Gouvernement de coalition

Dissolution, dès 46, des partis qualifiés de « bourgeois » installation de gouvernements de coalition appelés Fronts Nationaux : les partis non communistes sont encouragés à participer à des gouvernements de coalition où le premier rôle est tenu par les partis communistes, fermement contrôlés par Moscou. Les partis communistes assoient progressivement leur domination sur les autres grâce à ces gouvernements qui ne sont que provisoires et prévus à être éliminés. c) fin des fronts nationaux

catholiques et des libéraux b. Sur le plan international c. Mécontentement social 2. Les événements 2. La naissance de L’Etat belge La mise en place de nouvelles institutions 1. Le gouvernement provisoire 2. Le congrès national 3. La constitution a. Un compromis b. Fidèle à l’accord libéral- catholique c. Instauration d’une monarchie parlementaire d. Faiblesses

l'assemblée, et adoptent une attitude que l'on qualifiera de présidentialiste. Les opposants s'assoient à gauche et adoptent une attitude parlementariste. Sous la IVème République, le multipartisme fait que le clivage droite/gauche varie selon les coalitions. Au début de la V° République, le général De Gaulle souhaitait mettre fin au « système des partis », c'est-à-dire à la mainmise des partis sur l'appareil étatique, cause de l'instabilité institutionnelle de la IV° République. De plus, sous la Vème

égalitaire mais est, en réalité, favorable au Sénat car il ne peut être dissout et doit rendre un avis favorable à la dissolution de la Chambre des députés. Le Parlement a pour fonction de voter la loi et peut mettre en cause la responsabilité du Gouvernement. . • Un exécutif bicéphale - Un PDR (Président de la République) élu par l’Assemblée nationale (députés + sénateurs) pour 7 ans (chef de l’Etat et chef de l’exécutif). Il a de nombreuses attributions constitutionnelles :

anarchistes et jeunes nationalistes par peur de la prise de pouvoir des socialistes suivis par la grande bourgeoisie qui tenteront d’utiliser le mouvement pour renforcer l’État et mater la révolution. À la fin de l’été 1920, soutenu par le silence du gouvernement Giolitti et par les fonds agrariens et industriels qui permettent de solder les squadristes, les fascistes mènent des expéditions punitives contre les socialistes et les syndicalistes à travers le pays. En réaction : milice rouge, groupes locaux

La législation relative aux élections à l’Assemblée Nationale depuis 1946. « Le gouvernement a voulu rénover le régime parlementaire. Je serais même tenté de dire qu’il veut l’établir car, pour de nombreuses raisons, la République n’a jamais réussi à l’instaurer. » Michel Debré alors Garde des Sceaux du gouvernement de Charles de Gaulle, en prononçant cette formule le 27 aout 1958 à suscité bien des controverses. Mais ces paroles n’ont pas été vaines car elles précisaient l’intention des constituants

précaire des institutions française. L’instabilité gouvernementale a joué un rôle important dans cette prise de conscience collective. Dans une période de douze ans, de 1946 à 1958, pas moins de vingt et un gouvernement se sont succédé. Cela, car les crises mettaient en péril les gouvernements qui au final, avaient une durée de vie de moins de six mois en moyenne. Mais il est nécessaire de se pencher sur les facteurs de l’instabilité politique de l’époque. * A / La majorité parlementaire fictive

puisqu'il faut attendre presque un siècle après la révolution. Pourtant l'après révolution avait laissé espérer la rapide mise en place d'un tel régime mais l'arrivée de Bonaparte au pouvoir avait compromis cet espoir. Le gouvernement mis en place par Gambetta reste un gouvernement provisoire, il est censé être vu comme une transition entre période de crise et l'application d'un nouveau régime choisit légitimement. Avec la république de Thiers, la France se trouve plus dans un régime d'assemblée que

temps : * Le 4 Octobre, Guillaume II décide d’inciter à la création d’un gouvernement d’union avec à sa tête un de ses proches parents, le prince Max de Bade il s’ouvre au SPD (parti socialiste), au Zentrum (parti catholique, mais ne se définit pas vraiment politiquement parlant) et aux Libéraux (appartiennent au parti démocrate, le DDP) qui font partie de la coalition de Max de Bade. L’insertion du SPD dans ce gouvernement provoque la scission au sein du camp socialiste dont l’objectif premier est

privilégiés. Premièrement, le clergé a de nombreux privilèges dont l'absence d'impôts sur la terre qui leur appartenait. La noblesse aussi représentait un autre domaine privilégié. Ils occupent les plus hautes positions dans l'Eglise, l'armée et le gouvernement et, à partir du XVIIIe siècle, ils sont également engagés dans la finance, l'assurance et la fabrication. Eux aussi étaient exempts d’impôts, ils recueillaient d'ailleurs les redevances coutumières des paysanneries et possédaient environ 30% de