Gestion Du Risque Crédits Au Sein De La Cncas

souvent par : - Un objectif de minimisation des risques que poursuit la paysannerie par une limitation des charges de culture. - Des contraintes organisationnelles. En effet, dans certaines organisa-tions paysannes, seul le président prend l'entière responsabilité de commander la quantité qu'il juge nécessaire en fonction des disponibilités du fond de roulement. Mais, depuis le désengagement de la SAED et la création de la CNCAS (Caisse Nationale de Crédit Agricole du Senégal), chaque paysan est libre

d’exploitation des ressources animales au développement d’un partenariat de type nouveau entre les organisations professionnelles d’éleveurs et les institutions étatiques ; l’implication accrue du secteur privé dans le développement de l’élevage ; la gestion durable des ressources naturelles. Dans cette perspective, plusieurs plans d’opérations (PLANOP) ont été conçus et mis en œuvre, notamment : • • le plan d’opération pour la multiplication des espèces à cycle court ; le plan d’opération pour la

LISTE DES ACRONYMES ACEP AGETIP AREC AT-CPEC ATOMBS BCEAO CERISE CICIM CMS CNCAS COOPEC CVEA DID DSRP ECD ENGA-GRAF ESAM FCFA FI CGAP GIE MEC MECIB MRDM PAMECAS PAME/AGETIP PARMEC PVC PNUD SDF SMEC UMEOA UNACOIS USAID WWB Alliance de crédit et d’épargne pour la production Agence pour les Travaux d’intérêt public Association rotative d’épargne et de crédit Assistance Technique aux Coopératives d’épargne et de crédit Assistance Technique aux Opérations Bancaires Mutualistes au Sénégal Banque Centrales

des intérêts et moralisation de la profession.................................................... 24 3.4. Offre de produits et services de microfinance ........................................................................ 25 3.4.1. Activités de crédit ...................................................................................................... 25 3.4.2. Activités de dépôt...................................................................................................... 25 3.5. Demande

Gouvernement 19 3.3.2. Tutelle des IMF 20 3.3.3. Promotion des IMF 20 3.3.4. Coordination et concertation 20 3.3.5. Défense des intérêts et moralisation de la profession 21 3.4. Offre de produits et services de microfinance 21 3.4.1. Activités de crédit 21 3.4.2. Activités de dépôt 22 3.5. Demande de produits et services de microfinance 22 3.6. Microfinance et financement des MPE et PME 22 3.7. Relations entre banques et IMF 24 3.8. Appuis au secteur 24 3.8.1. Principaux programmes des bailleurs

de la Microfinance • Faciliter la création de caisses d’épargne et de crédit • Promouvoir les institutions faîtières • Participer à l’encadrement des Institutions mutualistes financières • Participer à la coordination et à l’harmonisation des procédures d’intervention des IMF (Institution de Microfinance) • Réaliser des actions de promotion en vue de la création d’un organe financier pour les caisses d’épargne et de crédit • Mettre en œuvre des mécanismes permettant la participation des institutions

REPUBLIQUE DU SENEGAL ___________ Un Peuple – Un But – Une Foi STRATEGIE DE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE ∗∗∗∗∗ PLAN D’ACTION 2004 JUIN 2004 SIGLES ET ABREVIATIONS AATR ADEPME ANAC ANCAR APBEF ARD ART ASER ASIT BNSTP BRS CEPOD CCOD CGCD CNCAS CNES CNP CNSA CPI DAC DGD DGID DOS DPETV DSRP FPE FNRAA GIRE GRCC ISN LPDA LPDR LPERN : Agence Autonome des Transports Routiers : Agence Pour le Développement et l’Encadrement des PME : Agence Nationale de l’Aviation Civile. : Agence Nationale de Conseil

Muhammad Yunus développe le microcrédit au Bangladesh et ouvre la voie à de nombreuses autres expériences menées dans le monde entier. Des institutions sont créées pour fournir aux pauvres des moyens de gagner leur vie et des outils pour gérer le risque associé, c'est-à-dire les services financiers normaux qui sont proposées aux catégories plus riches. Le succès de la Grameen Bank a connu un écho dans le monde entier, dans la pratique, il s'est avéré difficile de recopier cette expérience. Dans les

paiements et de plus en plus la préservation dans la mesure du possible les conditions d’une croissance économique. L’intervention du FMI repose sur le modèle macro-économique d ‘équilibre général qui débouche sur la traditionnelle stratégie de la gestion de la demande à court terme (stabilisation) et récemment sur une stratégie affirmée d’action sur l’offre ( transformations structurelles). Deux principales théories sous-tendent le mécanisme d’ajustement de la balance des paiements : - l’approche

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