Gourdin

qu’il a failli éclater le bateau en morceaux. Tu t’en souviens ? – Je me rappelle comme sa queue battait et cognait, et le banc cassé, en deux, et le bruit du gourdin. Je me rappelle que tu m’as jeté dans la cale avec les lignes toutes mouillées, et que je sentais le bateau couler, et le bruit que tu faisais tapant sur lui avec ton gourdin comme pour faire tomber un arbre, et l’odeur du sang qui recouvrait tout partout. – Tu peux vraiment t’en rappeler, ou c’est parce que je te l’ai raconté ? – Je

technique semble avoir été lancée par Gabriele D'Annunzio. Lorsque les chemises noires voulaient s'assurer que leurs victimes meurent, ils ajoutaient de l'essence à l'huile de ricin. On disait parfois que le pouvoir de Mussolini reposait sur « le gourdin et l'huile de ricin ». critères Fascisme Nazisme Stalinisme Le contexte historique origines - Crise économique - Crise sociale (contestation) - frustration dues a la promesse de

son odeur. Tu n'as plus la parole. A qui pourrais-tu parler? Oui, c'est cela, lève le pas, l'autre. Voici la passerelle, ne crains pas le vertige. (Le Roi avance en direction des marches du trône.) Tiens-toi tout droit, tu n'as pas besoin de ton gourdin, d'ailleurs tu n'en as pas. Ne te baisse pas, surtout, ne tombe pas. Monte, monte. (Le Roi commence à monter les trois ou quatre marches du trône.) Plus haut, encore plus haut, monte, encore plus haut, encore plus haut, encore plus haut. (Le Roi est

j'ai préparé, en trottant sur la route, deux ou trois phrases sans prétention qui plairont à monseigneur ; je vais tirer la cloche. Il sort. LE CHOEUR Durement cahotée sur son âne essoufflé, dame Pluche gravit la colline ; son écuyer transi gourdine à tour de bras le pauvre animal, qui hoche la tête, un chardon entre les dents. Ses longues jambes maigres trépignent de colère, tandis que, de ses mains osseuses, elle égratigne son chapelet. Bonjour donc, dame Pluche, vous arrivez comme la fièvre

L'embarquement est divin. Quand on vogue avec Catin3. IPHICRATE, retenant sa colère. Mais je ne te comprends point, mon cher Arlequin. ARLEQUIN. Mon cher patron, vos compliments me charment ; vous avez coutume de m'en faire à coups de gourdin qui ne valent pas ceux-là, et le gourdin est dans la chaloupe. IPHICRATE. Eh ! ne sais-tu pas que je t'aime ? ARLEQUIN. Oui, mais les marques de votre amitié tombent toujours sur mes épaules, et cela est mal placé. Ainsi tenez, pour ce qui est de nos gens, que le ciel

hiérarchique ; sociale (maitre/valet) et entre les sexes (hommes dominants/femmes dominées) Iphicrate : renvoie à l’Antiquité Grecque, signifie: Celui qui gouverne par la force.  pouvoir fondé sur la violence. Fin de scène : dégaine son épée et son gourdin, commun au maitre qui a droit de vie et de mort sur son valet CF Don Juan de Molière et son valet Sganarelle. Caractéristiques : noblesse dégénérée, pessimiste, défaitiste, (« s’avance tristement » « après avoir soupiré ») + ligne 8 tentation

tu penseras de cette justice-là », - il fait des jeux de mots moqueurs qui amusent le spectateur aux dépens d’Iphicrate « les marques de votre amitié tombe toujours sur mes épaules ». Iphicrate au contraire semble violent : il le frappe avec un « gourdin » et court « après lui l’épée à la main » Donc texte moins intense que le A Doc C Affrontement ? Ismène refuse d’aller enterrer Polynice et de désobéir à son oncle Créon : elle tente de convaincre Antigone de ne pas désobéir, elle

son odeur. Tu n'as plus de parole. A qui pourrais-tu parler ? Oui, c'est cela, lève le pas, l'autre. Voici la passerelle, ne crains pas le vertige. (Le Roi avance en direction des marches du trône.) Tiens-toi tout droit, tu n'as pas besoin de ton gourdin, d'ailleurs tu n'en as pas. Ne te baisse pas, surtout, ne tombe pas. Monte, monte. (Le Roi commence à monter les trois ou quatre marches du trône.) Plus haut, encore plus haut, monte, encore plus haut, encore plus haut, encore plus haut. (Le Roi est

j'ai préparé, en trottant sur la route, deux ou trois phrases sans prétention qui plairont à monseigneur ; je vais tirer la cloche.
Il sort. LE CHOEUR
 Durement cahotée sur son âne essoufflé, dame Pluche gravit la colline ; son écuyer transi gourdine à tour de bras le pauvre animal, qui hoche la tête, un chardon entre les dents. Ses longues jambes maigres trépignent de colère, tandis que, de ses mains osseuses, elle égratigne son chapelet. Bonjour donc, dame Pluche, vous arrivez comme la fièvre

patron ! » A : Arlequin semble accepter cette situation dans laquelle il est sous les ordres d’Iphicrate Arlequin, le valet (cf commedia dell’arte), qui évoque sa situation avant le naufrage) P : ironie p.23 « Vos compliments me charment ; […] gourdin » A : Arlequin a subi des mauvais traitements de son maître 2. La présentation du cadre spatio-temporel à l’origine de l’intrigue L’époque renvoie à l’antiquité grecque, Athènes est la cité dominante P : référence spatiale précise p.20 « Je