Glycoprotéine

constitué par des molécules qu’il possède en propre, molécules qui peuvent différer d’un individu à l’autre. Un autre exemple de phénotype lié à des molécules est le CMH : complexe majeur d’histocompatibilité. LE CMH est constitué de plusieurs glycoprotéines présentes à la surface des cellules, molécules qui diffèrent d’un individu à l’autre et constituent pour lui une véritable carte d’identité chimique de ses cellules. Le lien entre le phénotype de l’individu et les molécules qu’il possède peut

bandelette sont révélés par une réaction colorée. |   Document à exploiter : Résultats obtenus chez les deux individus La séropositivité pour le VIH est confirmée lorsque l'individu testé présente des anticorps dirigés contre : - au moins deux glycoprotéines membranaires différentes (gp 160, gp 120, ou gp 41) - au moins une protéine membranaire ou interne (p 55, p 40, p 25, ou p 18) - au moins une enzyme virale (p 68, p 52 ou p 34)   Document 2 : Dénombrement des populations de LT4 chez trois

phénotypique de génotypes spécifiques. Un exemple du programme permet d'illustrer cette diversité d'un point de vue biologique. A la surface de la membrane de ses cellules, chaque être humain possède en effet des combinaisons originales de glycoprotéines appelées marqueurs majeurs d'histocompatibilité ou plus communément marqueurs du Soi. Ceux-ci sont absolument différents entre individus et sont donc une véritable carte d'identité cellulaire. Là encore, la diversité des marqueurs du Soi est l'expression

de jonction qui s’appelle la « ligne de Farre- ??? »2. L’albuginée ovarienneElle se situe entre l’épithélium ovarien en surface et le stroma cortical en profondeur. Elle est pauvre en cellules mais riches en substances fondamentales (protéines, glycoprotéines). Elle peut s’épaissir de manière pathologique comme lors du syndrome de Stein-Leventhal.3. Le stroma corticalIl se situe sous l’épithélium ovarien et est riche en cellules conjonctives d’allure fibroblastique (pas des fibroblastes=allongé et

basophiles • MEC : ◦ Elle est la composante majoritaire des tissus conjonctifs. ◦ Elle est constituée d’une matrice organique (substance fondamentale) et de fibres. ◦ La substance fondamentale est un gel très hydraté composé de protéoglycanes et de glycoprotéines de structure ou d’adhérence. Le collagène constitue des fibres qu’on retrouve typiquement dans la partie fibre de la MEC. ◦ Les protéoglycanes sont synthétisés par les fibroblastes ; les fibrocytes sont quiescents. ◦ On retrouve l’acide hyaluronique

, gp 4l p40 p34 * I Xnoo' p25 t ,"* l,l1 * ip:+ o,,u 15t01 12107 de la même année La séropositivité pour le VIH est confirmée lorsque l'individu testé présente des anticorps dirigés contre ; - au moins deux glycoprotéines membranaires différentes (gp 160, gp 120, ou gp 41) - au moins une protéine membranaire ou interne (p 55, p 40, p 25, ou p 18) - au moins une enzyme virale (p 68, p 52 ou p 34) gWOSCME1 4t5 Partie ll - Exercice 2 lmmunologie Document 2

sont liées entre elles ) assurer le transport et l'échange de substances avec le milieu extra-cellulaire ou entre cellules ( les cellules du pancréas fabriquent l'insuline et la sécrète dans le sang ) identifier l'origine des cellules grâce aux glycoprotéines de surface ( ces molécules sont des antigènes, exemple: le groupe sanguin A,B, O ) Dessin membrane cellulaire cytoplasmique La structure La membrane est constituée de 2 couches : une couche tournée vers l'extérieur

c’est-à-dire rendu capable de féconder l’ovule car leur acrosome est fragilisé. II) La plasmogamie Autour de l’ovocyte on trouve un espace entre les cellules de la corona radiata qui contient un ciment intercellulaire. Ce dernier contient des glycoprotéines sécrétées par les cellules de la corona radiata. Les spermatozoïdes vont être capable de reconnaitre un ovocyte de la même espèce : s’il y’a reconnaissance, les spermatozoïdes vont tenter de pénétrer à l’intérieur de l’ovocyte. A) Adhérence du

quelque chose qui ressemble à une membrane plasmique (bicouche de phospholipides) C’est souvent une partie de la membrane des cellules hôtes mais ils y ont ajouté des protéines virales. Ce sont des glycoprotéines (protéines + ramification glucidique tourné vers l’extérieur du virus ) Ces glycoprotéines sont très immunogènes : elles entraînent une réactivité immunitaire de cellules hôtes. Quelques fois elles ont une activité enzymatique. Elles permettent la fusion du virus avec le cellule hôte, elles

virus animaux  Spicules   Permettent l’adsorption Très caractéristique  Permet la reconnaissance des récepteurs spécifiques situés à la surface des cellules  Mutent souvent  Du aux changements fréquents des spicules (glycoprotéines de surface; antigènes) Ex l’influenza  Tout est une question de reconnaissance  5 05/10/2012 Types de virus     Les virus nus Les virus polyédriques (plusieurs faces) Les virus hélicoïdaux (longs filaments) Les virus