Gilles Simon

envie de faire de la philosophie, on ne se demandait pas ce qu'elle était, sauf par exercice de style ; on n'avait pas atteint à ce point de non-style où l'on peut dire enfin : "Mais qu'est-ce que c'était ce que j'ai fait toute ma vie ?" » Ce que Gilles Deleuze pense avoir fait toute sa vie, en tant que philosophe, est de créer des concepts. C'est dire encore que « les concepts ne nous attendent pas tout faits, comme des corps célestes. Il n'y a pas de ciel pour les concepts, ils doivent être inventés

Œuvre : * Romans : Une vie (1883) Bel-Ami (1885) Pierre et Jean (1887) Mont-Oriol (1887) Fort comme la mort (1889) Notre cœur (1889) * Nouvelles et contes : Maupassant a écrit chaque semaine pendant presque dix ans dans les journaux Le Gaulois et Gil Blas ; on peut donc estimer le nombre de chroniques, nouvelles ou contes à près de mille * Posthumes : * Le Père Milon (1899) * Le Colporteur (1900) Recueils de nouvelles : * La Maison Tellier (1881) * Mademoiselle Fifi (1882)

retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. Suite au succès de Boule de Suif, il devient journaliste au sein du Figaro, Gil Blas, le Gaulois ou l’Echo de Paris. Ses récits sont regroupés dans des recueils : La maison Tellier en 1881, les Contes de la bécasse en 1883 ou les Contes du jour et de la nuit en 1885. Auteur à succès, il devient riche et fait le tour du monde. Ses

ses maîtresses et aux sphères politiques, financières et journalistiques, parvient à se hisser au sommet de la pyramide sociale parisienne. Le roman « Bel Ami » parut pour la première fois sous forme de feuilleton en 1885 dans un quotidien nommé « Gil Blas ». La présente version du roman date de 1983 et comporte 334 pages, séparées en deux grandes parties contenant 10 chapitres chacun. 2) Bel Ami : pourquoi ce titre ? Bel-Ami est en fait le surnom donné au héros, Georges Duroy, par la fille

célébrité en participant à l’œuvre collective des Soirées de Médan. Il y publie Boule de Suif qui lui ouvrira alors les portes du métier de journaliste. Il publie de nombreux articles, reportages, contes et feuilletons dans les journaux tels que Le Figaro, Gil Blas, Le Gaulois et L’Echo de Paris. Ses récits sont ensuite regroupés dans des recueils : La maison Tellier (1881), les Contes de la bécasse (1883) ou encore les Contes du jour et de la nuit (1885). Il publie également des romans réalistes comme Une

remplit d'elle-même. La chose se remplit d'elle-même en contemplant l'autre chose. Et il dit : et non seulement les animaux, non seulement les âmes, vous et moi, nous sommes des contemplations remplies d'elles-mêmes. Nous sommes des petites joies. » — Gilles Deleuze, cours du 17 mars 1987 à l'université de Vincennes « Contemplation. Facile et merveilleuse, vibrante sans effort. Appui pour un possible infini virtuel, espace hors de l'espace, prothèse de ton dépassement. Sustentation délicieuse, descente

les ouvrages de Gilles Deleuze, Maurice Merleau-Ponty et Henri Bergson. 1 2 3 4 RICHTER Hans, « Dada and Film » in Dada: Monograph of a Movement, ed. Willy Verkauf, New York, 1975, pp. 42-43. Nous n'avons pas souhaité traduire les propos du cinéaste afin d'en conserver l'originalité. Nous garderons le titre en allemand lors de notre analyse. Il s'agit là d'une idée de Bergson évoquée dans Matière et mémoire. Nous y reviendrons au cours de notre développement. DELEUZE Gilles, Le Bergsonisme

01/12/13 FRANÇAIS. Composition : Au Bonheur Des Dames, d’Émile Zola. Œuvre emblématique du mouvement naturaliste, Au Bonheur Des Dames a été écrit par Émile Zola en 1882. le roman a été publié en soixante-quinze livraisons dans la revus « Gil Blas », ce qui nous rappelle le succès des romans feuilletons de l'époque. Le Bonheur Des Dames se distingue des autres œuvres, Zola nous fait voir la lutte entre les petits commerces et les grands magasins prenants de plus en plus d'ampleur et l'ascension

1875 ; • Guy de Valmont pour Gustave Flaubert en 1876. Il utilisa ce pseudonyme jusqu’en 1878 ; • Chaudrons-du-diable, qu'il utilisa pour signer en 1880 la chronique Étretat dans la revue Gil Blas du 20 août 18805. • Maufrigneuse, qu’il utilisa de 1881 à 1885 pour signer ses chroniques ou nouvelles dans Gil Blas, étant sous contrat avec la revueLe Gaulois. Le choix de ce pseudonyme vient du personnage de Diane de Maufrigneuse, dans La Comédie humaine de Balzac. Le Livre :     Titre

ses actes. Il deviendra également de plus en plus machiavélique et égoïste, pour terminer dans les bras d'une jeune fille riche à millions. Pour ce qui est du journal Gil-Blas, personne n'a trouvé l'article, donc il faut faire avec la réponse de Maupassant à l'article : « Réponse aux critiques de Bel-Ami », parue dans le journal Gil Blas, le 7 juin 1885. J’ai voulu simplement raconter la vie d’un aventurier pareil à tous ceux que nous coudoyons chaque jour dans Paris, et qu'on rencontre dans toutes