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d’animaux dans un espace fermé. Ce tableau est organisé comme une frise, Guernica peut être décris de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d’elle, le buste d’une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. 1)

vermeil de Romuald. Violemment encouragé par Sérapion, ils vont chercher tous deux la tombe de Clarimonde dans le cimetière de la commune. Trouvant l'emplacement du cercueil, le vieil abbé Sérapion n'hésite pas à le profaner. La belle courtisane y gît, blanche mais fraîche, sereine, un filet de sang coulant de ses lèvres. Saisi d'une rage folle, Sérapion exorcise la morte dont le cadavre se disloque en un tas de " cendre et d’os ". Romuald conclura son récit par cette phrase : « Ne regardez

Notre-Dame qui émergent des fumées du dernier plan. Une foule d'émeutiers franchit une barricade. Au premier plan, associés aux matériaux–- Pavese poutres – que forment cette barricade, les corps de soldats morts apparaissent tordus et comme désarticulés. L'un gît nu. Un ouvrier ou un paysan blessé, foulard noué sur la tête, émerge des décombres, le corps et le regard tendus vers une femme du peuple, coiffée d'un bonnet phrygien dont s'échappent des boucles. Celle-ci est représentée en pied et occupe de fait

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au-dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Les

émergent des fumées du dernier plan. Une foule d'émeutiers franchit une barricade. Au premier plan, associés aux matériaux–- pavés et poutres – que forment cette barricade, les corps de soldats morts apparaissent tordus et comme désarticulés. L'un gît nu. Un ouvrier ou un paysan blessé, foulard noué sur la tête, émerge des décombres, le corps et le regard tendus vers une femme du peuple, coiffée d'un bonnet phrygien qui laisse s'échapper des boucles. Celle-ci est représentée en pied et occupe de

noirs! dans l'après-midi, tard, Comme il est douloureux de voir un corbillard, Traîné par des chevaux funèbres, en automne, S'en aller cahotant au chemin monotone, Là-bas vers quelque gris cimetière perdu, Qui lui-même, comme un grand mort gît étendu! L'on salue, et l'on est pensif au son des cloches Elégiaquement dénonçant les approches D'un après-midi tel aux rêves du trépas. Alors nous croyons voir, ralentissant le pas, À travers des jardins rouillés de feuilles mortes, Pendant

III U ne soci ́ et ́ e postindustrielle ( des ann ́ ees 1970 ` a nos jours ) en 1982, puis dépassent la barre des 3 millions en 1993. Il s’a git d’un chômage struc- turel qui touche particulièrement les jeunes, les travaill eurs sans qualification (et donc les ouvriers issus de l’immigration), les employés proches de l’âge de la retraite et les femmes. • La France est confrontée au renforcement des disparités soc iales : les français les moins favorisés (salariés agricoles

irrégulières nous laissent à penser qu'elle s'effondre en brûlant devant une maison en flammes. - Sur la partie de droite de la composition, nous voyons une femme qui accourt. Sa pose est nettement orientée vers la diagonales tombante. - Au premier plan, gît la statue de guerrière allongée au sol, une épée brisée à la main. Cette statue en plusieurs morceaux creux, éparpillées au sol. - Enfin, d'une ouverture carré, nous distinguons une tête humaine qui s'avance et un bras tenant une lampe à pétrole au-dessus

personnages et d'animaux dans un espace fermé.Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau.Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Picasso

vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Description : - poème en vers - Constitué de trois quintiles - Les vers de la première