Goujet

pente ascendante de Gervaise qui accepte sans réagir l'ivrognerie de son mari.L'héroïne se modifie peu à peu : physiquement, elle s'empâte, moralement, elle démissionne. Une lueur cependant : l'amour que Goujet lui porte. Elle se rend donc à l'usine et assiste à un duel de savoir-faire entre Goujet et un autre forgeron surnommé Bec-Salé.Introduction : texte descriptif qui dresse un portrait : celui d'un ouvrier pétri de qualités, c'est donc l'occasion pour Zola de célébrer le travail manuel (un travail

que de le laisser partir à l'hôpital, de triste réputation. La convalescence de Coupeau est longue. Il garde une rancœur envers le travail, prend l'habitude de ne rien faire et commence à boire. Gervaise s'en accommode. C'est auprès de leur voisin Goujet, un forgeron amoureux d'elle mais qui n'ose le lui avouer, que Gervaise trouve l'argent lui permettant d'ouvrir sa blanchisserie. Elle y acquiert très vite de l'aisance. Elle a plusieurs ouvrières : Mme Putois, Clémence et une apprentie, Augustine

Mais ce héros a évolué au fil du temps, selon l’intention particulière du Romancier et selon les attentes précises des lecteurs. On retrouve alors dans le roman, les vrais héros et lesanti-héros. Dans l’Assommoir de Zola le personnage principale Goujet surnommé Gueule-d’ or est un héros, tandis que dans le roman Voyage au bout de la nuit, le personnage principal de Céline est un anti-héros.La question qui se pose maintenant est : le personnage principal d’un roman doit-t ‘il forcément être unhéros

manuels (couvreur, forgeron, blanchisseuse, fleuriste), le duel entre Goujet et Bec-Salé pour faire un rivet en étant un exemple particulièrement significatif.En dépit de la maîtrise de leur métier et de leur acharnement au travail, l'auteur veut mettre en avant l'impuissance des ouvriers à sortir de leur misère. Le père Bru n’a pas de quoi vivre. En voulant soigner Coupeau, Gervaise amène son foyer à de graves problèmes financiers. Goujet, sobre et économe, se révolte contre le machinisme envahissant.Zola

du travail et commence à boire avec ses amis Mes-Bottes, Bibi-La-Grillade et Bec-Salé. N’ayant désormais que son seul salaire pour faire vivre sa famille, Gervaise, même en se tuant à la tâche, n’arrive à joindre les deux bouts. C’est alors que Goujet, un voisin forgeron épris d’elle et vivant encore avec sa mère, lui propose de lui prêter de l’argent pour qu’elle puisse s’installer en tant que blanchisseuse. Le couple déménage et s’installe dans la boutique située au rez-de-chaussée dudit immeuble

le laisser partir à l'hôpital, de triste réputation. La convalescence de Coupeau est longue. Il garde une rancœur envers le travail, prend l'habitude de ne rien faire et commence à boire. Gervaise s'en accommode. C'est auprès de leur voisin Goujet, un forgeron amoureux d'elle mais qui n'ose le lui avouer, que Gervaise trouve l'argent lui permettant d'ouvrir sa blanchisserie. Elle y acquiert très vite de l'aisance. Elle a plusieurs ouvrières : Mme Putois, Clémence et une apprentie, Augustine

Page 1/4 Français – BEP « rénové » Compétences de lecture (10 points) Texte 1 1- Quels sentiments contradictoires Goujet machines du nouvel atelier de la forge ? éprouve-t-il vis-à-vis des (2 points) On attend du candidat qu’il perçoive l’ambivalence des sentiments de Goujet à l’égard de la machine qu’il considère comme une rivale. Eléments pour répondre à la question : Goujet est fasciné par les performances de ces machines : « une aisance tranquille de géante » ; « rien n'était plus simple

ancien amant qui entraîneront une chute des revenus familiaux et un endettement rapide. En effet, la jeune femme doit toujours travailler plus durement pour subvenir aux besoins de chacun. L’héroïne tente également de se réfugier dans le pur amour de Goujet, mais elle ne trouve pas la force de résister à la personnalité de son mari. Elle perd lentement le respect d’elle-même et se laisse aller à la l’oisiveté. Gervaise cède la boutique à Virginie et passe de plus en plus de temps au café sombrant progressivement

époux à domicile Coupeau à cause de sont accident garde une certaine rancœur envers son travaille et décide de ne plus rien faire, et il ce met a boire -Gervaise, pour ouvrir ca blanchisserie décida d'allée voir leur voisin et ami, le forgeron Goujet ( qui aime secrètement Gervaise), celui lui prêta assez d'argent pour qu'elle puisse ouvrir son commerce, G.R.V prit avec 2 employés (Mme putois et clémence) ainsi que une apprentie ( augustine) -Gervaise avait enfin réussi, mais au lieu de s'acquittée

L’Assommoir Titre du livre : L’AssommoirAuteur : Emile ZolaEditeur : Galimard Collection : Folio Classique Date de parution : 1877Biographie de l’auteur :Emile Zola (1840-1902), est sûrement l’un des écrivains et journalistes français les plus connus, il fait également partie des écrivains les plus publiés et traduits du monde entier. Ces travaux tout au long de sa vie reviennent essentiellement à dépeindre la société du seconde Empire, grâce à certains romans très connus