Gestion alternative

l’Enseignement Supérieurde la Recherche Scientifique et de la technologieUniversité de Sousse ECOLE SUPERIEUR DES TECHNOLOGIES D’INFORMATIQUE ET DE MANAGEMENT MEMOIRE DE FIN D’ETUDES POUR L’OBTENTION DU MASTER EN FINANCE ISLAMIQUE Sujet : | La gestion de risque de contrepartie dans les banques Islamiques en Tunisie : Cas de la Banque Zitouna | | | Présenté et publiquement soutenu parBABA SarahSous la direction du maitre assistant MonsieurBELLALAH

l’organisation - détermination des risques et contrôles - fresque des systèmes d’information - analyses, entretiens, recensements, ateliers de synthèse… Principales activités - définition d’une vision cible du fonctionnement - approfondissement des alternatives aux points bloquants identifiés - proposition de nouvelles évolutions sur chacun des axes d’étude - évaluation des propositions par entretiens avec les personnes clés Pour vous garantir des résultats concrets et des recommandations adaptées

coûts productifs : 9 II.1.2- Les centres de coûts discrétionnaires : 9 II.2: Les centres de revenus : 9 II.3: Les centres de profit : 10 II.4: Les centres d’investissement : 10 III Section 3 La cohérence du système de contrôle de gestion : 10 IV Section 4 Les critères financiers d’évaluation de la performance : 11 IV.1: Le mode de calcul du B/A : 11 IV.2: Du B/A ou ROI à la création de la valeur et l’EVA : 12 IV.2.1- Des redressements comptables pour être au plus prés

2 ! • Introduction page 3 page 6 page 6 page 7 I- Position de l’ERM en tant que système Global d’information de gestion 1- Le débat initial chez SIEBEL sur la complémentarité nécessaire de l’ERM et du CRM 2- Les cinq exigences réglementaires qui ont déterminé le positionnement de l' ERM dans la gestion 2-1/ L’exigence d’un système d' information de gestion des risques fonctionnant sur trois piliers 2-2/ L’exigence d’extension de la contrainte des trois piliers aux corporates et PME

Le contrôle de gestion ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 1 Plan : Introduction Concepts de base Les outils du contrôle de gestion Système d’information La fonction Contrôle de gestion conclusion 2 Le contrôle de gestion est une discipline riche, complexe et en constante évolution. Au delà de son objectif de surveillance, il s’efforce par ses mécanismes de répondre aux besoins des gestionnaires dans les activités de prises de décision, de pilotage et d’évaluation de la performance. Donc, qu’est

ien 4 sabi lités anisatio n de l'av al I-B : Im plica tion du patie nt Evolution Rôle 23 5 13 44 Définition et impact 12 43 41 II-F : Urgences rson ne l e rtur I-C : Modes d'anesthésie Gestion du risque 25 I-D cialisés" res "spé ulatoire amb II-B : Cent italisation en hosp nt tie pa it du ircu :C ns / Offre II-E : Pe :A ptitu de 6 à la Personnel non médecin anesthésiste 26 24 d'ou ve rue

l’instrumentation de gestion ou crise du paradigme décisionnel ? Le cas de la mise en œuvre d’une démarche de benchmarking interne dans un contexte d’action complexe, politique et incertain. Damien Mourey Enseignant à l’I.A.E de Paris Doctorant en sciences de gestion 21 rue Broca 75005 Paris e-mail : mourey.iae univ-paris1.fr Résumé Le décalage existant entre d’une part, les doctrines de management ou les théories qui ont été à l’origine de la conception des outils de gestion et, d’autre

Amy Sam BBA3-Finance IAM-BKO INTRAPRENEURSHIP ET GESTION DES PROJETS I. Chap1 : NOTION DE PROJETS * Définition de la notion de projet * Notion de projet de Développement. * Notion de plan d’affaire II. Chap2 : CONTENUE D’UN PROJET DE DEVELOPPEMENT ET D’UN PLAN D’AFFAIRE * Plan d’un Projet de développement * Le Plan d’Affaire III. Chap3 12H : CALCUL DE LA RENTABILITE D’UN PROJET * Notion de Charge et de Produit

ISO/TS 2200 | Le PAS 220 Le PAS 220 est composé de 18 chapitres. Les 2/3 concernent les infrastructures (conception, locaux, équipements…), la gestion des nuisibles, des déchets, le plan de nettoyage et désinfection… Le PAS 220 définit également des éléments additionnels, déjà existants dans les référentiels privés, tels que : * la gestion des produits retraités, recyclés ; * la sensibilisation du consommateur à l’étiquetage ; * la procédure de retrait et de rappel ; * la

réflexion | Risques et organisation du contrôle de gestion | | | | 28/03/2011 28/03/2011 | SOMMAIRE INTRODUCTION 3 Problématisation 3 Présentation du cadre général de réflexion 3 I) LE CONTROLE DE GESTION COMME STRUCTURE CYBERNETIQUE 5 a) Exposition du principe de la cybernétique 5 b) Organisation du contrôle de gestion 5 c) Limites du modèle cybernétique 7 II) APPROCHE HOMEOSTATIQUE DU CONTROLE DE GESTION 8 a) Exposition du principe homéostatique 8