Giovanni Agnelli

quelles sont els constantes et les variations de la représentation de la fin de Dom Juan ? De quelle manière cette fin contribue-t-elle au mythe des personnages ? a) Le trompeur de Séville ou l’invité de pierre, Tirso de Molina (1630) b) Don Giovanni, Lorenzo Da Ponte (1787) c) Activités : * Fiche biographique sur Molière * Fiche méthodologique sur le baroque et le classique * Projection de Dom Juan dans une mise en scène de Daniel Mesguich Lecture cursive : Tartuffe, de

scènes 4, 5 et 6. Voir Petit Classique. Texte 3. Don Giovanni (1787), « pièce comique », Lorenzo da Ponte, musique de Wolfgang Amadeus Mozart. Traduction de Jean Massin. Fin de l’avant-dernière scène du deuxième et dernier acte (scène XVIII). LE COMMANDEUR Donne-moi la main en gage. GIOVANNI La voilà ! – Hé là !… LE COMMANDEUR Qu’as-tu ? GIOVANNI Que cette main est glacée ! LE COMMANDEUR Repens-toi, change de vie : C’est l’instant suprême. GIOVANNI, cherchant en vain à se dégager. Non, non, je ne me

exécuta le dessin et les fondations de la construction qui allait devenir le plus grand baptistère du monde. La construction est interrompue à la fin XIIe siècle et reprise en 1260 par Nicola Pisano.La décoration extérieure est confiée à son fils Giovanni Pisano, qui travailla à la construction du baptistère de 1277 à 1284 Sa construction fut achevée en 1363 par Cellino di Nese qui la coiffe de sa coupole gothique.La diversité des deux styles romans et gothique font penser à une longue durée des travaux

Le centre de la place se trouve la magnifique Fontana Maggiore. Le design a également été par Fra Bevignate et Nicolo et Giovanni Pisano a commencé la construction en 1275 et terminé en 1278. Les sportifs fontaine en bas-relief des statues montrant des passages de l'Ancien Testament, la fondation de Rome, les arts libéraux, un griffon et un lion dont la première représente Pérouse et celui-ci les Guelfes qui ont soutenu le pape dans sa quête pour le contrôle de remplacer le Saint-Empire romain germanique

celui de Tirso de Molina, l’Abuseur de Séville ou le convive de Pierre fut écrit en 1625. - Le second, Dom juan ou le festin de Pierre fut écrit par Molière en 1665. - Et enfin, le dernier extrait de Wolfgang Amadeus Mozart et L. Da Ponte , Don Giovanni fut écrit en 1787. Ces trois textes présentent un point commun à savoir qu’il s’agit de trois versions différentes de Dom juan. En premier lieu, les didascalies sont des indications scéniques (elles renseignent sur le décor, les costumes, les

première partie du recueil intitulée "Spleen et Idéal". Il faut savoir que, si le personnage de Don Juan est apparu au XVII° siècle à Molière comme le type de l’athée libertin, et au XVIII° siècle à Mozart encore comme un libertin, dans son opéra Don Giovanni [1], l’époque romantique a donné diverses autres interprétations de ce personnage. Ainsi en est-il avec le poète anglais Byron ou avec le peintre français Delacroix , dans son tableau du "Naufrage de Don Juan". Nous nous proposons de montrer comment

Le mythe de Don Juan a été utilisé par de nombreux auteurs depuis le 16ème siècle. Ce document s'attache à analyser les variantes du mythe ainsi que des thèmes tels que la morale amoureuse, la religion, la dénonciation des classes sociales ou encore l'inadéquation entre moeurs et morale dans la société. Au-delà de son égoïsme et de son insolence, Don Juan fait ressortir des points importants au niveau social. En effet, son instabilité et son irrévérence mettent en valeur certains caractères dans

en 1627, peut-être à partir de personnages réels. Depuis le mythe s'est répandu jusqu'à nos jours au théâtre, dans la poésie et le roman, au cinéma. Dans le nombre incommensurable d'oeuvres qui l'évoquent, deux sommets : Dom Juan de Molière et Don Giovanni de Mozart. Parti d'Espagne, le mythe se répand rapidement, en Italie d'abord puis en France vers 1660. La trame des pièces est alors toujours à peu près la même, avec des variations de détail : l'histoire d'un aristocrate débauché perdu par son refus

modifiées par des auteurs comme lord Byron dans sa satire épique Dom Juan (1819-1824) et George Bernard Shaw dans sa comédie l'Homme et le surhomme (1903). La légende est aussi à l'origine de chefs-d'œuvre musicaux, en particulier le célèbre opéra Don Giovanni (1787) de Mozart sur un livret de Lorenzo da Ponte, et le poème symphonique Dom Juan (1889) de Richard Strauss. Ces deux œuvres font de Dom Juan un personnage tragi-comique détruit par sa quête obsessionnelle de la femme idéale. Sources : "Dom

circonstances ayant présidé à la rédaction du Mariage de Figaro et du Barbier de Séville). Opéra -Le Nozze di Figaro, Vienne, Burgtheater, 1er mai 1786, par Mozart, livret de Lorenzo da Ponte, d’après Le Mariage de Figaro. -Il Barbiere di Siviglia de Giovanni Paisiello, Saint-Pétersbourg, 26 septembre 1782. -Il Barbiere di Siviglia, Rome, Teatro Argentina, 1815, par Rossini. D’après Le Barbier de Séville. À noter que cet opéra portait à l’origine le titre Almaviva. -Le Mariage de Figaro a été adapté