Gérondif

étoiles qui se reflètent dans l’eau du Rhin. La vision est à la fois altérée par le vin , À noter le trouble qui naît de la construction syntaxique étrange : un désordre apparent (Tout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléter) avec la place du gérondif. Les étoiles scintillantes ne sont plus sur la voûte céleste mais elle tremblotent dans les vaguelettes des eaux sombres du fleuve. Où est le haut où est le bas ? Le Rhin est ivre : raccourci (Vin terre de vignoble)

Escribir (tú)escribeescriba Examinar (ella)examineexamina Ir (tú)venvenga Hacer ( tú)hagahaz saber (ustedes)sepansaben Decir (nosotros)decimosdigamos Leer (usted)lealee Venir (vosotros)venidvengan Comer (ustedes)comencoman /2.5 25 – Le gérondif et le participe passé : Gérondifparticipe passé Caminado Visto Hablando Abierto Cubierto Luchando Mirando Creyendo Pudiendo Dormido /2.5 Está sirviendo Lo ha construido Me lo ha dado El autobús va llegando Sigue haciendo frío

; sigo recordando… (je me rappelle encore) ; me di cuenta de que… (je me suis rendu compte que) ; tomé conciencia de que… (j’ai pris conscience que) ; empecé a reflexionar sobre… (j’ai commencé à réfléchir à). Structures grammaticales : seguir + gérondif (continuer à). 

brulure toujours combinée au froid est reprise dans ce vers. L’adjectif « extrême » montre à quel point les sensations sont amplifiées voire incontrôlables. * Le verbe « endurer » qui signifie subir qqch de pénible combiné à l’utilisation du gérondif montre la passivité de l’amante ou plutôt son incapacité à faire autre chose que subir et que ces sentiments quoique totalement opposés sont simultanés. VERS 3 : * C’est la 1ere fois que le vers ne s’ouvre pas avec un pronom de 1ere personne

N+prépos+N(montre en or) | N+V (Chris mange) ; N+participe (homme lisant) | N+Adj (femme fatale) | N+Adv (les gens d’ici) | verb | V+N (écrire une lettre) ; V+prép+N (jouer du piano) | V+V (vouloir partir) ; V+prép+inf (essayer de comprendre) ; V+gérondif (manger en lisant) ; V+participe (jouer serré) | V+Adj (devenir heureux) ; V+prép+Adj (paindre en verre) | V+Adv (courir vite) ; V+prép+Adv (venir de loin) | adj | Adj+N (une jolie femme) ; A+prép+N (rouge de honte ) ; bleu ciel  | Adj+prép+V

situation que s’ouvre presque le roman ; ils renvoient en outre au fils de Julien et de Mathilde qui était confié à mme de Rênal au début du passage ; enfin, le gérondif « embrassant » rappelle le geste de Mathilde de « bais[er] au front la tête de Julien », en un mouvement affectif naturel ici et moins appuyé puisqu’il n’est qu’un gérondif, chassant le geste calculé de Mathilde. Ainsi Stendhal choisit-il de finir Le Rouge et le noir sur le sort de mme de Rênal, en adéquation avec celui de julien

sérieuses sont sipplanltées par les jeux de séduction. Allitération en «s » dans la 2nd partie. -importance du verbe « ricaner »v21 suggère une certaine moquerie. Reprise du verbe rire sous la forme du gérondif « en riant » v27 + elles me trouvent drôle v35 - désordre implicite aussi dans le préfix IN de l’adjectif indiscrète v28= contrairement aux bonnes habitudes, à l’ordre.

s’agit d’exprimer la puissance du sentiment, sa grande capacité dévastatrice. - La coexistence de ces deux états est traduite par plusieurs procédés : la parataxe v1 « Je vis, je peurs »/ les associations permises par la conjonction « et »/ le gérondif « en endurant » qui indique une simultanéité/ le participe passé employé comme adjectif « entremêlé » qui permet de tisser les deux champs lexicaux du plaisir et de la souffrance. - Ceci est renchéri par d’autres effets comme la rencontre à la

rapetisse » lignes 8-9 rapproche le bombardement d’un animal dont la seule volonté serait de détruire. Cette idée est renforcée par une autre métaphore : « un autre pan, pulvérisé, s’anéantit en rugissant » ligne 4 qui compare à un animal à l’aide du gérondif «en rugissant ». Finalement, la métaphore « la meute épouvantable des obus » ligne 23 désigne les obus du bombardements sous forme animal. La dimension tragique est présente puisque suite à ce bombardement, il est impossible de sortir du poste. En

spatio-temporel· Lignes 6 à 11 :· Opposition entre « chant » et « cris » · Hyperbole· Lignes 12 à 21 : · Dialogue au style direct entre Axel et Marthe· Ponctuation expressive· Installation d’un suspense · Effets dilatoires (fait attendre qqc sans le dire) gérondif · Question ouverte (sans réponse), futur modalisé· Interjection d’annonce · Champ lexical de la hâte C. Une véritable scène de comédie· Soliloque· Dialogue · Stichomythie· Les entrées et sorties· Le personnage principal