Git

l’ombre. La chaussure voyant cela s’élance du balcon pour atterrir dans la rue du dessous. Elle s’avance jusqu’à la ruelle où était l’homme mystérieux. SEQUENCE 2 : RUELLE – EXT – NUIT La chaussure est dans la ruelle sombre, le corps de la femme git par terre dans une flaque de sang frais. L’homme au chapeau s’enfuit par l’autre côté de la ruelle. La chaussure analyse la scène de crime, la femme a des vêtement prouvant qu’elle est une prostitué. Le meurtre a été commis avec une petite dague comme

tiens seulement à ne point vous laisser ignorer que vous pouvez me rendre heureux d'un mot, que vous pouvez faire de moi soit un ami fraternel, soit même un mari, à votre gré, que mon coeur et ma personne sont à vous."), alors que le corps de son ami gît devant lui. Également, tout au long du roman, il ne séduira que les femmes pour leur argent et ils s'en fichera des sentiments : son mariage avec Suzanne Walter n'est que pour ses intérêts car celle-ci possède un dot de dix millions de francs qui

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras.

et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants,le nez tombant. Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée .C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur,symbole d’espoir et de renaissance La femme à la lampe D’une maison

entre les deux partis (Nationalistes et Républicains) * Un cheval qui parait souffrir de douleur peut symboliser le peuple qui souffre ; * Une femme avec son enfant hurlant de douleur, devant le taureau, elle évoque la « piéta » * Au sol git le corps écartelé d’un soldat qui tient une épée cassée et une fleur symbolisant fragilité, vie et espérance * A droite, une femme fantôme semble faire irruption dans le tableau, brandissant une bougie. * Une femme en bas droite à l’air handicapé

112 *1* pdv réduits) apparaît subitement devant eux, ils bénéficie d'un avantage de combat après avoir traversé la salle il trouve face a une porte en bois derrière elle se trouve un long couloir et de nouveau une porte avec inscrit dessus : « Ici gît Jarlax ainsi que sa relique » si ils entrent ils aperçoivent le garde rencontré au début un combat s'en suit : 4 humain ninja et le garde voir guerrier humain lorsque les aventuriers gagne le vieillard Elibaal sort de derrière une statue et leur dit :

mannequin,tenancière de bar ( avec son mari) . - Appelée « La femme à barbe » -Devient célèbre grâce à sa différence.- Épitaphe : « Ici gît la femme àbarbe . » INFORMATIONS SUR LE RÉCIT - Les histoires racontées se passent dans des lieuxréels ( France, États-Unis, Australie … ) - Un dessin réaliste

« Si nous en faisions autant », dit la comtesse. On y consentit et elle déballa les provisions préparées pour les deux ménages. C’était, dans un de ces vases allongés dont le couvercle porte un lièvre en faïence, pour indiquer qu’un lièvre en pâté gît au-dessous, une charcuterie succulente, où de blanches rivières de lard traversaient la chair brune du gibier, mêlée à d’autres viandes hachées fin. Un beau carré de gruyère, apporté dans un journal, gardait imprimé « faits divers » sur sa pâte onctueuse

péripéties, un soir qu'il cherchait un gîte, Perceval est reçu par le Roi Pescheor (Roi Pêcheur) dans un château où il vit une bouleversante aventure. Des valets l'habillent d'écarlate et l'introduisent dans une vaste salle carrée au milieu de laquelle gît, à demi couché sur un lit, un homme vêtu de zibeline. Pendant que Perceval s'entretient avec lui, il est témoin d'un spectacle étrange : Un valet qui tient une lance resplendissante de blancheur s'avance. «A la pointe du fer de la lance perlait une

figure se dresse un taureau. Emblème de l’Espagne et symbole de la force paraît ici déconcerté. Sa tête est positionnée de profil et pourtant ses yeux semblent nous fixer. Juste a droite du taureau se trouve un oiseau qui semble s’égosiller. Au sol gît un personnage aux membres disloqués. Une de ses main à l’air crispée tandis que l’autre renferme une épée bisée. C’est un soldat, et sa mort souligne le fait que même les gens entrainés au combat n’ont pas pu se défendre. Mais une petite fleur pousse