Gestion De Risque De Crédit En Micro Finance

…………………………………………………………………………………………………………………. Chapitre I : vue d’ensemble sur le secteur bancaire marocain Section 1 : le secteur bancaire marocain Section 2 : la loi bancaire marocaine de 14 février 2006 Chapitre II : présentation du crédit populaire du Maroc Section 1 : historique Section 2: missions du groupe Section 3 : valeurs du groupe Chapitre III : Organisation et structure du CPM Section 1 : organigramme de groupe de

différemment aussi à l’économie nationale d’un pays. C’est ainsi qu’il importe de définir l’entreprise, de caractériser les flux économiques dans lesquels sont intégrées les entreprises, il importe aussi d’étudier les approches macro-économiques et micro-économiques de l’entreprise. PARAGRAPHE I : DEFINITION DE L’ENTREPRISE : L’entreprise est un des acteurs socio-économique d’un pays, c’est une entité dont la finalité est la production ou la transformation des biens et/ou la prestation de services

INDICATEURS DE FRAGILITÉWafia NOKAIRILaboratoire, Finance, Banque et Gestion des risques Université Hassan II(Maroc)RÉSUMÉ :Une entreprise au cours de sa vie peut se confronter à des difficultés financières et risque ainsi sa défaillance. Cet évènement ne survient pas brusquement, mais résulte d’un processus qui s’étale dans le temps en commençant généralement par les premières difficultés économiques, qui peuvent être liées à des facteurs micro ou macro-économiques, jusqu’aux difficultés financières

va les mettre en équation. Equation de Fisher : modèle monétaire ( MV = PT Le modèle peut être théorique c'est-à-dire littéraire, non chiffré ; ou économétrique c'est-à-dire chiffré, avec équations comptables, équations comportementales (analyse micro économique) : on chiffre une analyse du comportement de l’individu. Afin de mettre en place ces modèles, il faut avoir un système d’information performant (fiable, MAJ, vérifiable …) ( INSEE, Banque centrale, Ministère (Journal Officiel), institutions

grandes banques internationales avaient de l'Asie. Lesquelles détenaient 54% des prêts étrangers à la Thaïlande et 25% des prêts à la Corée. Parce qu'ils étaient confrontés à des problèmes internes, les établissements japonais ont décidé de réduire le risque attaché aux prêts concernant les pays émergents d'Asie. Ils ont alors commencé à réduire leurs financements dès 1996, sonnant définitivement le signal d'un retrait massif à l'été 1997. Entre la mi-1997 et la mi-1998, les banque japonaises ont retiré

....................................................................... • Le régime fiscal .................................................................................................................................... • La fiscalité de la micro entreprise régime fiscal ..................................................................................... • Les obligations comptables selon les régimes fiscaux ........................................................................... • La

précieuses. SOMMAIRE Introduction : …………………………………………………………………..01 Chapitre préliminaire : Le risque de crédit et la défaillance des entreprises …… . 03 - Section 1 : Le risque de crédit ……………………………………………... 04 - Section 2 : La défaillance d’entreprises ……………………………………..11 Chapitre I : Modèles de prévision de la défaillance : Présentation du crédit scoring..20 - Section 1 : Présentation du crédit scoring …………………………………...21 - Section 2 : Méthodologie de la construction d’un modèle de scores.………

Introduction I. Présentation de LA Finance Islamique 1. Les sources de la Finance Islamique 2. Finance Islamique et éthique 3. Finance Islamique et Charia 4. Les principales dates de la Finance Islamique II. Les caractéristiques de la Finance Islamique 1. La Finance Islamique au cœur du secteur bancaire 2. Le partage des risques et des profits 3. Les principes fondamentaux des produits Charia 4. L’interdiction de l’intérêt

multiples risques, et la maîtrise de ceux-ci devient un défi important à relever. L’idée d’un engagement sans risque relève d’un mythe, car le risque est inhérent à toute activité bancaire. L’idée d’un risque zéro est donc un concept loin de la réalité. Il y a toujours un risque résiduel après avoir couvert le risque principal. En effet, au sein des institutions bancaires, la maîtrise du risque, sa gestion, la spécialisation dans les activités et l’anticipation surtout dans la gestion de l’encaisse

Investissement brut / Investissement net | |3 Critères de décision d'un investissement | |3.1 Analyse micro-économique | |3.1.1 Selon la théorie économique | |3.1.2 Selon le critère