Globalisation Phénomène étatique

l’intervention publique et de l’intervention de l’Etat) a) Le contexte : la crise et la globalisation des économies. - Les 30 Glorieuses : la construction de l’Etat-Keynésien-Providence. Avec 3 niveaux : des politiques macros économiques (de régulation conjoncturelle de l’économie : Keynes), structurelles (des politiques industrielles de l’Etat), et l’Etat Providence (politiques sociales) - La crise et la globalisation = une mise en question du modèle : une mise en question de la légitimité de l’intervention

n’y a pas de société sans droit. (Formule latine : nulla societas sine lege) 1) Dimension sociale du droit  On constate qu’il y a toujours eu du droit dans les sociétés, quelques que soit les lieux, quelques soit les époques. Le droit est un phénomène lié à la société. Quelle est cette raison de l’omniprésence du droit ? Cette raison est de garantir l’ordre social, il faut donc réunir deux conditions : la violence doit être limité, il faut que la communication soit possible entre les individus

apparaisse les premières formes d’organisations étatiques avec les cités-états comme en Irak ancienne (Mésopotamie). Les tablettes d’argiles couvertes d’écriture « fiscus » contiennent très souvent une comptabilité publique traduisant la mise en place d’une organisation de la production agricole, de l’artisanat, du commerce. Ce système nécessaire pour collecter les ressources publiques permettant la première mise en œuvre des fonctions sociales et étatiques. Par la suite, l’Egypte ou les autres grands

pertinence dans l’ordre international. En effet, on peut penser que là où il y a la société internationale, il y a le droit international. Et il n’y a de droit international que d’une société internationale. Avant d’être un phénomène historique ou politique, le DIP est éminemment un phénomène social. Il est le droit de la société internationale. Il s’agit d’une société sui generis c’est-à-dire d’un genre particulier (I), encadré par un ordre juridique spécifique animé d’une logique de système propre (II)

Kondratiev, en identifiant quatre principales étapes du développement capitaliste : le « capitalisme libéral et industriel », « le capitalisme monopoliste issu de la grande dépression de la fin du XIXème siècle», « le capitalisme fordiste à régulation étatique » et enfin le néo-capitalisme marqué par un retour en force du méta-capitalisme. En conclusion, nous proposerons une nouvelle mise en perspective de la genèse du capitalisme contemporain en deux très longues périodes, suivies d'une éventuelle troisième

La société mère contrôle des filiales (+ 50% du capital), des sociétés affiliées (10 à 50%) ou des joint venture (50/50%). Leur nombre est passé de 7 000 dans les années 1960 à 82 000 de nos jours (Doc 1). Comment s'est passé ce processus de globalisation des firmes ?  Au XIXe et dans la première moitié du XXe siècle, ce sont les FTN européennes qui investissent directement à l'étranger (IDE) dans leurs colonies. Elles y implantent des "filiales primaires" pour se procurer les produits primaires

l'économie: l'exemple de l' ALÉNA 22 104.2 L'émergence de la Chine et le démantèlement de l'Accord Multifibre (AMF) 29 CHAPITRE II L'EMPLOI ET LA DÉLOCALISATlON DANS LES PAYS INDUSTRIALISÉS: LE DÉBAT THÉORIQUE 35 2.1 La délocalisation : un phénomène difficile à mesurer. 35 2.1.1 L'approche macroéconomique 37 IV 2.1.1.1 Les flux des importations en provenance des pays émergents 37 2.1.1.2 Les flux des investissements directs à l'étranger 38 2.1.2 L'approche individuelle ou microéconomique

raison de cette extension est liée au développement des relations internationales et transnationales. Dans la période de mondialisation qui est la nôtre, on assiste à un développement plus important de l'interdépendance entre Etats : c'est le phénomène de globalisation. Ceci implique des domaines de coopération de plus en plus larges qui vont être régis par le droit international. On assiste à une transformation du système des relations internationales. Entre la fin de la Seconde GM et les années 90, le

libéralisation et à la dérèglementation des marchés financiers ainsi qu’à la globalisation financière internationale. Ces phénomènes de décloisonnement et dérèglementation (ANNEXE N°1) ont permis aux « malfaiteurs financiers » de dissimuler leur argent « sale » avec une aisance insolente, ils ont désormais à leur disposition des circuits d’intégration rapides ainsi que des rendements attractifs. A cela s’ajoute le phénomène de la désintermédiation financière qui permet à de nombreux acteurs économiques

organisation spatiale ; spatialité ; localisation ; distance ; espace de vie ; espace vécu ; espace social. De nombreux géographes définissent leur discipline comme une science de l’espace :  La géographie serait la science de la spatialisation des phénomènes (sociaux, naturels, économiques, etc.) ou encore une science de la localisation.  Conformément à l’étymologie (géo = terre/graphie = étude), la géographie serait la science qui étudierait l’espace entendu comme la surface terrestre. Dans cette