facette profondément humaine d’Ulysse, délaissant la raison au profit de l’action, et souffrant milles douleurs physiques plutôt que spirituelles, comme chez

pelote de fil. En contrepartie, elle veut qu’il l’emmène en Attique avec lui. A partir d’ici, les versions divergent. Soit Thésée à renié sa promesse et a abandonné Ariane, qui se consolera avec Dionysos, ou Thésée apprend qu’il serait promis à Athéna alors que dionysos est promis à Ariane, et qu’il doit la quitter, non sans en avoir le cœur brisé ou d’autres versions énoncent que Thésée l’aurait abandonnée par obligation (à cause d’une tempête sur le navire de Thésée, il avait oublié de changer

tempête, et c'est à cause d'eux qu'ils vont s'attirer les foudres de Zeus après avoir mangé les vaches sacrés du dieu Soleil). Mais en général , l'Autre est un moyen d'aider Ulysse dans sa conquête de soi même. - Les divinités et en particulier Athéna vont apporter un rôle élévateur en le soutenant dans toutes les circonstances. - Les Phéaciens , Calypso et Circé vont lui redonner espoir et le ravitailler physiquement. La rencontre avec l'Autre

particulier Zeus son père Cet épisode reprend le début du chant I, qui est plus développé et où l’on voit Athéna argumenter plus longuement au près de son père et des autres Olympiens et décider de l’envoi d’Hermès chez Calypso et de son départ pour Ithaque auprès de Télémaque. -aide pendant la traversée Calypso/Phéaciens : après la colère de Poséidon, qui provoque le naufrage d’Ulysse, Athéna ouvre un chemin au borée rapide après avoir barré la route aux autres vents et inspire à Ulysse une idée

l'inventif. Puis le récit commence ; tandis qu'Ulysse seul de tous les survivants de la guerre de Troie est encore retenu loin des siens par Calypso, les dieux profitant de l'absence de son principal ennemi, Poséidon, s'assemblent et décrètent son retour. Athéna se rend alors à Ithaque sous les traits d'un ami d'Ulysse ; conversant avec Télémaque, cependant que les innombrables prétendants de Pénélope s'adonnent insolemment aux plaisirs du festin, elle lui laisse entendre que son père est encore vivant, en

métamorphosé pour mieux être perçu des autres et être accueilli comme il se doit. Ce sera le cas quand Athéna le transformera en homme d'une beauté divine à son arrivé au palais d'Alcinoos : « Alors Pallas, fille de Zeus, le fit paraître / plus grand , plus vigoureux, déroulant sur sa nuque / une toison bouclée comme la fleur de jacinthe. / Comme quand un bon ouvrier, instruit par Héphestos / et Pallas Athéna en toute espèce d'arts, revêt / d'or un objet d'argent, et fait de gracieux ouvrages, / ainsi de

dynamique à la narration et renouvelle l’intérêt de la parole de l’aède. Cela crée des effets de mises en abîme rendues spectaculaires par la distribution de la parole. En effet, le récit est pris en charge par des narrateurs successifs : les dieux (Zeus, Athéna), les prophéties par Alcinoos, les morts qui racontent leurs exploits à Ulysse et qui demandent des nouvelles de leur descendance au chant XI, Ulysse qui raconte au souverain de Schérie Alcinoos les détails de son retour. Tout cela crée des perspectives

« mortels » usent de la Religion. Ceux que les croyants appellent les « Immortels » ont un train d’existence qui leur est propre. Ils habitent généralement un lieu appelé le mont Olympe, qui est longuement décrit dans le chant VI, lorsque Pallas Athéna quitte la chambre de Nausicaa : « jamais il [le château des dieux] ne vacille au vent, jamais il n’est baigné/ de pluie, jamais la neige ne le couvre : mais l’azur/ s’y déploie sans nuage, et la blanche lumière y règne… » Mais tous les Dieux ne vivent

Aurore s'élança de la couche, où elle reposait près du glorieux Tithon, afin de porter la lumière aux Immortels et aux mortels. Et les dieux s'asseyaient pour tenir conseil, et parmi eux Zeus qui tonne en haut, dont la puissance est souveraine. Athéné leur disait les mille chagrins d'Ulysse, toujours présents à sa mé-moire ; car il ne lui plaisait pas qu'il fût chez la nymphe : Athéné. - « Zeus notre père, et vous, bienheureux Éternels, que désormais aucun roi porteur de sceptre ne soit enclin