Gervaise

Commentai Introduction: Ce roman naturaliste montre la théorie de Zola dans le roman expérimentale. Ainsi dans l'extrait du chapitre XIII « la mort de Gervaise » de « l'Assomoire » écrit par Emile Zola, nous allons étudier l'illustration des théories naturalistes et nous analyserons une scène pathétique. Une illustration des théories naturalistes A) La représentation d'une réalité sordide 1- La misère: Elle est marquée par les mots ou expressions: « acceptait les dernières avanies »l

l'autre la belle et sage Hélène et le docteur Deberle fait l'objet d'une analyse psychologique nuancée et minutieuse. IV) Gervaise Macquart, personnage principal du roman vit avec son amant, Auguste Lantier, et leurs deux enfants, Claude et Étienne, à Paris. Très vite, Lantier, peu travailleur, excédé de vivre dans la misère et de plus infidèle quitte Gervaise pour Adèle. Gervaise travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse. Elle rencontre Coupeau, un ouvrier-zingueur, dont elle accepte la

Dans le chapitre II de l'Assommoir, Gervaise le personnage principal, est fascinée par un alambic. Pour commencer, Emile Zola dépeint une scène naturaliste. C'est le premier thème que nous étudierons. Ensuite, il donne une vision fantastique de cette machine. Ce sera le deuxième axe de notre réflexion. D'une part, cet extrait offre un exemple significatif de l'écriture naturaliste. Ce courant littéraire accorde une place aux classes sociales modestes, les écrivains de cette époque s'attellent

 Résumé en bref  Gervaise, la fille d'Antoine Macquart, a, à vingt-deux ans, fui Plassans avec son amant, Auguste Lantier, un ouvrier chapelier, et leurs deux enfants, Claude, le futur peintre de “L’oeuvre”, et Étienne le futur héros de “Germinal”. À Paris, ils habitent un hôtel meublé misérable dans le quartier populaire de la Goutte-d’Or. Lantier abandonne vite la jeune femme, emportant tout ce qui reste de leurs maigres économies.     Jolie, courageuse, dure à la peine, elle travaille comme blanchisseuse

Dans La Chartreuse de Parme de Stendhal, Fabrice del Dongo laisse son regard s'échapper par la fenêtre de sa cellule. Emma Bovary, dans le roman de Flaubert, se perd dans ses pensées en entendant sonner l'angélus. Dans L'Assommoir d'Émile Zola, Gervaise observe attentivement une rue en attendant Lantier. Enfin, dans À l'ombre des jeunes filles en fleurs, le narrateur contemple un paysage durant un voyage en train. Mais dans quelle mesure le regard que les personnages portent sur le monde révèle-t-il

effets néfastes de l’alcool, tout en décrivant la vie de personnage de classe sociale basse. Après lecture : histoire met en scène Gervaise. Vie détruite par le vitriol ( même si elle est dégoutée de l’alcool) par l’intermédiaire de son mari : accepte tout pour ne pas causer de la tristesse. Mais aussi question d’hérédité : Ses parents sont alcooliques ( ne peut échapper a la « malédiction »

Timothée Rosset Initiation au commentaire composé Dans l’Assommoir, Goujet est un forgeron et il souhaite impressionner Gervaise en faisant un concours avec un autre forgeron, modeler une tête d’un boulon à coups de marteau. Gervaise est abandonnée car elle a quitté son mari qui est alcoolique et qui la battait tous les soirs. Elle est maintenant secrètement amoureuse du forgeron, ce qui est réciproque. Dans l’extrait de l’Assommoir de Zola, nous observons que la vision du forgeron est positive

une belle place aux éléments symboliques. II) L’incipit naturaliste     Le narrateur s’efface et propose une délégation de point de vue à son personnage, ici Gervaise. Elle est dans une attente angoissée : elle guette Lantier jusqu’à 2 h du matin, d’où l’importance du champ lexical de la vue (guettait, avoir vu, regarder, yeux). Gervaise regarde l’intérieur de la chambre (focalisation interne), apparaissant sous une vision panoramique, il y a une délégation de point de vue de la part de Zola. A

naturalistes. Abandonnée par son amant, Auguste Lantier, Gervaise travaille à Paris comme blanchisseuse pour nourrir ses deux enfants. Sa dure vie est éclairée par la rencontre de Coupeau, un ouvrier zingueur, qu’elle finit par épouser. Coupeau tombe un jour d’un toit. Gravement blessé, après sa guérison, il ne se remet guère au travail. Au contraire, son temps et son argent passent dans la boisson, où il entraîne aussi Gervaise. Coupeau invite un jour Lantier, qui habite désormais dans la maison

ouvrière. On en déduit donc que Gervaise a dépensé bêtement tout l'argent acquis dans la viande qui est consommée en grande quantité. Cependant, ce repas colossal et coûteux est en désaccord avec la classe qui nous est présentée. En effet, les personnages sont présentés comme étant plutôt grossiers grâce à un langage familier et des jurons ("tonnerre de Dieu", "décrottait", "bâfrer"...). Ils sont aussi présentés comme ceci, grâce à leur attitude à table. En effet, Gervaise est "tassée sur les coudes"