Gilles Clément

pionner de l’art minimaliste, c’est un courant de l’art contemporain du début des années 60 aux Etats-Unis. Il a vécu l’attentat du World Trade Center de 1993 à New York. Il a donc crée City life pour garder une trace de sa ville, comme l’avait fait Clément Janequin dans les cris de paris à la Renaissance. « City life » est une œuvre en 5 mouvements. J’analyserai seulement le premier mouvement « Check it out » qui comporte 2 parties. Dans la 1ère : Il n’y a pas de pulsation, le tempo est lent ce

Deschamps Ce poème traite de Paris. Le poète fait ses adieux à la capitale. 3- « Les ennuyés » - Charles d'Orléans Le poète parle de son ennuis envers le monde et de l'ennuis du monde envers lui. 16ème siècle : 4- « De sa grande amye » - Clément Marot Le poète parle d'une demoiselle qu'il vis dans Paris et avec qui il échangea un baiser. Il dit que c'est son amie. 5- « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage » - Joachim Du Bellay Le poète est partie de chez lui (la France) pour

blessures qui lui font modifier son hygiène de vie5. Pendant que les internationaux jouent la coupe du monde 2007, il pratique la boxe afin de calmer sa frustration et perdre du poids6. Il est propulsé sur le devant de la scène suite aux blessures de Clément Poitrenaud et Vincent Clerc durant la saison 2007-2008 du Top 14 et termine deuxième meilleur marqueur d'essais du championnat derrière Napolioni Nalaga7. Il s'impose alors à l'arrière, Cédric Heymans retrouve alors le poste d'ailier6. Il marque un

Immortalisée par le film « La Dolce Vita » de Fellini, la fontaine de Trevi est l'une des icônes emblématiques de Rome. La construction a débuté en 1732 par Nicolo Salvi pour remplacer le modeste bassin installé à cet endroit pour le compte de Clément XII et achevée en 1762 par Nicolo Pannini. Elle est alimentée depuis 2 000 ans par l'aqueduc de l'Eau-Vierge, qui doit son nom à une vieille légende romaine. Elle est adossée au palais Poli (palazzo Poli) ce qui explique sa hauteur et le fait qu’elle

artistiques ne peuvent pas adopter une expression figurative. L’art musical ne consiste pas à se contenter d’enregistrer et de reproduire fidèlement les productions sonores de la nature. Il s’agit plus d’une prouesse technique que d’une œuvre d’art. Quand Clément Janequin a composé sous la Renaissance le chant des oiseaux, il n’a pas cherché à produire un documentaire sur la manière dont les oiseaux chantent dans les forêts. De même pour les architectes ; quand ils créent une œuvre, ils ne cherchent pas à

consécration de Maupassant, il publie son premier roman intitulé Boule de Suif. Cette même année, la disparition brutale de Flaubert le touche profondément. En 1881, il commence à fournir des articles à plusieurs journaux importants comme le Figaro, Gil Blas, Le Gaulois et L’écho de Paris puis consacre ses loisirs à l’écriture de romans et de nouvelles. En 1883, Une vie, son premier roman voit enfin le jour après six années de « gestation ». En 1884, Les Contes de la Bécasse, sont un chef d’œuvre

journalistes, mais tout au plus des notaires , des changeurs, des ministres ou des frères ignorantins . M. de Maupassant, accablé, dut répondre et défendre son livre contre les accusations qui lui venaient de tous les côtés. Dans une lettre publiée par le Gil Blas, il voulait bien donner des explications . J’estime qu’il a eu tort. Un livre comme le sien se défend de luimême, contre les comiques indignations des Bel-Ami du journalisme, et les lourdes criailleries des pontifes. Il devait rester indifférent

lavoro letterario, ovvero Boule de Suifs egli sviluppò una produzione vastissima: trecento racconti, riuniti in quindici raccolte, e sei romanzi pubblicati con un ritmo frenetico. Ogni mese almeno due racconti per il “Gaulois” e per il “Gil-Blas”; ogni anno almeno un volume di racconti, cui si aggiunsero romanzi e libri di viaggio, da La maison Tellier, 1881, a Une vie, 1883, Bel-Ami, 1885, Mont-Oriol, 1887, Pierre et Jean, 1888, Fort comme la mort, 1889, La vie errante, 1890.

Pour désirer, il faut être capable de se détacher de l’actuel pour concevoir l’autre, le possible. C’est le désir des Hommes de changer la société qui a permis de transformer le cours de l’histoire, et qui a permis d’arriver à notre vie actuelle. Gilles Deleuze parle du désir comme une « force affirmative ». De ce fait e désir est par essence révolutionnaire et permet à l’Homme d’établir un dépassement de soi même, et d’accomplir toutes ses évolutions. Finalement le désir est la marque de la grandeur

rappeler au spectateur un épisode antérieur, une séquence révolue, commenter ce qui vient de se produire dans la scène suivante ? Nous avons remarqué que le flash-back permettait d’exprimer ce retour permanent des souvenirs dans le présent. Le texte de Gilles Deleuze, « Du souvenir aux rêves » nous a permis d’éclairer notre connaissance des mécanismes de la mémoire et de leur représentation chez Marcel Carné et Mankiewicz. L’aboutissement de cette problématique a permis de restituer dans un tableau toutes