Gervaise

aussi naturaliste. C'est un incipit romanesque. Il a deux principales fonctions: intéresser le lecteur dès le début pour poursuivre sa lecture et lui donner des informations indispensables à la compréhension de l’œuvre. Le roman commence par « Gervaise », le prénom de l'héroïne, afin d'attirer l'attention sur ce personnage principale. Il en est de même pour « Lantier ». Ce qui fait paraître au lecteur un sentiment de familiarité avec eux. Il est donc plus intéressé. D’emblée, l’héroïne et Lantier

roman. Résumé : grandeur et décadence de Gervaise Macquart - Se passe vers 1850 - Personnage principal : Gervaise (blanchisseuse) - Autres personnages : Son 1er mari : Lantier Leurs fils : Etienne et Claude Son 2ème mari : Coupeau Leur fille : Nana Gouget (dit Gueule d’or) Son 1er mari (alcoolique) la quitte pour une autre. Puis elle rencontre Coupeau avec qui elle se marie et accouche de Nana. Ils font des économies car le rêve de Gervaise et d’avoir sa propre blanchisserie. Puis, Coupeau

réalité. Cependant il ne traite pas d’une aventure réellement vécue. 2/ Etude de l’ouvrage Gervaise quitte Plassans pour Paris accompagné par son amant Auguste Lantier. Abandonnée par celui elle devient blanchisseuse et épouse avec quelques réticences Coupeau, un zingueur. Après une chute accidentelle à son travail Coupeau devient infirme et le couple survit grâce aux économies de Gervaise. Malgré ceci Gervaise accomplie son rêve de posséder sa propre boutique avec l’aide financière de son ami Goujet

« C'est le plus grand chef d'œuvre de la littérature française, après Les Misérables ». Les grandes influencent de l'artiste pour une vie sont la Femme de trente ans de Balzac, Madame de Bovary et l’éducation sentimentale de Flaubert, Madame Gervaise de Goncourt Trois adaptations au cinéma furent tournés. Il raconte une vie, banale, une vie, parmi d'autres, celle de Jeanne qui reve de la vie qu'elle n'aura jamais. 3/ Les themes Maupassant souhaite avec Une vie, dénoncer le vrai, et

Lariboisière et au temps où la rue des Islettes s’appelait la rue neuve de la Goutte d’Or. L’action : 1) Résumé : L'héroïne s’appelle Gervaise Macquart, c’est une provençale originaire de Plassans venue vivre à Paris en compagnie de son amant Auguste Lantier et de ses deux enfants (Claude et Étienne). Ne supportant pas de vivre miséreux, Lantier quitte rapidement Gervaise. Cette dernière devient alors blanchisseuse chez Monsieur Fauconnier et accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier zingueur qu'elle n'aime

accuser. Ils finissent par se suicider sous ses yeux. L’assomoir (1877) : Gervaise suit  Auguste Lantier, et quitte Plassans pour Paris. Abandonnée par son amant, elle devient blanchisseuse et rêve de posséder son propre commerce. Malgré ses réticences, elle épouse un zingueur, Coupeau, mais le bonheur dure peu : Coupeau devient infirme en tombant d'un toit, et la famille ne survit que grâce aux économies de Gervaise. Son désir se réalise pourtant quand son ami Goujet lui prête l'argent nécessaire

du passage que l’on va étudier Annonce du plan de commentaire Partie I : Gervaise découvre le café-concert, l’alcool qui y est omniprésent et les femmes nues a)Gervaise s’essaie à l’alcool et à la pipe, elle a la tête qui tourne b)Gervaise un peu choquée observe Amanda, une femme nue qui fait son spectacle, et finit par admirer sa peau Partie II : Coupeau totalement alcoolisé et endormi, la chambre détruite a)Gervaise découvre avec horreur son mari Coupeau ivre mort et c’est avec un poids au

naturalisme, à la fin du XIXème siècle, dont il est le chef de file. Son roman L’Assommoir , appartient aux « Rougon-Macquart » et suit la vie de Gervaise, une femme de la classe ouvrière, de ses débuts à Paris jusqu’à sa déchéance et sa mort. Cet extrait décrit la visite du Louvre par la noce de Gervaise et Coupeau. Il révèle le peu de culture du monde ouvrier qui a un accès limité aux merveilles du Louvre. LECTUREPROBLEMATIQUE  : Nous verrons en

vers Paris qui les " dévorait ". A travers Gervaise, son héroïne, Zola va développer cette vision d’un peuple dont la dégradation, la paresse, la misère, l’errance et la mort sont inéluctables. Hugo condamna le roman pour la position du romancier à l’égard de son sujet : Zola, selon lui, prend plaisir à décrire cette misère et il y pénètre en " indifférent ou en curieux ». Cette complaisance apparaît dans la description de la pente fatale que suit Gervaise dans les six derniers chapitres du roman :"l'avachissement"

chapitre 1 entre directement dans l'histoire en montrant Gervaise en proie aux difficultés. Elle attend son amant, qui a découché, dans une chambre misérable où dorment ses deux enfants. Dans le même temps, Zola met en place le cadre du roman. Dès les premières pages, il indique les limites du quartier de son héroïne. C'est un passage de description réaliste mais il est en même temps révélateur de la personnalité du personnage principal, Gervaise, et possède un caractère symbolique. Comment ce passage