Giovanni Agnelli

Dans la pièce de théâtre Dom Juan ou Le festin de pierre, Dom Juan est immorale. D'abord, se personnage remet en question la religion et la vie. Dom juan se dispute avec sganarelle. Le valet parle à son maître Sganarelle tente alors de découvrir ce en quoi son maître croit : « Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit. » (p. 39) Par ce parallélisme, Don Juan montre qu'il n'aime pas la religion. Par contre, Don Juan a des habitudes dépravé. Il est mauvais

congé, sans solde, ce qui lui permet de faire découvrir l'Italie à son fils (Mozart s'y rendra régulièrement jusqu'en 1773) ; il y étudie l'opéra, forme musicale dans laquelle il excellera à notre goût (Le nozze di Figaro (les Noces de Figaro), Don Giovanni, Così fan tutte (Ainsi font-elles toutes), Die Zauberflöte (la Flûte enchantée)…) et grâce à son travail sur les harmonies vocales et sa maîtrise de la polyphonie, il apportera une touche personnelle de sensibilité à ce genre. En Italie, il se lie

Le corpus que nous allons étudier se compose de trois extrait d'œuvres réalistes du XIXième siècle: - Le Portrait de Robert de Montesquiou (1897) de Giovanni Boldini (1842-1931) - Le père Goriot (1934-1935) d'Honoré de Balzac - Bel-ami (1885) de Guy de Maupassant L'étude de celles-ci nous permettra de préciser en quoi les personnages de Robert de Montesquiou, Rastignac et Georges Duroy se ressemblent

Tirso de Molina → texte fondateur (1625) II – LES ADAPTATIONS THEATRALES 1) L'adaptation italienne (vers 1650) 2) La comédie de Molières (1665) III – OPERAS ET ADAPTATIONS CINEMATOGRAPHIQUES ET LES MISES EN SCENE MODERNES 1) L'opéra Don Giovanni de Mozart 2) La mise en scène de Jean Vilar XXème siècle (1953) 3) La mise à l'écran de Manuel Bluwal (1965) INTRODUCTION : DEVELLOPEMENT : I] LE MYTHE 1) Un mythe c'est une grande histoire chargée de répondre à une question ou à une

congé, sans solde, ce qui lui permet de faire découvrir l'Italie à son fils (Mozart s'y rendra régulièrement jusqu'en 1773) ; il y étudie l'opéra, forme musicale dans laquelle il excellera à notre goût (Le nozze di Figaro (les Noces de Figaro), Don Giovanni, Così fan tutte (Ainsi font-elles toutes), Die Zauberflöte (la Flûte enchantée)…) et grâce à son travail sur les harmonies vocales et sa maîtrise de la polyphonie, il apportera une touche personnelle de sensibilité à ce genre. En Italie, il se lie

5 œuvres de Dom Juan -Texte 1 : Molière, Dom Juan 1665 -Texte 2 : Tirso De Molina, Le trompeur de Séville et l'invité de pierre 1630 -Texte 3 : Lorenzo Da Ponte, Don Giovanni 1787 -Texte 4 : Henry De Montherlant, La mort qui fait le trottoir 1956 -Texte 5 : Éric Emmanuel Schmitt, La nuit de Valognes 1991 Introduction Nous allons donc étudier 5 textes, mais plus précisément 5 fin d’extrait de plusieurs version de Dom Juan Molière, Dom Juan 1665 Molière de son vrai prénom Jean Baptiste Poquelin

fait que me ragaillardir. ¨Par chance que je T’aie connu, tu es présentement mon viatique et tu le serras sempiternellement, en d’autres mots, tu m’as sauvé par Tes mirobolants florilèges de notes, de la sonate # 11 (Alla truca) à Ton Opéra Don Giovanni, je les aime tous. J’ai tenté d’écouter d’autres sylphes de la musique classique de typologie galante et baroque (Beethoven, Haydn, Gluck, Chopin..), cependant je n’en fus aucunement capable, car Toi autant que Ta musique, êtes exceptionnellement

pièce ou que nous soyons seulement témoin de cette avant-dernière scène, on lui trouvera un mérite rare. Il luttera d'ailleurs jusqu'à l'extrême fin : les points de suspension représentent les ultimes souffles qu'il oppose à la puissance divine. Don Giovanni est, à mes yeux, le Dom Juan le plus vaillant, et le seul dont la pensée est encore en ordre à ce stade de la pièce ; il a encore conscience de ses convictions. A l'opposé, je placerais le Dom Juan de Tirso de la Molina. Ce dernier me semble,

obtient un congé, sans solde, ce qui lui permet de faire découvrir l'Italie à son fils (Mozart s'y rendra régulièrement jusqu'en 1773) ; il y étudie l'opéra, forme musicale dans laquelle il excellera (Le nozze di Figaro (les Noces de Figaro), Don Giovanni, Così fan tutte (Ainsi font-elles toutes), Die Zauberflöte (la Flûte enchantée)…) et grâce à son travail sur les harmonies vocales et sa maîtrise de la polyphonie, il donnera ses lettres de noblesse à ce genre. En Italie, il se lie au savant Padre

repris et recréé par de nombreux écrivains dont Molière, Lorenzo Da Ponte, Byron, Hoffmann, Musset, Mérimée et Dumas. L'usage établi veut que l'on écrive « Dom Juan » lorsqu'il s'agit du nom de l'œuvre de Molière ou du poème de Baudelaire, « Don Giovanni » ou « Don Juan de Mozart » lorsqu'il s'agit de l'opéra de Mozart et Da Ponte, « Don Juan » lorsqu'il s'agit d'une autre œuvre. 2. HISTOIRE Le personnage mythique de Don Juan serait né d'un fait divers rapporté par la Chronique de Séville. Selon