Giuseppe Fieschi

Etude de texte :​  Le Guépard,  Tomasi di Lampedusa, 1958    Introduction :  L’arrivisme est un moteur de création romanesque.   Le Guépard est l’unique roman de Di Lampedusa mais c’est une oeuvre majeur de la  littérature italienne. Il décrit son milieu c’est à dire l’aristocratie sicilienne et son récit retrace  plusieurs décennies d’une histoire de grande famille, mutation sociale et politique de l’Italie  au XIX siècle.   Lampedusa analyse le déclin de la noblesse à qui il reproche sa facilité

trois glorieuses et aux premières années de la monarchie de Juillet a) Une insurrection organisée mais sans profit pour les républicains b) La déception du régime orléaniste et la tentative de nouvelles insurrections. c) L'attentat de Fieschi et ses conséquences. III- La maturation du mouvement républicain jusqu'à la prise de pouvoir en 1848 a) Les nouveaux moyens d'actions et chefs de files républicains b) L'insurrection de Fevrier 1848 et la mise en place de la 2nde République

insurrection en juin 1832 à Paris, en 1834 à Lyon et Paris. - contestations multiples de son pouvoir : républicains, bonapartistes et monarchistes légitimistes. A la suite d’une tentative d’assassinat du roi par des républicains (par Guiseppe Fieschi attentat dit de « la machine infernale » avec 18 morts et 42 blessés), la liberté de la presse est restreinte (1835). En vieillissant, le roi se raidit et devient de plus en plus autoritaire refusant la démocratisation, tandis que l’opposition

gouvernements » décrédibilise le régime aux yeux du peuple qui dénonce la corruption des députés.Les rivalités politiques débouchent aussi parfois sur des actes terroristes. C'est le cas le 28 juillet 1835, lorsqu'à l'occasion d'un défilé militaire, le corse Giuseppe Fieschi, aidé par un militant républicain, déclenche une fusillade au passage du cortège royal. Le roi survit à cet attentat et décide de faire prendre un virage autoritaire au régime. En septembre 1835, le gouvernement fait voter une série de lois répressives :·

préconise un abaissement du cens de 200 à 100 francs (soit 200 000 électeurs de plus), comme celle de Rémusat, qui veut interdire le cumul d'un mandat et d'un poste de fonctionnaire, sont repoussées. Le banquet Après la tentative d'assassinat de Fieschi sur Louis-Philippe, le 28 juillet 1835, les rassemblements publics sont interdits. Pour contourner l'interdiction l’opposition organise donc des « Banquets », des repas assez frugaux où un grand nombre de partisans se réunissent, mangent et discutent

gouvernement de la monarchie bourgeoise, appuyé sur des Chambres formées de notables, étouffa ces manifestations populaires, supprima de fait le droit d'association, musela la presse d'opposition en lui intentant des procès ruineux. Le 28 juillet 1835, Giuseppe Fieschi tenta de tuer Louis-Philippe, et cet attentat durcit encore le régime : les lois de septembre, contre lesquelles Musset allait s'élever, visèrent à punir toute attaque, dans la presse, contre le roi et la forme de gouvernement, frappant d'interdit

pendant ce Gvmt : On organise le procès des émeutiers républicains, qui a lieu en mai 1835 et se solde par lourdes condamnations. Attentat républicain commis le 28 juillet 1835 qui manque de peu la personne du monarque. Attentat dit de (Giuseppe de) Fiéschi car système avec une multitude de canons appuyés les uns aux autres et pouvant tirer une quarantaine de balles. 42 morts 19 blessés Louis Philippe peu blessé. Prétexte pour le pvr royal qui en profite pour organiser répression contre la presse