Gladiateur

existe entre les lampes des combats de gladiateurs (221-222-223) et mon artéfact. La première lampes, 221, démontre une image d’un gladiateur qui est sur le point de porter le coup de grâce à un autre gladiateur qui est dos à lui. La seconde lampe, 222, est un combat entre 2 gladiateurs de différentes catégories. La troisième, 223, est l’emblème d’un seul gladiateur d’une catégorie bien précise et on dirait qu’il a vaincu. Il y a trois catégories de gladiateurs, les rétiaires, qui sont armés d’un filet

que Spartacus a servi dans une légion, qu'il a été fait prisonnier de guerre et vendu. On peut supposer qu'il ait été enrôlé de force comme auxiliaire, et qu'il soit un déserteur repris et vendu comme gladiateur. Conduit à Rome pour y être vendu, il est acheté par un laniste (marchand de gladiateurs), Caius Cornelius Lentulus Vatia, qui l'emmène dans son école à Capoue[1]. D'après Plutarque, sa femme, qui est « originaire de la même tribu que lui » et « devineresse sujette aux transports dionysiaques

Spartacus. Les Thraces sont des soldats déserteur. La gladiature se composera dès lors de volontaire et sera une activité professionnelle. Offert par de riches mécènes qui entrainent dans des écoles de gladiature. Dans la société romaine, les gladiateurs sont méprisés car ils sont humbles d'originaire et acceptent d'être les objets des autres. Mais ils sont en même temps adulés pour leur courage, leur mépris de la mort et leur amour de la gloire. II Gladiature du Haut Empire (-27 av JC - 230

Les combats de gladiateurs, de fauves et navales 1/ Les combats de gladiateurs Les gladiateurs étaient des prisonniers de guerre, des condamnés, des professionnels ou de simple aventuriers. Ils étaient entraînés par de véritables imprésarios qui les louaient très chers aux organisateurs. Les combats pouvaient durer toute la journée. Les gladiateurs saluaient l'empereur avec la phrase « Ave Caesar, morituri te saluant », ce qui voulait dire « Salut César, ceux qui vont mourir te saluent ».

dotée, paraît-il d'un postérieur à l'étoupe assez inflammable, serait tombée amoureuse sotte d'un beau gladiateur. Peu intelligemment, elle se résigna à confesser sa passion à mon mari. Le digne Marc Aurèle, philosophe stoïcien, donc sceptique par nature, condescendit cependant à consulter des mages et des astrologues qui lui conseillèrent un traitement radical. D'abord, naturellement, le gladiateur sacrilège devait être occis. Ensuite Faustine pendrait un bain de siège, chaud, parfumé et prolongé,

d'origine grecque : hypo (sous) et gê (la terre)). Il reste peu actuellement de l'arène originale, mais l'hypogée est encore bien visible. Il était constitué d'un réseau à deux niveaux souterrains de tunnels et de cages situés sous l'arène, où gladiateurs et animaux se tenaient prêts avant le spectacle. Des plates-formes à charnières permettaient l'accès des éléphants et autres grands animaux. L'hypogée a été restructuré à maintes reprises, et l'on peut distinguer au moins douze différentes phases

| | |[pic] | I. BIOGRAPHIE : Spartacus était un berger, esclave et un gladiateur thrace. Il fut le chef de l'une des révoltes les plus importantes d'Italie du Sud entre -73 et -71. Il est né en l'an - 100 au Sud-Ouest de son pays d'origine, dans une tribue Maïde le long du fleuve Strymon. Les romains

Vespasien en 72 PCN, son architecte s'appelle Celer. Mais ce sont ses fils Titus puis Domitien qui le terminèrent. Son inauguration en 80 fût le prétexte à des Jeux grandioses, étalés sur cent jours, qui causèrent la mort de 5 000 fauves et de 2 000 gladiateurs. De récentes découvertes suggèrent que le bâtiment aurait été financé par la campagne de Judée, et en particulier par le pillage du temple de Jérusalem. Mais on sait que l’amphithéâtre fût en partie bâtit pour des raisons économiques : Vespasien

Commode (L. Aurelius Commodus), est un personnage véridique2. Lucilla (Galeria Lucilla), est également un personnage réel3. Le colisée a bien sûr existé, et tient toujours4. Rudis, l’épée de bois, symbole de liberté, permettant aux gladiateurs d’être libre, a également réellement existée5. 1 Marc Aurèle. http://www.empereurs-romains.net/emp18.htm [page consultée le 24 octobre 2014] 2 De La Chute de L’Empire Romain à Gladiator. http://www.peplums.info/pep53b.htm, partie

il lui fallait « panem et circenses », ce qui signifie « du pain et des jeux du cirque ». Sur les gradins, les spectateurs pouvaient parier sur des combats entre hommes (les gladiateurs) ou contre les animaux sauvages. On pouvait ainsi y voir des funambules, des voltigeurs à cheval, du domptage, des combats de gladiateurs. Ceux qui affrontent les animaux sont les "bestiaires": ils luttent contre des taureaux, des fauves ou des ours. Ces jeux remportaient un grand succès et il y avait parfois plus