Goffman Institution Totale

Voir aussi « Ethos de classe » 33 Ethos de classe Voir aussi « Ethos » 34 Étiquetage 35 Étude de cas 36 Évolutionnisme 36 Existentialisme (philosophie) 36 Expertise versus recherche 36 Fait social (concept d’Émile Durkheim) 36 Fait social total (concept de Marcel Mauss) 37 Feed-back Voir « Rétroaction » 37 Féminisme pluraliste (ou « pluralisme féministe » ou « citoyenneté pluraliste » ou « projet pluraliste ») 37 Focus group 37 Fonction manifeste / fonction latente (concepts de Robert

Leur environnement est riche, ludique, et d’une esthétique de plus en plus réaliste. Il fait naître des comportements atypiques (farce, défi technologique), particulièrement riches sur le plan des interactions sociales et des rites d’interactions (Goffman, 1974 ; 5 Avec une particularité toutefois : « Ils sont adorés par leurs spectateurs (on peut dire cela sans trop d’exagération) et raillés par les autres (même ados), qui voient dans cette passion exclusive autant de vices que les adeptes y voient

possible face aux contraintes de la société. L’exemple du droit à la retraite le montre clairement. La condition du vieux travailleur était épouvantable avant le droit à la retraite. Quand il ne pouvait plus travailler, il était dans une dépendance totale face à la charité philanthropique ou face à la prise en charge aléatoire par ses enfants, souvent il finissait à l’hospice pour indigents. Le droit à la retraite est un élément fondamental de ce type d’individu. Après le droit à la retraite, il ne

par un « supérieur » peut jouer aussi le « supérieur » d’un autre « inférieur » auquel il transmet une part des « ordres », dans une parcellisation du travail qui spécialise chaque membre en ne lui faisant exécuter toujours qu’une partie de l’action totale qui n’est jamais entièrement et réellement accomplie par quiconque en n’étant que la résultante de la collaboration de l’ensemble des membres (cette décomposition de la tâche facilitant d’ailleurs la soumission à l’autorité dans les actes les plus

antérieurs, certains concepts seront critiqués/repris, on pourra les adapté à de nouveaux objets. Concept : Représentation de l’esprit, idée qui permet d’organiser la connaissance/les perceptions (ex : déviance (BECKER), l’habitus (BOURDIEU), stigmate (GOFFMAN)) ATTENTION Il faut bien délimiter les concepts que l’on emploie, écarter les apprioris et pré notions, sortir du sens commun. Les concepts s’inscrivent dans des grands cadres de pensée, ils sont évolutifs, les recherches empiriques amènent

organisation ? . . III. Enjeux et significations des réformes pénitentiaires et des politiques culturelles . . A – Les objectifs d’une institution . . B – La réforme carcérale aujourd’hui . . Chapitre deuxieme : l’Enfermement et le projet culturel, des termes antinomiques . . I. L’organisation de la prison et l’unification des sens . . A – la prison, une « institution totale » . . B – Le contrôleur général des peines privatives de liberté, un garde-fou effectif ? . . C – La culture de la prison médiation

Robert Castel fait une sociologie non pas de la folie, mais de sa prise en charge. Ses études mettent au jour la contrainte sociale qu'exercent tous ces lieux de contrôle, toutes ces " institutions totales et totalitaires " que sont le camp, l'asile ou la prison, en empruntant les pas du sociologue américain Erving Goffman (1922-1982), dont il introduit l'oeuvre en France. Entre proximité et distance, Castel analyse le traitement social de la folie (L'Ordre psychiatrique, Editions de Minuit, 1977) et

le plan religieux, la Réforme protestante joue un rôle essentiel. Martin Luther est excommunié en 1520. Dans son conflit avec l’Eglise catholique, il a mis en avant le droit des individus à se prononcer sur les questions de foi et refusé à une institution ecclésiastique le monopole de la vérité religieuse. Les protestants (ainsi que l’on va appeler les membres des églises réformées) mettent notamment l’accent sur la possibilité de chaque croyant d’accéder par lui-même aux textes sacrés, d’où l’importance

humaines. La première étape dans la construction de l’ordre social est l’habitualisation, qui permet de réduire les choix possibles, et donc de libérer l’esprit pour l’innovation. La plupart des habitualisations sont institutionnalisées. Une institution est une typification réciproque d’actions habitualisées, par des acteurs qui sont eux-mêmes typés. L’habitualisation et l’institutionnalisation naissent dans le contexte des interactions en face-à-face, puis sont transmises à la génération suivante

officiellement sanctionné.  Les concepts de statuts et de rôles permettent à ces sociologues d’expliquer la stabilité des comportements sociaux. II. LA CONCEPTION STATIQUE ET LA CONCEPTION DYNAMIQUE DU RÔLE  B. Des rôles évolutifs  Pour Erwing Goffman qui reprend la comparaison entre l’acteur de théâtre et l’acteur social, ni l’un ni l’autre ne s’identifie pleinement à un rôle dont il connait la relativité.  Mais comme l’individu sait que la vie en communauté est impossible sans un relatif