Gérondif

Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves , Troisième partie. Etude de texte n° 2. Parcours : Individu, Morale et Société. Mme de Clèves sent qu’elle ne parvient plus à contrôler ses sentiments. L’expérience de la jalousie suscitée par la lettre lui a ouvert les yeux sur la violence de son amour : « elle lui avait fait paraître des sentiments de jalousie qui étaient des preuves certaines de passion ». Mais, à présent, la princesse a conscience qu’une

strophe 1 verbe « entendre » = action assez passive (son qui nous arrive aux oreilles, malgré nous) contrairement à « écouter » qui est plus actif (attention portée à un son) > ici le poète devient actif, attentif au son de la mort > angoisse (gérondif « en frémissant ») V9-11 : Image de chute qu'on avait déjà strophe 1 (plongerons / tomber) : « tombe » / « succombe » > la mort qui s'abat, chute des corps/vies. Reprise chute des feuilles en automne > chute des âmes. v10 : métaphore de la

de la conjonction de coordination “et“ pour exprimer cet étrange paradoxe : elle ressent les deux sentiments opposés en même temps. Ici, il semble paradoxal d’éprouver aux sentiments opposés ou deux sensations contradictoires en même temps. 4 : Gérondif et multiplicité des interprétations possible. Le lecteur est libre d’interpréter ces mots, si simple en apparence, de différence manière. b. Les mouvements inconstants de l’Amour, expliqués dans les tiercés : une analyse : 1 : De la démonstration

ils l'avaient remarqué la veille au soir et en quels signes entrait le soleil, et aussi la lune, ce jour-là.Rabelais insiste sur la simultanéité et la répétition des actions. Le verbe « revenant » redouble le préfixe re- du verbe « répéter » et le gérondif « expliquant ». L’exagération nous met en garde : attention, l’organisation du temps doit rester naturelle !Peut-être que Rabelais se moque ici gentiment de Ponocrates, qui ne peut pas faire deux pas avec ses élèves, sans se croire obligé en même

l’amour. Il s’agit donc d’un ouvrage technique qui permet au lecteur d’atteindre le but mentionné explicitement, dans le cas d’un ARS RHETORICA, l’éloquence, dans celui d’AMATORIA, l’amour, en fait le(s) succès amoureux, voire érotique(s) car le gérondif final du premier vers renvoie à l’action même : ARTEM AMANDI. L’auteur en est un citoyen romain : HOC POPULO avec le démonstratif de première personne, et il interpelle (de part l’audition des 3 [i] successifs, avec les 3 [o] consécutifs ensuite)

villageois organisent la fête de la moisson. Le tonnerre grondant, les enfants ont peur. La participiale peut être introduite par 1 participe passé ou 1 participe présent ayant 1 sujet propre dans chaque cas. Un participe mis en apposition Un gérondif Arrivés à la maison, nous trouvons un étranger. En mangeant bavarder. il continue à Aucune observation. Il peut être renforcé par tout. Tout en mangeant, il continue à bavarder. Un adverbe Demain il fera chaud. Il voyage fréquemment.

par 1 participe passé ou 1 participe présent ayant 1 sujet propre dans chaque cas. Le tonnerre grondant, les enfants ont peur. Un participe mis en apposition Arrivés à la maison, nous trouvons un étranger. Aucune observation. Un gérondif En mangeant bavarder. Il peut être renforcé par tout. il continue à Tout en mangeant, il continue à bavarder. Un adverbe Demain il fera chaud. Aucune observation. Il voyage fréquemment. Une proposition indépendante

certaines formes archaïques dans ces textes Substitution de voyelles * au lieu de u : uult uolt * au lieu de e : uester uoster * U au lieu de i dans superlatifs et dans aestumo, existumo, lubet, lubido * U au lieu de e dans gérondifs et adjectifs verbaux de la 3, 4 et 5ème conj. : apreriendum apreriundum Terminaisons particulières * Le gén. sg des noms en -ius et -ium de la 2ème décl est -i au lieu de -ii * L’acc pl des noms de la 3ème décl et des adj f et m de

Etude linéaire « Histoire de Manon Lescaut » de Prévost Introduction : Dans la première moitié du XVIIIe siècle, à l’époque des Lumières, la raison et la rationalité sont au coeur des débats philosophiques. On s’interroge également sur la place des femmes dans la société. L’auteur Prévost, contemporain de Marivaux, rédige ainsi, en 1731, le livre « Histoire de Manon Lescaut ». Ce roman racontant la vie d’un couple, est écrit du point de vue du narrateur- héros, Des Grieux, sur sa compagne,

rapport à un autre verbe de la phrase. On parle parfois de temps absolu quand l'action est datée par rapport au moment de la parole et de temps relatif lorsqu'elle est datée par rapport à un autre événement. Chaque mode possède plusieurs temps. Le gérondif n'en a qu'un, tandis que l'indicatif, le plus riche, en compte huit. L'indicatif, par exemple, peut être au : présent, passé composé, imparfait, passé simple, plus-queparfait, futur, simple, passé antérieur, futur antérieur. 2    1/1 APPROCHE(S)