Globalisation De La Richesse Et De La Pauvreté

des FMN et leurs conséquences ...................................................... Dossier documentaire : Les fonds souverains et les IDE dans la mondialisation..................... 89 90 95 98 101 102 104 108 Thème 3 – La répartition des richesses Chapitre 11 La formation et la répartition des revenus .................................................................... 1. La formation des revenus.............................................................................................

personnes supplémentaires, un début de consommation, l’école, souvent l’université et la réussite matérielle. C’est considérable et absolument nécessaire face aux nombreux problèmes, nuisances et entraves à la simple vie quotidienne : la grande pauvreté qui persiste, la corruption, la faiblesse de l’Etat et le budget fédéral mal en point, le manque d’infrastructures, une démographie toujours forte, une disparité importante, les violences, les attitudes racistes et intolérantes, la rébellion

Croissance et mutations du commerce mondial : A. Essor des échanges et montée des interdépendances : 1. Le commerce international avant les Trente Glorieuses : * Mondialisation : développement des échanges de biens et services. * Globalisation : mondialisation avec en plus des flux financiers, humains, culturels et technologiques. Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l’évolution du commerce international (biens & services) est marquée par de grandes caractéristiques. Au

la plupart) répartis sur les différents océans : c’est le cas de la France, du Royaume-Uni, de l’Espagne, de la Norvège mais aussi d’autres États dans le monde disposant d’îles : Argentine, Inde, Japon… À cela s’ajoutent des États convoitant les richesses contenues dans leur ZEE qu’ils souhaitent étendre (Brésil, Russie dans l’océan Arctique). 5. La carte illustre la fragmentation du monde (193 États à ce jour, le dernier étant le Sud-Soudan) liée à plusieurs facteurs : éclatement de l’URSS, des États

(ENSAE), Paris. Membre des GDR "Economie et finance internationales", "Théories et méthodes de la macroéconomie" Organisation de colloques : GDR "Economie et finances internationales", avec Antoine BOUËT (UPPA), à l'UPPA, en juin 1998 (ouvrage Globalisation et politiques économiques, cf. publications) ; Emploi, inégalités et protection sociale, colloque de l'AEA, avec Danièle MEULDERS (ULB), à l'UPPA, en mai 1999 ; Prix des actifs, GDR "Monnaie", avec Anne LAVIGNE (Université d'Orléans), à l'UPPA

| |CNUCED |Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement | |CSLP |Cadre stratégique de Lutte contre la Pauvreté | |CSMOD |Cadre stratégique de Mise en œuvre de la Décentralisation | |DAF |Direction

largement les théories économiques modernes. Pourtant avant cette fin du XVIIIe siècle une réflexion économique existait déjà. Il faut indiquer que tous les courants de pensée susmentionnés répondent tous à une même question : d’où provient la richesse des nations ? I/- LES BALBUTIEMENTS DE LA SCIENCE ECONOMIQUE AVANT LES CLASSIQUES A/ L’ANTIQUITE ET LE MOYEN AGE Pendant l’antiquité et le moyen âge, la réflexion économique est très liée à la philosophie et à la morale. Ainsi Aristote

un projet démocratique. DACHEUX dit que dans une société démocratique, il n’y a pas de miracles mais des initiatives, tentatives qui tâtonnent pour créer le bien être collectif. C’est une alternative « souhaitable » pour un processus subit (Globalisation Economique). Mais par cette dimension utopique, l’ES est un mouvement politique mais aussi une construction symbolique et une réalité économique. L’ES, c’est l’imbrication dans l’espace publique par ces trois dimensions. Il y a un écart considérable

sauvegarde puisait dans le seul registre « muséal ». 1.2/ … A une politique de lutte contre la pauvreté Après avoir promu sans réserve la politique des plans d’ajustements structurels d’inspiration néo-libérale « la Banque Mondiale a pris conscience des dégâts sociaux qu’elle a provoqué […] si bien qu’en 2000, le rapport sur le développement dans le monde de la Banque Mondiale s’intitulait : combattre la pauvreté » (Vermeren, 2001 : 91). Cette institution considère que l’échec relatif de ces politiques

décision des consommateurs). Les grandes entreprises ont très vite compris l'intérêt stratégique de la globalisation : possibilité de baisser fortement les coûts de production en délocalisant dans les pays émergents, et, en un double effet kiss cool, possibilité de freiner voire de bloquer les hausse de salaire dans les pays occidentaux grâce à l'épée de Damoclès de la dite délocalisation. La globalisation a boosté de façon formidable les profits des entreprises, et contribue à expliquer que la part des