Gervaise

mets en scène Gervaise Macquart, une blanchisseuse, qui sombre dans l'alcool. Ce roman, qui bâtit un portrait de la classe ouvrière, a été bien accueilli par la public, mais attaqué et dénigré par la critique. L'extrait proposé se situe peu après le début du chapitre VI : il donne à voir Goujet, le forgeron, dans une description de lui au travail; il permet de faire le portrait d'un ouvrier modèle et de caractériser Goujet, personnage important dans l'Assommoir, amoureux de Gervaise. Nous nous demanderons

persiennes pourries par la pluie. Au-dessus d'une lanterne aux vitres étoilées, on parvenait à lire entre les deux fenêtres : Hôtel Boncoeur, tenu par Marsoullier, en grandes lettres jaunes, dont la moisissure du plâtre avait emporté des morceaux. Gervaise, que la lanterne gênait, se haussait, son mouchoir sur les lèvres. Elle regardait à droite, du côté du boulevard de Rochechouart, où des groupes de bouchers, devant les abattoirs, stationnaient en tabliers sanglants ; et le vent frais apportait

à Paris. En effet, les Rougon vont devenir "leader" du mouvement conservateur qui s'installe à Plassans, dans le but de conquérir, enfin, le pouvoir. Au même moment, Pierre voit revenir son frère accompagné d'une femme et de trois enfants, Lisa, Gervaise et Jean. Ce frère, dont il se croyait débarrasser à jamais, ne veut qu'une chose : se venger du vol dont il a été victime et ce à l'aide d'un chantage. Voyant son plan échoué, Antoine adopte une autre stratégie en ralliant la cause Républicaine

Approche des points de vue (prof) A) Savoir aborder un récit – Lis l’extrait suivant avant de répondre aux questions. 1 5 10 15 20 25 Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin.     Puis, toute frissonnante d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux têtes, où ils mangeaient

supérieure. Ce récit parle au lecteur, non pas juste par son histoire mais par son langage qui nous dit « vous en faites aussi partis » qui nous intègre car on s’y reconnaît. En effet le lecteur peut s’assimiler au personnage de Couteau, comme à celui de Gervaise, une femme à la vie misérable. C’est un monde qui devient accessible au lecteur de l’époque, dont la majorité se situait à un rang social inférieur, qui représentait le peuple. 2) Relevez et analysez précisément les différences de traitement entre

se moque d'elle, il n'a pas peur, "Il avait un rire de poulie mal graissée" car, cette machine est une "personne" qui lui fera oublier ses problèmes. Mais par contre pour Gervaise, cette machine se transforme en une créature, un monstre qui pourra mener sa vie en enfer. Gervaise commence à avoir peur, elle recule "alors, Gervaise, prise d’un frisson, recula", comme si cette "personne" va la manger, ou plutôt la dévorer. Cette machine lui fait "froid", elle sent qu’elle va lui faire quelque chose de

de faire indirectement passer un message. Ici, le narrateur dénonce les conditions de vies imposées à la classe populaire, partie de la population représentée par le personnage principal de Gervaise et ainsi les inégalités de la société (« Gervaise se retourna, regarda une dernière fois la maison. ». Gervaise vivait donc dans cette pauvre maison, preuve de la vie misérable que menaient les femmes d'ouvrier au XIXe siècle. Enfin, le fait que cet extrait suscite une émotion chez le lecteur renforce

BARRALThéoDM : Commentaire de texte sur L’Assommoir d’Émile Zola (1877) : 2/31ère S2Commentaire de texte sur L’Assommoir d’Émile Zola : Publié en 1877, L’Assommoir est le septième roman de la série des Rougon-Macquart, écrite par Émile Zola. Écrivain et journaliste français ayant vécu dans la seconde moitié du XIXème siècle, et étant considéré comme le chef de file du naturalisme. L’ouvrage est totalement consacré au monde ouvrier, et selon Zola, c'est « le

ZOLA * L’assommoir → 7ème roman des R-M, parut en 1877. L’objectif des Rougon-Macquart est de « peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière empestée de nos faubourgs », « Roman qui ait l’odeur du peuple ». * Dans cet extrait, Gervaise n’a pas encore entamé son déclin. Elle célèbre sa fête par un repas très copieux (après le potage, la blanquette et l’épinée vient l’oie. Pb : Quelle est la symbolique de cette scène en apparence anecdotique ? I. Une scène de gloutonnerie

Zola raconte l’histoire de Gervaise qui attend son amant Lantier ; ne le voyant pas arrivé, elle se met dans un état d’angoisse. On le voit avec le champ lexical de la tristesse, état de crise.Ce incipit appartient aux gens naturalistes en citant des lieux existant « Grand Balcon » à l’exception de «  Veau a deux têtes » Emile Zola met en valeur la pauvreté en décrivant la chambre meublée, le manque d’hygiène, d’où le champ lexical de la pauvreté Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à