Gérondif

au détriment de celui de la société française. Par ailleurs, l’allitération en [L] procure un rythme fluide a la scène. Un rythme fluide qui permet d’exprimer un certain apaisement du poète a la vue de ce paysage céleste. Cependant, l’emploi du gérondif ‘’ en roulant’’ agence la suite du poème. En effet, l’Idéal touche désormais à sa fin et le Spleen se profile… Il est certain que l’ordre et l’élégance du paysage regorge tout de même de quelques éléments célestes. Cependant, ce paysage utopique

vers 13, le tiret marque un temps d'arrêt et figure le silence de Dieu ainsi que l'adversatif «mais», mais le Ciel reste noir. La proximité du Ciel noir et de Dieu le Père assure le glissement vers la dimension strictement humaine. On relève le gérondif en appelant à valeur durative qui contraste avec la longue réponse de Dieu. Au vers 17, l'appel devient un cri et son effroi consécutif. On relève de nouveau l'usage du discours direct, quand le Christ s'adresse à ses apôtres, auquel répond seul

jovem = jovens  Qual = pronom interro. “quelle est ta voiture?” = “qual é o teu carro?” ne s'utilise pas avant un nom mais plutôt devant un verbe : “quel gâteau préfères-tu?” = “de que bolo gostas mais?” = “qual é o bolo que gostas mais?” le gérondif: infinitif en -AR = -ANDO comme cantar = cantando, -ER=-ENDO comme poder = podendo, -IR=-INDO comme dormir = dormindo VOUS = VOS n'existe plus à l'écrit. C'est considéré comme du patois campagnard (comme Carviçais! Où il est toujours utilisé à

introducteurs, avec l’anaphore de « sic », par son développement avec à nouveau rythme ternaire des ablatifs introduits par aut, élargissement aux dimensions universelles « nullam omnium », idée de superlatif apportée par la négation associée au gérondif « nullam...conferandam esse » pour aboutir sur « nostri » « nobis » : glorification de l’antique république romaine ! On retrouve bien les convictions de Cicéron. - un texte à visée argumentative. Dans les premières lignes, Scipion ne parle pas

mur » : ainsi l’existence de ce personnage est vide de sens, elle atteint un degré extrême de vacuité. Deux temps sont ici utilisés : le futur, temps qui s’oppose par ailleurs au début de la réplique, où Clov annonce que « ça va finir », ainsi que le gérondif comme étalement de l’action dans la durée et répétition inlassable. Cette analyse grammaticale montre encore une fois que l’unique sens de la vie de Clov est de servir Hamm, qu’elle ne se réduit à rien d’autre qu’à cet événement, que son existence

sonnet, il convient de noter que Louise Labé utilise une grande variété de procédés. Les antithèses du premier quatrain sont par exemple liées par : ♦ Une simple virgule (je vis, je meurs); ♦ Une conjonction de coordination (« et » ); ♦ Un verbe au gérondif (« en endurant » ); ♦ Une double coordination (« et trop… et trop… » ); ♦ Un adjectif (« “entremêlés de” » ). Cette variété permet d’éviter la monotonie, tout comme la succession de mots ou de groupes de mots courts : les mots monosyllabiques sont

the society he lives in. Il dénonce les fléaux sociaux qui gangrènent la société dans laquelle il vit. • To reproach (someone) with (+ gérondif) : reprocher quelque chose (à quelqu'un). Ex. : The main character reproaches society with being ruthless and harsh. Le personnage principal reproche à la société d'être impitoyable et cruelle. • To blame for (+ gérondif) : accuser de, reprocher. Ex. : The protagonists blame their education for being inadequate. Les personnages reprochent à leur éducation

une grande variété en ce qui concerne les modes d'articulation des antithèses : la parataxe ("Je vis, je meurs", vers 1),  la coordination ("je me brule et me noye", vers 1, le "et" pouvant exprimer aussi bien la succession que la simultanéité), le gérondif ("J'ay chaut estreme en endurant froidure", vers 2), et la subordination ("quand je pense avoir plus de douleur, /Sans y penser je me trouve hors de peine.",  vers 10-11). Vers 4: Le jeu des antithèses atteint son paroxysme dans la rime finale "heur/malheur"

deux premiers quatrains. Le poète passe du futur au futur proche. De plus en plus, il s’achemine vers l’hiver et vers la mort. La fatalité s’exprime ici, il n’y a aucune échappatoire possible. Le troisième quatrain fait écho au 1er quatrain, le gérondif présent d’énonciation « en frémissant » indique le ressenti du poète //avec les vers 3-4. Enfin, le quatrième quatrain montre un nouveau sentiment : le poète passe du doute à la peur, à l’effroi. Une métaphore filée se déploie, celle de la mort

trois pistes signifiantes : - celle du temps : L’attente, cette durée de temps sans mesure - celle du sens : Quel sens donner à cette attente ? Qui est Godot ? Vers une interprétation métaphysique ? - celle du jeu : En grammaire, le titre est un gérondif, qui laisse la phrase en suspens. En attendant Godot, qu’est-ce qu’on fait ? Comment meubler ce temps ? Comment se « divertir » ? A quoi on joue « en attendant » ? « - Estragon : Quel est mon rôle là-dedans ? - Vladimir : Quel rôle ? » (p.28,29)