Git

entrent la tête d'une personne et son bras, portant une lampe à pétrole. En dessous, on distingue une femme qui se dirige vers la gauche. Derrière elle on aperçoit une femme qui pleure ou appelle à l'aide, les bras tendus vers le plafond. Sous elle gît une jambe coupée. Analyse : Picasso proteste contre l'horreur de ce bombardement. Les personnages sont enfermés dans une pièce, on comprend ainsi qu'ils n'avaient aucun échappatoire pendant l'attaque, aucune chance de s'en sortir. Les trois femmes

tien dans ces bras un enfant mort. Son visage est dressé vers celui du taureau qui est visiblement insensible à la douleur de la femme. Le regard du taureau est inquiètent il représente la froideur de l’attaque de la population basque. En bas à gauche git un guerrier décapité une épée cassé à la main. C’est la seul figure masculine du tableau son bras est découpé. Son épée briser rappelle l’héroïsme au combat il représente le parti républicain écrasé. Le cheval lui-même semble hurlé de douleur il évoque

Ils ont toujous de ces regards... Leurs yeux se cherchent, se trouvent tout de suite, s'immobilisent, se fixent, tendus, commen pleins a craquer. Elle sait de quoi est faite cette transfusion silencieuse qui s'opere au-dessus d'elle tandis qu'elle git entre eux, impuissant, inerte, terrassee: c'est bien la, hein? Nous avions raison. Tu as vu? J'ai vu. Mes felicitations, c'est bien la reaction prevue. Nous sommes tres forts. C'est exactement ce que nous pensions, c'est ce que nous disons toujours

est question des animaux puis dans la deuxième, il est question des hommes. Le substantif "gloire" est utilisé pour conclure chacune des sous-parties. La Bruyère personnifie la gloire à la fin du texte notamment avec les verbes gésir et aimer : "où gît la gloire", "elle aime". Cette personnification tend à prouver que tout est au service de la gloire. Selon l'auteur, la gloire est une valeur négative car elle est à l'origine d'un "carnage" et d'un "grand fracas". D'ailleurs, on trouve le champ lexical

rébellion, d’indépendance et de différentes cultures. Cela est indiqué dans le choix de mise en scène et de l’action qui prend place quand une image sordide s’ouvre à ses yeux. Une tête de mort, le choque. Il reste pétrifié par le spectacle sordide qui gît devant lui. Malgré cela, sa curiosité est attirée par cette scène horrible mais à l’opposé, son esprit veut s’enfuir.

Compagnie De Beers (exploite et vend) pour 5.7 milliard de dollars ; L’Afrique est continent de richesse, nous avons pu voire que cette mine d’or fait face à des tensions et des inégalités, pour enfin pouvoir tirer profit de la manne financière qui git sous ses pieds. Faisant ainsi le jeu du rouleau compresseur international formé par les pays riches. Je peux affirmer que détenir une richesse des sols devrait offrir une prospérité économique à l’Afrique et lui offrir un rang de puissance mais nous

pour agencer les différents éléments. Au centre se trouve un cheval blessé. A gauche, devant un taureau, se trouve une mère agenouillé hurlant son enfant mort dans ses bras. A droite du cheval, une femme accourt. A la base de la pyramide, un homme gît au sol tenant une épée brisée dans la main. D'une ouverture carrée, sort une tête et un bras tenant une lampe à pétrole. A sommet de la pyramide figure une lampe. Nous ne savons pas vraiment où se déroule la scène. Différentes lignes de fuite troublent

ferais la tombe buissonnière Je quitterais la vie à reculons... Tant pis si les croque-morts me grondent Tant pis s'ils me croient fou à lier Je veux partir pour l'autre monde Par le chemin des écoliers Ici-gît une feuille morte Ici finit mon testament On a marqué dessus ma porte : "Fermé pour cause d'enterrement" J'ai quitté la vie sans rancune, J'aurai plus jamais mal aux dents : Me voilà dans la fosse commune,

Qui contient plus de morts que la fosse commune. - Je suis un cimetière abhorré de la lune, Où comme des remords se traînent de longs vers Qui s'acharnent toujours sur mes morts les plus chers. Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées, Où gît tout un fouillis de modes surannées, Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché. Rien n'égale en longueur les boiteuses journées, Quand sous les lourds flocons des neigeuses années L'ennui, fruit

pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. * le soldat mort : Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée. C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. * la femme dans les flammes :