Globalisation Phénomène étatique

Tu lCertaines mettent plutôt l'accent sur l'étude de l'impact sur un phénomène donné des relations sociales et interactions entre individus . Par exemple : l'effet chez un individu de l'appartenance à une Catégorie socio-professionnelle dans le choix de son habitat ou de sa pratique culturelle. Cette école s'intéresse de ce fait essentiellement à la mise en évidence et à la compréhension des interactions entre individus, considérés par ailleurs comme relativement rationnels. Mais la plupart des

« îles » métropolitaines, fortement connectées entre elles, formant un archipel mondial, ce qui perturbe les hiérarchies nationales. Les échanges établis entre ces villes mondiales créent un réseau supra-national qui s’affranchit des frontières étatiques. Paris (ou du moins ses décideurs économiques) a aujourd’hui plus de relation avec New York qu’avec Orléans, Reims ou Rouen. Quelque soit le critère retenu, les mêmes métropoles arrivent en tête : New York, Londres, Tokyo, Paris sont en tête, suivies

INTERNATIONAL, CROISSANCE ET DEVELOPPEMENT NOTIONS ESSENTIELLES DE LA SECTION Internationalisation : Echanges qui vont s’établir dans toutes les régions du monde. Transnationalisation : Développement de FTN qui va vendre et produire à l’étranger. Globalisation : Mise en place de réseaux mondiaux de production et d’information mais également des réseaux politiques et problèmes mondiaux. Géopolitique : Relation entre les enjeux de territoire et politique. Dévaluation compétitive : Sous évaluer sa monnaie

l’économie mondiale. Quand elles incluent la dimension structurelle dans laquelle s’insère le comportement supposé rationnel des acteurs de l’économie politique internationale, elles peinent à dépasser une conception équivalente à la somme des parties (étatiques) qui la compose. LA PREMIÈRE VAGUE DE CRITIQUES HÉTÉRODOXES C’est sur la base de ce constat que des chercheurs ont d’emblée souscrit à une définition beaucoup plus large de l’EPI. Pour ne citer que deux d’entre eux qui ont fait œuvre de

effet , comme pouvait l’énoncer Jean-Pierre Paulet dans son ouvrage ‘’La Mondialisation ‘’ (1998) ,« l’inégalité crée l’échange » ; en effet, le constat se révèle être exact et pertinent : Les différentiels Nord-Sud sont effectivement à l’origine de phénomènes migratoires très marqués , des pays pauvres du Sud vers les pays riches du Nord . Amorcés durant les Trente glorieuses, de 1950 à 1973, il s’agissait de migrations de travail (pour la plupart du temps faiblement qualifiée) vers les économies

très particulier : c’est un droit politique (car s’applique aux autorités politiques, aux plus hautes institutions) mais c’est aussi un « droit-source » car c’est le droit qui détermine les formations des autres branches du droit. Toute la partie étatique de la formation du droit qui est essentielle est fabriquée selon les règles prévues par le droit onstitutionnel. C’est aussi le droit qui indique comment ces gouvernants vont prendre des décisions (Gvt, président), des décrets règlementaires. –>

XXe siècle et notamment avec le processus de globalisation, a-t-elle modifié sa place et son rôle dans les sociétés modernes ? On peut aussi la formuler plus brutalement en reprenant la distinction classique entre policy (une politique publique comme programme d’action) et politics (la politique en général). La question revient alors à se demander : les politiques publiques changent-elles la politique ? Ou encore : que nous apporte une analyse du phénomène politique non plus seulement à partir des inputs

1950 et que, simultanément, la pauvreté se soit accrue ? Pourquoi, sur 174 pays étudiés par le Pnud, 70 ont-ils connu une régression de leur consommation en vingt-cinq ans ? Telles sont les questions fondamentales qui soulignent le paradoxe d‟un phénomène engendrant à la fois un décuplement de la pauvreté tant dans le Tiers-monde qu‟au sein des sociétés industrialisées à coté d‟un enrichissement phénoménal profitant aux plus riches mais contribuant également d‟une manière globale à une aspiration

Cahiers français n°331 Le financement de l'économie Editorial (d’Olivia Montel) Des systèmes financiers en recomposition S'il y a bien un phénomène marquant dans l'histoire économique récente, c'est le processus de mondialisation financière qui se manifeste par le développement et l'internationalisation des marchés de capitaux. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, suite aux désordres financiers des années 30, les pays occidentaux ont fait le choix d'une architecture réglementée reposant

il existe un phénomène de diversification des acteurs au 20ème. L’augmentation du nombre d’États avec l’apparition des USA est considérable. Chaque guerre a entrainé la naissance d’États indépendants dans l’Europe, l’Asie et l’Afrique (1950-1960). Il y a le renforcement d'acteurs organisés : la SDN (Société Des Nations) en 1919 qui a succédée à l’OIT puis viendra ensuite l’ONU. Ces 3 organisations sont qualifiées d’Arte Fact selon les allemands. Il existe aussi des acteurs non étatiques en développement