Gorge

distinguons sans aucun doute à quel niveau social nous nous trouvons. Une ambiance très pesante, règne au passage du Pont neuf, d’après les effrayants portraits que nous fait part Emile Zola, «Le passage prend l’aspect sinistre d’un véritable coupe-gorge ; de grandes ombres s’allongent sur les dalles, des souffles humides viennent de la rue ; on dirait une galerie souterraine vaguement éclairée par trois lampes funéraires ». Les espaces qui remplissent ce long passage sont funestes et sinistres, un

support des médias (l’énergie d’une centrale nucléaire n’y suffisait pas) et l’appui de vedettes dont il ne croyait plus en l’honnêteté de sentiments réels ! Elle, plus rien ne la surprenait si ce n’est la venue d’un rouge-gorge en terre d’Irlande en été (le rouge-gorge n’est rouge que l’hiver), cet homme dont les lèvres avaient été, selon la coutume de sa contrée, disproportionnées. Elle le trouvait ridicule avec ses cheveux blancs, ses lunettes, le tout adimensionné d’une lippe qui pendouillait

les phrases courtes et les jeux de mots. Le nom des personnages ne manquent pas de fantaisies Ils se réfèrent à Grandgousier pour grand buveur ; Gargamelle évoque une grande gourmandise avec un mélange de gorge et de gamelle puis Gargantua né après indigestion de tripes se réfère à gorge. On remarque la jouissance des fonctions naturelle et en particulier boire & manger. S’y ajoute un anticléricalisme (contre les clercs). La prière du début de repas est associée aux salaisons mangées (l

il est peu commun de décrire la femme de cette manière comme le souligne le champs lexical du macabre ‘chercher dans ces os’ vers 4 ; ‘ses dents grinçant l’horreur’ vers 17 ; ‘sa poitrine était ouverte ‘vers 18 ; ‘son cou déchiré ’ vers 20 ; ‘ sa gorge saignant’ vers 21 . Nous pouvons notamment remarqué un enjambement au vers 3 a 5 ainsi qu’au vers 7 a 8. Chaque poète interprète

en réalité affreuse. Enfin, la Chine est frappée de la guerre. La romancière la décrit avec les « raclements de gorge » (l. 20/21) qui sont en fait le bruit des véhicules militaires. Le ghetto où elle vit est énormément touché par cette guerre. Le champ lexical du dégout avec « vulgairement »,  « laideur »,  « crachats »,  « hideux », « créatures », « vomi », « raclements de gorge », « effroyable » montre la véritable identité de Pékin durant cette période de conflit. « Pékin sentait le vomi d’enfant »

fait peur ? - Mais non.” Elle rit. Puis, après un silence: “Au contraire, c’est très amusant.” Ils boivent à petites gorgées. “ Si tout va bien, dit Franck, nous pourrions être en ville vers dix heures et avoir déjà pas mal de temps avant le déjeuner. - Bien sûr, je préfère aussi”, dit A… Ils boivent à petites gorgées. (81) Dans cette scène, la phrase “Ils boivent à petites gorgées” se répètent deux fois. Nous rencontrons la même phrase deux pages après, à la fin de la page 83. On nous présente

l'inactivité physique. Le tabagisme : En dix ans, letaux de cancers du poumon a augmenté de 10% chez les hommes et de 130% chez les femmes.Le nombre de fumeurs a fortement augmenté, entraînant l'augmentation du nombre de cancers (cancers du poumon, de la gorge...). De plus, les fumeurs commencent à fumer de plus en plus jeunes. Laconsommation d'alcool et de drogues : La consommation d'alcool et de drogues a beaucoup augmenté chez les jeunes...Introduction : Les changements dans nos habitudes de vie sont

septicémie. Leur nombre augmente parfois dans certaines régions. C’est la raison pour laquelle ce site a été créé. Il a pour vocation de vous aider à mieux connaître ces infections. Le méningocoque est une bactérie qui peut être présente dans le fond de la gorge de certaines personnes : environ 10 % de la population en est porteuse à un moment donné. La plupart du temps, le méningocoque n’entraîne pas de maladie comme c’est le cas pour de nombreuses autres bactéries. Les raisons pour lesquelles certaines

même s’il y en avait !" dit Henri Barbusse dans son livre (ch.24, p.376). Dès le début du texte, on est plongé dans l'atroce réalité que vivent les soldats dans leurs tranchées ou sur les chemins. Les mots nous sautent à la gorge comme la peur et la fatigue sautent à la gorge des soldats " geignements…que l'effort étrangle dans les gorges " (ligne 8). On se trouve au cœur d'une manœuvre sombre et glauque d'un groupe de soldats qui obéissent à des ordres incompréhensibles. Toute la malédiction (ligne

sensualité de Jacques et le champ lexical de la violence meurtrière qui constitue son « mal » : « tuer » (3 occurrences), « planter », « égorger ». La pulsion meurtrière est bien associée à la vision de la femme dénudée « dès qu’il l’avait vue », « cette gorge chaude et blanche » et au désir qu’elle suscite.   -          Montrer que Jacques en parle comme d’une maladie mais qu’il ne décrit pas les symptômes : Champ lexical de la maladie : « fièvre », « convulsifs » pour « les sanglots », « guéri », « mal