Grand Chien

Rencontrant Tibert le chat, Renart, affamé, renonce à sa première intention en voyant les dents et les griffes du félin, et lui propose une alliance contre Ysengrin. Tentant de pousser son compagnon dans un piège, Renart est surpris par un fermier et ses chiens. En fuyant, Tibert le pousse dans le piège. Renart, coincé, s'échappe, meurtri suite à une maladresse du vilain. Tiecelin le corbeau a dérobé un fromage. Renart qui l'a vu le salue et, lui remémorant son père, flatte la beauté de sa voix

expressifs. Tous sont présents : animaux sauvages et domestiques, grosses et petites bêtes, gentilles (l'âne, l'agneau) et féroces (lion, loup…) 2. La société • La Fontaine dresse un large panorama de la société de son temps. Il peint à la fois les grands (le roi et les courtisans) et les petits (les paysans, les artisans). Le roi est critiqué : incarné par le lion, il se montre orgueilleux, tout puissant et souvent injuste. On redoute sa cruauté (le Lion, le Loup et le Renard) même s'il sait parfois

commentaire composé L'extrait étudié est extrait du troisième chapitre de "Zadig" : Le chien et le cheval. "Zadig" est une oeuvre de Voltaire, auteur du 18ème siècle, siècle des Lumières. Après avoir subi l'infidélité de Sémire et avoir répudié Azora, Zadig se trouve dans la nature qu'il veut étudier. Son esprit d'observation et de déduction lui vaut d'être accusé du vol du cheval du roi et de la chienne de la reine. En effet, il décrit les animaux avec une telle précision qu'on n'hésite pas

une autre table, comme celle dans la salle des consultations. Elle partage les mêmes fonctions. La pharmacie n'est pas dans une pièce particulière, on trouve des médicaments un petit peu partout dans la clinique mais plus particulièrement sur une grande étagère entre le bureau, la salle de consultations et le chenil. Sur cette étagère, on peut trouver les médicaments particulièrement courant, mais aussi les moins utilisés, que la clinique possède par précaution. 3.2 Le métier vétérinaire

« histoires » autonomes venant se substituer au récit initial, soit par des discussions entre le narrateur et le lecteur. Situation du passage : Dans cet extrait la conversation s'engage entre Jacques et son maître à partir d'une anecdote : la chienne « affamée et malpropre » l 3 de l'auberge où étaient descendus les voyageurs, est venue importuner le marquis. Celui-ci pour s'en débarrasser, lui a donné un violent coup de pied. Cet événement anecdotique devient le point de départ d'un dialogue

 Les peurs ataviques de Lalla Lalla, en fille du désert habituée aux grands espaces où le regard peut se déployer, éprouve très vite une peur irrépressible. Les origines physiques La chaleur étouffante réverbérée par les murs et l’asphalte : « La sueur coule toujours sur son front, le long de son dos, mouille ses reins, pique ses aisselles. » Allitération de S qui renforce l’agressivité de l’air surchauffé. Paradoxalement, cette chaleur fait ressortir le froid mortel des sous-sols. C’est

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ès propagande, il justifie les actions de Napoléon en allant constamment parler aux animaux de la ferme. Lorsqu'il n'arrive plus à convaincre, il n'hésite pas à utiliser la menace voilée et l'intimidation. Pour cela il est escorté de deux ou trois chiens du cochon Napoléon. Au fur et à mesure de l'avancement de l'histoire et de l'asservissement des animaux, Brille-Babil modifie subtilement, pendant la nuit les Sept Commandements pour les rendre conformes aux décisions parfois arbitraires et contestables

temps nouveaux.             2)      Eléments pour le bestiaire.   Ø      Animaux réels (humanisés) -         les chiens, évidemment le danois Bendicò ð     Bendicò (question de l’année dernière) : ·        Il occupe une place privilégiée parmi les chiens évoqués dans le roman et aimés du Prince : il accompagne constamment le Prince de la partie 1 à 4; c’est aussi le chien préféré de Tancredi ·        Il représente son maître auquel il ressemble : goût de la promenade, plaisir du sommeil,

titre que les chiens de garde. Dans un premier temps, les prisonniers étaient victimes de violences physiques. En effet, ils se faisaient frapper, ce que nous pouvons observer grâce au champ lexical de la violence « ceux qui […] nous battaient » (ligne 1) ; « recevoir les coups » (ligne 5) ; « ils moururent […] des coups. Ensuite, les prisonniers devaient se tenir dans les mêmes postures que les animaux. Les gardes les obligeaient à « [se] tenir à quatre pattes, comme les chiens, et prendre la