Git

taureau, il est l'incarnation de la brutalité et l'obscurité dans cette espèce de « corrida ». Il représente les Nationalistes dans cette guerre. Il semble fixer le spectateur avec ses yeux humain. Il a lui aussi la langue pointue. En bas, un soldat mort gît sur le sol, il tient de sa main démembrée une épée brisée. Il montre la détermination, la valeur, la lutte jusqu'à la mort. Il symbolise l'impossibilité de continuer la lutte, l'inégalité des armes, il est Républicain. En effet, les républicains n'avaient

et analyse du tableau.) : 1.- Au premier plan, on voit l’artiste de dos assis sur un tabouret se penchant sur la gauche : il porte des lunettes et sa pipe semble sur le point de tomber. Sa main droite est levée, prête à peindre tandis qu’à ses pieds gît un seau cabossé rempli de peintures et de torchons usagés. Nous pouvons aussi voir la toile sur laquelle l’artiste travaille : nous assistons au commencement d’un autoportrait. Ce dernier est beaucoup plus grand que nature, sans lunettes: l’ensemble

remords « s’acharnent toujours sur mes morts les plus chers », ses remords rongent ses souvenirs les plus précieux. Enfin dans cette strophe, Baudelaire se compare à une vieille petite pièce en disant « Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées où gît tout un fouillis de modes surannées», il évoque également des souvenirs d’arts avec « pastels plaintifs » et les « pâles Boucher». La mémoire du poète est comme une vieille pièce désordonnée d’objets démodés, vide et sans vie. Baudelaire se sent

corriger un défaut de discipline. Peut-être l'éducation deviendra-t-elle toujours meilleure, et chacune des générations qui se succéderont fera-t-elle un pas de plus vers le perfectionnement de l'humanité ; car c'est dans le problème de l'éducation que gît le grand secret de la perfection de la nature humaine. On peut marcher désormais dans cette voie. Car on commence aujourd'hui à juger exactement et à apercevoir clairement ce qui constitue proprement une bonne éducation. Il est doux de penser que la

tels que des oiseaux rapides, avec plus d'ardeur que le feu indompté, tous les hommes se ruer vers le rivage du Dieu occidental ! Antistrophe II. La Ville est épuisée par les funérailles sans nombre; [180] la multitude non pleurée et qui donne la mort gît sur la terre ; et les jeunes mariées et les mères aux cheveux blancs, prosternées çà et là sur les marches de chaque autel, demandent par des hurlements et des gémissements la fin de leurs maux déplorables. Le cantique lugubre et le bruit plaintif des

langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat mort : Il gît, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur,symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la

et narine en formes de larmes et la langue pointue qui sort de la bouche de la femme; -Le visage basculée ver les ciel , la mère hurle sa détresse au ciel; -L'enfant dans ses bras , les yeux vides, la tête et les bras ballants.Le soldat mort -Il git sur le sol; -Démembré, tête et bras coupée); -Main encore fermée sur l'épée cassée ( figure du combattant); -une fleur sort de la main, symbole d'espoir et de renaissance ( fragilitée de la fleur souligner par la finesse du contour); La femme

peur pas plus que les paroles impies prononcées contre les dieux vénérables. Si Nous avons ajrd achevé de parcourir Les années fixées par le destin, fais qu’une pierre soit dressée au-dessus de mes ossements avec cette inscription : CI GIT Tibulle, Victime d’une mort cruelle tandis qu’il suit Messala sur terre et mer. COMMENTAIRE DE LA NOSTALGIE DE L’AGE D’OR, TIBULLE Introduction : Auteur : Tibulle : -jeune poète, on ne connaît pas précisément sa vie -protégé par Messala et

pièce à la fois scénique et remarquablement divertissante, se trouve elle aussi confinée dans cette fameuse maxime si vulgarisée : « l’enfer, c’est les autres ». L’enfer peut être vécu sur terre, l’enfer allégorique se trouve à la portée de tous, et gît à travers la nature même de l’humanité. Hobbes théorise l’idée que l’homme est un loup pour l’homme, en dénonçant l’aspect pernicieux de l’Homme face à son semblable, parce qu’il le considère violent et primitif à l’état de nature (l’Homme face à lui

frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau dont l'origine artistique et mythique remonte a l'age minoen ; et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur,agonisant, transpercé domine le combattant blessé. Trois femmes forment un cœur tragiques : A droite, en bas, une femme, un genou à terre tombe sur une maison