Goldman Sachs

derniers mois de l’année. En clair, sur le second semestre 2007, l’industrie bancaire aura vu s’envoler près de 100 milliards de fonds propres, réduisant ainsi dans une proportion allant de 1 à 10 sa capacité de financement de l’économie. Au total, Goldman Sachs évalue à 2.000 milliards de dollars le risque de contraction de l’offre mondiale de crédit. Le spectre d’un « credit crunch » est désormais dans tous les scénarios macroéconomiques. Et, pourtant, les pertes affichées par les établissements financiers

 puissant  groupe  d’intérêts  qui  est  mise  en  place  pour  essayer  de  redéfinir  les  règles   internationales  de  la  politique  et  du  commerce.   La   Banque   d’investissement   Goldman   Sachs   avait   déjà   pressenti   que   4   de   ces   pays   (Brésil,   Russie,  Inde  et  la  Chine)  allait  se  développer  si  rapidement  en  passant  plusieurs  puissances   économiques  mondiales

that will generate solid profits and capital appreciation for years to come. When the markets reeled during the recent financial crisis, Buffett was stockpiling great long-term investments by investing billions in names like General Electric and Goldman Sachs. To pick stocks well, investors must set down criteria for uncovering good businesses, and stick to their discipline. You might, for example, seek companies that offer a durable product or service and also have solid operating earnings and the

soutenir les pays périphériques de la zone euro. Tout porte à penser qu’une rechute des économies dans la récession est très probable : d’ailleurs pour les Etats-Unis elle est estimée à une chance sur trois par les services économiques JP Morgan ou Goldman Sachs. Face aux difficultés pour stopper la crise, on se demande si le retour de l’inflation ne serait pas la solution. En effet, au cours des années 1950 à 1975 l’état français y avait eu recours pour se désendetter. Cependant la hausse des prix

particulièrement rapide.     Les nouveaux émergents •  Les Bric, conquistadores de la mondialisation Les Bric (Brésil, Russie, Inde, Chine) ont été définis comme les marchés les plus prometteurs de la planète par Jim O’Neill, économiste à Goldman Sachs, en 2001.
 Ces quatre pays sont le moteur de la croissance économique mondiale, dont ils représentent 50 % entre 2000 et 2008 ; la Chine arbore depuis plus de dix ans une croissance insolente à deux chiffres et détient le 2e PIB mondial depuis

très attractifs, certaines entreprises préfèrent placer en bourse plutôt que d’effectuer des investissements productifs ce qui fait donc un effet de balancier avec le financement des investissements. De plus, comme on l’a découvert il y a peu, Goldmann Sachs, un grand groupe financier Américain a créé des actifs en quelque sorte « bidons », étant destinés a s’effondrer, tout en pariant sur leur baisse. Ainsi ce groupe a fait des bénéfices calculés sur le dos des acteurs financier, et « the Firm »

prêter plus entre elles sur le marchés interbancaire. Suite à cela l’accès aux crédits été rendues beaucoup plus difficiles pour les entreprises. Les banques ont aussi eu un rôle dans la crise de la dette grecque. Il faut savoir que la banque Goldman Sachs à permis aux grecque de rentrer dans la zone euros en certifiant les comptes grecques à l’époque alors que qu’il aurait été assez facile de déceler des anomalies. Aujourd’hui c’est un continent entier qui est plonger dans la crise, depuis que la

banque pour être les seuls sur le marché. ii. Propagation de la crise à la sphère financière due à la chute de Lehmann Brother (paralysie de marché interbancaire, inquiétudes sur le devenir des banques commerciales, chute du cours des actions de Goldman Sachs et Morgan Stanley). Etape 3 : « crédit crunch » et extension au secteur réel Contraction des crédits consentis aux ménages et aux entreprises : « crédit crunch » (les banques ne prêtent plus d’argent). Réduction de la consommation des ménages

prévoit également un démantèlement des certains établissements» en cas de crise, réduisant ainsi les incitations pour les banques à prendre des risques excessifs. Ces mesures ont été prises notamment suite aux scandales sans précédent de la banque Goldman Sachs. De plus,  la crise a également remis en question un des piliers du système bancaire. En effet, jusque-là, le public estimait que la transparence était suffisante pour que les banques s’autorégulent au niveau de la gestion des risques (autodiscipline)

et la résistance de 1´400 USD a été franchie. La prochaine étape est une continuation de la hausse avec comme premier objectif 1´500 USD. Le mouvement haussier de long terme est confirmé par l’analye graphique. [pic] Revue de presse Goldman Sachs au 31.12.2010 : La banque américaine prévoit que pour les 12 prochains mois, les cours de l’or pourraient atteindre un pic à 1750 UDS/once. Le prix moyen en 2011 estimé est à 1400 USD/once. Le prix moyen annuel en 2012 pourrait atteindre 1700