Gnome et Rhône

parties politiques et a garder le rôle acquis lors de la guerre. Sa politique est construite dans l'intérêt de la nation. (L60)« assurer un premier redémarrage de notre économie »A partir d'octobre 1945 il nationalise des entreprises : Renault , Gnôme et Rhône, la Bque de France et est crée le commissariat générale au plan De Gaulle n'hésite pas(L53) « à appeler auprès de moi des hommes de toutes tendances ». Par exemple lors de la constitution du gouvernement le 9 sept 1944 , De Gaulle fait appel

Safran, Snecma est la société dédiée à la propulsion aéronautique et spatiale. A) Présentation société 1-Historique 1905 : Création de la société Gnome par Louis Seguin (6 juin) 1912 : Création de la société des moteurs Le Rhône par Louis Verdet 1915 : Gnome absorbe Le Rhône et devient la société de moteurs Gnome&Rhône 1945 : Nationalisation de Gnome&Rhône et création de la société Snecma (Société Nationale d’Etude et de Construction de Moteurs d’Avion), le 29 mai 1974 : Snecma et General Electric

travailleurs bloquent la production, la CGT quintuple ses effectifs) : il s'agit d'une "explosion" pour Georges Lefranc. Ce mouvement de grève est divisé en deux phases : Phase initiale : seules les usines aéronautiques (Habre, Courbevoie, Gnôme-et-Rhône), Renault et les Aciéries de Longwy à Vénissieux son touchés. Il s'agit donc d'un mouvement propre aux ouvriers hautement qualifiés. On peut distinguer une cause principale : la radicalisation des conduites face à la crise fondé sur un désarroi

le nom de Zodiac en 1911 puis sera intégrée à Safran en 2018. o 1905 : Fondation de la Société des moteurs Gnome, à Gennevilliers, par les frères Seguin (moteurs rotatifs en étoile pour aéroplanes). En 1915, la Société des moteurs Gnome absorbe son concurrent principal, La Société des moteurs Le Rhône, créée trois ans plus tôt par Louis Verdet. Baptisée La Société des Moteurs Gnome & Rhône, la nouvelle entité se spécialise dans la fabrication de moteurs d'aviation. o 1911 : Sept ans après sa création

d’URSS, imposera la soumission des milices. 30 octobre : ordonnances qui augmentent les cotisations des assurances sociales hiver 44-45 : nationalisation des houillères du Nord, des usines Renault, et de l’entreprise de moteurs d’avions Gnôme et Rhône Les cadres et les techniciens fondent la Confédération Générale du Travail (CGC) 10 décembre : pacte franco-soviétique Sartre : les Mouches, Huis clos Camus : le Malentendu Aragon : Aurélien 1945 22 février : une ordonnance

1944 et les combustibles minéraux en 1946), les grandes banques (crédit lyonnais, Banque de France, Banque national pour le commerce et l’industrie et Société générale en 1945), les grandes entreprises industrielles (entreprises Renault, usine Gnome et Rhône en 1945) sont nationalisés entre 1944 et 1946. Grâce à ces deux initiatives, la France à connu de nombreux progrès sociaux. Dans cette vague de nationalisation, en plus de ce désir de relancer l’économie nationale, il y avait un idéal socialiste

que l’on commence à perdre… SPEER, en construisant une économie de guerre totale en Europe, met à contribution les entreprises européennes, notamment les entreprises françaises. Une des entreprises lyonnaises choisies par l’État Allemand a été GNOME ET RHÔNE, une entreprise de construction de moteurs pour avion. S’il avait fallu nationaliser toutes les entreprises utilisées par les allemands, la France serait devenue Stalinienne. Ces entreprises avaient des salariés, qui voulaient une paie à la fin

dans le cadre d’une politique volontariste, en nationalisant les secteurs vitaux de l’économie (énergie, banques, transports). Certaines de ces nationalisations sont des sanctions, comme celle de Renault ou la création de la Snecma à partir de Gnome et Rhône D’autres, comme la création d’Air France, d’EDF et de GDF et des Charbonnages de France, montrent que l’État entend s’imposer donc comme le principal acteur de la vie économique. (Repère p. 296, "Les principales nationalisations") Un commissariat

l’éducation en France). Les nationalisations ont pour but de donner à l’Etat une position dominante dans les secteurs clés de l’économie. A cet objectif économique s’ajoute les nationalisations sanctions pour fait de collaboration (Renault en 1945, Gnome et Rhône est nationalisé et prend le nom de la SNECMA, parmi les secteurs clés de l’économie la nationalisation des oullières du Nord Pas de Calais en décembre 1944, puis les charbonnages de France en 1946, la nationalisation d’électricité et gaz de France

grandes vagues de nationalisations se sont succédées entre 1944 et 1946 : • « Nationalisations-sanctions » : Automne 1944 et printemps 1945. Cibles : entreprises dont les patrons étaient accusés de collaboration ⇒ Renault. ⇒ Charbonnages du Nord. ⇒ Gnôme et Rhône («aéronautique) qui devient la SNECMA. • Nationalisations bancaires suivent en décembre 1945 et les nationalisations d’assurances en avril 1946 fournissant alors à l’Etat le contrôle des moyens monétaires permettant d’alimenter la reprise et l’expansion