Git

représenter une colombe signe de paix et d'espoir. Cette femme qui tient son enfant dans ses bras montre par son visage de la douleur. Elle pleure la mort de son enfant et hurle au ciel toute sa détresse. Le soldat dans le bas du tableau est démembré. Il git au sol doté d'une épée brisée. C'est la figure du combattant. La femme qui est dans les flamme aux bras levé vers le ciel ferai référence au tableau Tres de Mayo peint par Francisco de Goya en 1814. Il représente des espagnols executés pour s'être

montre un ensemble de personnages et d'animaux dans un espace fermé. Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Pablo

l’agresseur , il y a aussi un oiseau qui est à peine visible , dans l’ombre, entre le cheval et le taureau , il se peut que se soit une colombe et que donc se soit le symbole de ,l’espoir et de la paix. Au premier plan à gauche on peut voir un soldat qui gît. Au centre du tableau, sous une ampoule, se trouve un cheval qui se tord de douleur, de ce que Pablo Picasso à dit le cheval représente le peuple, une lance le transperce , la tête rejetée en arrière la bouche semble hurler. C’est le seul personnage

organisé. Fiche descriptive E5 GIT Dominante : « Information et multimédia » BTS TOURISME – Session : 20… Fiche descriptive E5 – GESTION DE L’INFORMATION TOURISTIQUE Dominante « information et multimédia » Epreuve ponctuelle Nom et prénom du Candidat : Fiche n °  Tronc commun  Dominante Type de production : Description de la production (en quelques lignes) : Logiciels et matériels utilisés : Fiche descriptive E5 GIT Dominante « information et tourismatique »

son attachement pour son île natale et nous montre combien elle lui manque avec « ma gloire est sur les sables » qu’il écrit à plusieurs reprises. Il ne se sent pas bien aux Etats-Unis qui le nomme par la périphrase suivante « lieux vains et fades où gît le goût de la grandeur ». Mais l’exil qui apparaissait comme une source de déchirement dans les autres poèmes devient ici une source d’inspiration. L’exil lui permet aussi de nouvelles choses puisque « toute chose au monde [lui] est nouvelle ! » ce

célèbres. * EN FRANCE : Les ébranlements causés par la Réforme, par les guerres continuelles, par les grandes découvertes (astronomie) vont accentuer dans les esprits l’obsession de l’inconstance et de l’inconsistance de tous et de tout. L’univers gît dans une corruption dont seule la «grâce divine» peut retirer ceux qu’elle a choisis (influence de saint Augustin sur l’esprit baroque). La littérature, par ses formes, traduit cette vision tourbillonnante du monde. DEUX PÉRIODES Elles restent très

sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat mort sous le cheval Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la

13-Périphrase Elle désigne par une longue expression un seul mot Ex:Le soutien de la vie-->la nourriture 14-Oxymore Procédé qui consiste à employer dans la même expression deux termes contradictoires. Ex: Craindre d'en échapper. Où git la gloire. 15-Litote Procédé qui consiste à dire moins pour suggérer plus, ànier le contraire. Ex: Ce n'est pas une petite peine que de garder l'argent. Il n'a pas l'air heureux 16-L'euphemisme Cela consiste à utiliser une expression

decoupé en plan triangulaire.Au centre on peut apercevoir Le centre est occupé par une lampe en forme d’un il, et qui domine toute la scène. Au-dessous, la silhouette d’un cheval, dont les violentes contorsions traduisent une immense frayeur. Au sol, gît le corps écartelé d’un soldat : au bout du bras, détaché du corps, la main étreint encore une épée et une fleur. A gauche, sous la tête menaçante d’un taureau, une femme crie désespérément en serrant dans ses bras un enfant un enfant mort. A droite

toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours