Glycoprotéine

présent en double exemplaire. La capside renferme également des enzymes : une transcriptase inverse, pour transformer l'ARN viral en ADN intégrable dans un chromosome de la cellule hôte, une protéase et une intégrase. • L'enveloppe est piquée de glycoprotéines virales, la gp41 surmontée de la gp120, qui s'accrochent à la cellule hôte. • Les enzymes nécessaires à la reproduction du virus ne sont pas très fiables, si bien que les copies virales présentent des erreurs par rapport à l'original. Les souches

notamment dans la structure de la cellule et dans les mécanisations de signalisation en association avec des protéines, mais également comme réserve d’E°. Lorsqu’ils sont associés à une autre molécule organique comme les protéines, ils sont appelées glycoprotéine. 5. Les lipides Ils représentent 15% de la masse corporelles. Les lipides sont des molécules composées essentiellement de C et H. On en conclue une abondance de liaison non polaire, type C—H et C—C. Les lipides sont donc des molécules

1F. Toxines RTX (Hémolysine d'E. coli ) Infection S. aureus 1B. Toxines clivant des molécules de surface Entérotoxine de Bacteroides fragilis (BFT), métalloprotéase à Zinc, clive in vivo le domaine extracellulaire de la E-cadhérine, une glycoprotéine transmembranaire responsable de l'adhésion, entre cell épithéliales --> changements morphologiques (redistribution Factine, disparition jonctions serrées, rounding-up...) 1D. Toxines formant des pores * Insertion de pores dans la membrane plasmique

hydrophiles et queues hydrophobes DESSIN : Substances polaires ont de la misère à passer par la partie hydrophobe. Il y a donc des canaux qui laissent passer de l’eau, glucose .. L’eau se faufile parfois! Rôle de la membrane : filtre Glycoprotéine : ‘étiquette’ sur membrane sert à contrôler les échanges! Température basse : gras saturés (milieu membrane) pognent en pain Température haute : trop fluide Donc c’est pour cela qu’il y a du cholestérol ds la membrane, cela empêche que tout

milieu extérieur. 1- Les ultrastructures fondamentales Les membranes cellulaires 1- Les membranes cellulaires 1-1- Composition globale Les membranes biologiques: Lipides (30 à 50%) Protéines (50 à 70%) Sucres (faibles quantités)  glycoprotéines et glycolipides 1- Les ultrastructures fondamentales Les membranes cellulaires Organisation des lipides dans la bicouche Balance de Langmuir (1917) 1- Les ultrastructures fondamentales Les membranes cellulaires Micelle Propriétés

phosphate vont être libéré pour aller sur une autre molécule appelé substrat. Les enzymes composent le catalyseur qui est capable d’augmenter la vitesse d’une réaction. ROLE STRUCTURAL : Participe à la structure de macro molécules telles que : GLYCOPROTEINES, GLYCOLIPIDES Participe à la structure des coenzymes ( molécule non protéine) : COENZYME A, NICOTINAMIDE ADENINE DINUCLEOTIDE forme oxydée NAD ou forme réduite NADH, FLAVINE ADENINE DINUCLEOTIDE forme oxydée FAD ou forme réduite FADH Participe

hormone-récepteur qui change de conformation, ce qui permet au complexe de se lié à l’ADN et de contrôler la transcription de gène spécifique. L’action est longue et immédiate. 4° Communication avec récepteur membranaire : C’est toujours une glycoprotéine intrinsèque. • Récepteurs associés à des canaux ioniques (synapse neuromusculaire) : Flux d’ions à travers la membrane (courant électrique). • Récepteurs couplés à une protéine G (le glucagon) : Activation de la protéine G (cascade de réactions

illimités ● La surface d’échange correspond à la surface de l’épithélium alvéolaire qui est de 100m² ● -Le surfactant: ● Est une glycoproteine ● Possède des propriétés tensio-actives ● Possède des propriétés tensio-actives parce qu’il augmente la tension superficielle de l’air alvéolaire ● Est le garant de la stabilité alvéolaire ● -Le surfactant: ● Est une glycoproteine ● Possède des propriétés tensio-actives ● Possède des propriétés tensio-actives parce qu’il augmente la tension superficielle

anguleux ou acérés...) * Moindre efficacité des inhibiteurs de cristallisation (concentration insuffisante des inhibiteurs par rapport à celle des inhibiteurs, altération de la structure moléculaire des inhibiteurs macromoléculaires comme les glycoprotéines ou les glycosaminoglycanes...). et la (figure 2) englobe les différents étapes de la cristallogenèse après la sursaturation. Figure.2.Etapes de la cristallogenèse après la sursaturation II.2.2.Les étapes de la cristallogenese : II.2.2

bébé. => incompatibilité foeto-maternelle. III. Le système HLA : À l'exception des vrais jumeaux, chaque individu est unique et possède une identité biologique. C'est une carte d'identité moléculaire. Les molécules du système HLA sont des glycoprotéines résultant de l'expression de l'ensemble des gènes du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH). Ces gènes sont polymorphes, c'est à dire qu'ils possèdent de nombreux allèles co-dominants, ce qui explique la rareté de concordance dans le système