Gérondif

| |compte-rendu. |« Jóvenes entre | |pasarlo bien / a pesar |générale sur les jeunes de | | | |tradición y modernidad | |de / gérondif. |l’Espagne. Présence de | | | |(venga 1ère p18-19). | | |modernité et de tradition. | | |

>Comparaison entre le poète et le mendiant : elle est renforcée par la fréquence de ces termes au début et à la fin du poème ; l’impression ainsi crée rejaillit sur l’ensemble du poème. V2 « Et en rimant, bien souvent je m’enrime > Jeu de mot rime rhume > Gérondif = cause > Dés le début du poète, Marot formule discrètement sa requête et commence à dénoncer les conditions de vie des poètes (qui doivent trouver un protecteur, un mécène pour vivre.) Le poète ne confie pas au roi, mais bien à Henri Macé qu’il

(apporter) Traigo Traes Trae Traemos Traeis Traen Oir (entendre) Oigo Oyes Oye Oimos Ois Oyen Venir (venir) Vengo Vienes Viene Venimos Venis Vienen Poder (pourvoir) Puedo Puedes Puede Podemos Podeis Pueden Ver (voir) Veo Ves Ve Vemos Veis Ven B. Le Gérondif (est en train de) Il est employé lorsque l'action est en train de se produire. Ex : Je suis en train de manger : Estoy Comiendo. Estar conjugué + rad Verbes en Ar : ANDO Verbes en Er, Ir : IENDO C. Passé composé : Il indique qu'une action passée

 La lutte difficile d’E. contre sa chaussure : la répétition du geste et les efforts qu’il suscite sont source de comique : - Didascalie initiale : la juxtaposition des phrases - et des propositions dans la dernière phrase - et la présence de 2 gérondifs montrent la difficulté éprouvée par E. - Autre didascalie évoquant le même geste : « E. s’acharne sur sa chaussure » - 3 appels à l’aide avant de pouvoir enlever sa chaussure  Le jeu est tellement appuyé qu’aucune compassion n’est possible.  Le

approximativement latérale (/ ɭ /), qui a été perdue dans le sanskrit classique. Nombreuses formes parallèles et irrégularités, que le sanskrit classique nivellera. Flexions nominale et pronominale plus développées. Plus de formes de participes et de gérondifs. Utilisation fréquente d'un subjonctif absent du sanskrit classique. Douze formes d'infinitifs, contre une en sanskrit classique. Présence d'un accent de hauteur ; aujourd'hui, l'accent de hauteur peut être entendu seulement dans les chants védiques

m’en donne la force. Il est vrai que j’ai des raisons de m’éloigner de la cour, et que je veux éviter les périls où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge.  interjection qui marque la violence sur soi  « en se jetant à genoux » (gérondif = en + participe présent) : le geste accompagne la parole – effet de didascalie comme au théâtre  « un aveu qu’on n’a jamais fait à son mari » : hyperbole : héroïsme ou excès de vanité  S’accuse et se vante (« innocence », « force)  Ment

L16-fin : Tourvel exprime ses sentiments pour créer de la pitier chez Valmont et le convaincre Déjà temps : Parallélisme de construction des paragraphes : ils commencent tous pt une questionEn accordant ma demande : gérondif présent : l’extrait débute in médias RES. Ici, Tourvel fait référence à sa proposition énoncée un peu plus tôt : elle veut couper les ponts avec le vicomte de Valmont malgré son amour pour lui car sa vertu lui interdit «

antagonistes personnifiés. => clarté du propos. Histoire plaisante et dynamique : verbes d’action, péripétie immédiate, alternance de vers courts et longs (8 et 12), alternance des temps passés « faisait », « traversa » et présent « arrête », gérondif « en nageant », « en volant ». L’enjambement des v. 19-20, de même que la locution prépositionnelle « à l’instant », soulignent la réaction immédiate du public athénien à cette fable : il est cette fois suspendu aux lèvres de l’orateur, réclamant

condition, et la culpabilité est aussi celle de tous les hommes. Les didascalies marquent bien sa capitulation et son désespoir : « s'agenouillant et pleurant », « il tend les mains vers le miroir en pleurant » avec ces verbes au participe présent ou au gérondif à valeur durative qui soulignent son accablement, son effondrement. Il ne reste plus à Caligula qu'à mourir, à se laisser tuer !  II. Un dénouement tragique, spectaculaire et riche de sens 1. Une scène d'action spectaculaire L'arrivée quasi

La princesse de ClèvesCommentaire linéaire n° 3 (IV, 754-779) Introduction 1. L’œuvre (celle dont le texte à étudier est extrait) · Présentation générale (intrigue)· Présentation de l’extrait : · Situation dans l’ensemble du récit  : Dernière partie du roman, après la mort de M. de Clèves. Après plusieurs mois de « violente affliction » (641), sans avoir revu M. de Nemours, Mme de Clèves est