Gilgamesh

souveraineté et son orgueil qui vont le conduire à la « démesure ». Ivre de sa grandeur le héros défit même la divinité elle-même. Cela entraîne, le plus souvent un échec qui est suivi d'un châtiment (mort du compagnon du héros, ainsi meurt Enkidus, ami de Gilgamesh). Si le héros n'affronte pas les dieux, alors il subit l'épisode de « la descente aux enfers », royaume dont aucun des mortels ordinaires n'est jamais revenus, mais lui en revient, ce qui symbolise sa supériorité au communs des mortels. On peut

se mêle au vrai et dont le but est de célébrer un héros ou un grand fait. » Les modèles canoniques de l’épopée sont évidemment L’Iliade et L’Odyssée, mais aussi des créations encore antérieures et anonymes comme L’Epopée de Gilgamesh qui raconte les exploits du roi Gilgamesh qui règne sur la cité sumérienne Uruk (1900-1600 avant J.-C.). 2. Le récit : éléments de définition 3.3 Une notion faussement simple Pour délimiter notre sujet, on peut s’appuyer sur les distinctions fondamentales

entre les communautés A. La puissance politique de la civilisation sumérienne : des cités-états aux empires mésopotamiens 1. La période des cités-états (1ère période historique) -1ère cité à atteindre hégémonie = Kish avec poème éthique de Gilgamesh : « lorsque la royauté descendit du ciel, la royauté fut à Kish ». Situé dans goulet mésopotamien entre tigre et Euphrate. -Hégémonie passe à d’autres cités : Ur et Lagash, Ourouk, Nippour, et Umma. -Roi d’Umma = Lugalzaggisi part en guerre et

lion, et est pourvu d’oreilles de cheval. Le griffon apparaît en en -4000 avant J.-C, on le retrouve en Égypte vers -3000 avant J.-C, sous cette même forme. Au cours de l’Antiquité, le griffon se voit souvent associé aux divinités et héros comme Gilgamesh, Seth, les pharaons égyptiens, mais encore Apollon, Dionysos, Éros ou Némésis. Figure héraldique au Moyen Âge Le griffon est, au Moyen Âge, considéré comme un animal réel appartenant au genre des oiseaux et personne ne semble douter de son existence

qu’à un autre endroit géographique, l’Antiquité ne serait pas encadrée de la même manière. Exemple : l’écriture est une invention de l’Antiquité des sumériens du 4ème millénaire avant notre ère. Le 1er grand texte de l’humanité est l’épopée de Gilgamesh. On voit ensuite apparaître l’écriture en Crête que l’on appelle le linéaire A (entre 2000 et 1400 avant notre ère). Ensuite, apparaît en Grèce le linéaire B (1ère forme d’écriture du grec ancien). L’Egypte a elle développé les hiéroglyphes seulement

Depuis ses débuts beaucoup de personnes se sont mis a la poésie qui connu différents succès au fil des siècles, cet art existe depuis longtemps, pour trouver ses racines ils faut remonter à l'Antiquité avec un des premiers poèmes au monde L'épopée de Gilgamesh que l'on pense écrit vers le 18ème ou 17ème siècle avant Jésus Christ. La poésie a plusieurs rôles et peu aller de la poésie engagée à la ballade amoureuse et selon le critique littéraire russe Vissarion Bielinski, « Dans la poésie, la vie est encore

Fiche pédagogique sur l’Odyssée, à feuilleter ou à télécharger : http://www.cercle-enseignement.com/College/Sixieme/Fiches-pedagogiques/Homere-L-Odyssee o Fiche pédagogique sur l’Epopée de Gilgamesh : http://www.cercle-enseignement.com/College/Sixieme/Fiches-pedagogiques/L-epopee-de-Gilgamesh o Pour lire l’Odyssée et l’Iliade avec des illustrations et une bande son : http://www.iliadeodyssee.com/ Aujourd’hui, par extension, l’épopée peut également désigner des récits qui relatent

matin, Shamash émerge depuis l'est, entre les montagnes du levant marquant la limite du monde, figurées couramment sur des sceaux-cylindres représentant Shamash par deux monts jumeaux entre lesquels passe le dieu, appelés Mashu dans l'Épopée de Gilgamesh, où ils sont gardés par un homme-scorpion, créature associée à Shamash4. Dans l'écriture cunéiforme, le logogramme servant à désigner le dieu Shamash et le soleil, mais aussi le « jour » (UD/U4 ; ūmu(m) en akkadien), était d'ailleurs à l'origine

cela na pas touché que la culture gréco-latine , première expression littéraire de l’humanité, la poésie apparaît d’abord dans un cadre religieux et social en instituant les mythes fondateurs dans toutes les cultures que ce soit avec l’épopée de Gilgamesh en Mésopotamie, les Vedas, en inde la Poésie dans l'Égypte antique la Bible des Hébreux ou l'Iliade et l'Odyssée des Grecs jusqu'au fables de la fontaine qui permette de façon ludique d’enseigner aux enfants le bien le mal le bon le mauvais le juste

mordrait l’époux au moment de la rupture de l’hymen ; on accorde de terrifiantes vertus au sang virginal, apparenté au sang menstruel et susceptible lui aussi de ruiner la vigueur du mâle. » (p. 259). On retrouve cette tradition dans le mythe de Gilgamesh. Beauvoir évoque aussi le rite fréquent « qui consiste à livrer les vierges à des étrangers de passage » (p. 260). Le thème est repris plus loin : « la matrice, cet antre chaud paisible et sûr, devient poulpe humeuse, plante carnivore, un abîme de