Grand ensemble

entre les groupes sociaux. Le territoire devient le système. La différence entre espace et territoire : « Le territoire est à l’espace ce que la conscience de classe est à la classe » Brunet, 1992 1- Contexte : Métropolisation Des métropoles plus grandes, plus diverses, plus fragmentées, plus ségréguées Processus d’agglomération des richesses à différentes échelles : Etats - régions - immeubles, maisons Villes - quartiers - rues Une répartition spatiale inégale : Des territoires intégrations

De nos jours, il symbolise les quartiers les plus anciens de quelques villes et les agglomérations formant un ensemble homogène, comme un groupement de logements ou d’immeubles. Avant les années 80, ces « jeunes de cités » n’étaient juste que des résidents de ces quartiers, habitant chez leurs parents, pour la plupart ouvriers, qui avaient la particularité de loger dans ces grands ensembles d’immeubles. Ceux-ci avaient été construits à l’époque pour accueillir en autre cette classe ouvrière, car il

Coeur de banlieue (David Lepoutre) Introduction David Lepoutre est un ethnographe qui s'intéresse aux relations sociales entre adolescents dans un grand ensemble de banlieue. Par son livre "Coeur de banlieue", il va nous exposer une nouvelle vision des jeunes de banlieue. David Lepoutre critique les démarches sociologiques qui montrent souvent plus les causes de la violence des rues et la déviance qui en découle que la logique spécifique des adolescents des cités. Il va donc dans le cadre

les années 50-70 Elle recouvre la coordination sur plusieurs centaines de quartiers à problème, d’un grand nombre d’interventions publiques sont contractualisées avec les collectivités locales et qui cherchent à associer la collaboration active des habitants. En 1946, 25% de la population était urbaine, en 1990 à 75% et en 2000 à 80%. Il y a un gonflement des grandes villes avec l’envahissement des campagnes, c’est la péri-urbanisation. Les années d’après-guerre correspondent

SEQUENCE : INEGALITES ET DEPENDANCES DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI Pôles de puissance et espaces dépendants. Problématique : Quels sont les grands ensembles du monde actuel ? Quels liens existent entre ces ensembles ? Notions : mondialisation / pôle de puissance / Nord/Sud / inégalités / interdépendance / développement / marginalisation. Manuel Hachette Technique 2003, pages 30 à 35. Séance 1 : Un monde de contrastes. Manuel pages 30 – 31. 1. Nord / Sud, l’inégale répartition de la richesse. Document

forces de l'ordre et l'État. L'instauration de la vidéo-surveillance est en cours, mais l'objectif principal est le renouvellement urbain, qui consistera à rassurer les populations et changer l'image des Mails et de Chenôve en réintégrant la ville au Grand Dijon. Profil Général 1999 | US Le Mail | Commune Chenôve | UU Dijon | Chômage (1999) | 24.7 % | 20.2 % | 12.7 % | Non-diplômés (1999) | 37.4 % | 30.9 % | 17.0 % | Moins de

 C- Les « grands ensembles » de banlieue Construit entre 1955 et 1975 ; c’est le moment des 30G (années 60) ; ils sont majoritairement en banlieue, mais aussi en centre-ville. Sur 20 ans on a construit près de 7 M de logements (550 000 en 1971-72) ; grands ensembles = plus de 500 à 10 000 logements + des équipements ; mise en place de construction avec des préfabriqués, apportant des éléments de confort modernes par rapport aux logements anciens du centre-ville, très forte proportions d’HLM

L’organisation du territoire français Utilisation du manuel Hatier Pbq : Quels sont les grands contrastes du territoire français ? I. Paris : un poids écrasant en France Document p302 et 303 1. Les lieux du pouvoir politique sont le palais de l’Élysée, l’hôtel Matignon, l’Assemblée nationale, le Sénat. 2. Les lieux du pouvoir économique sont le quartier de la Défense, la Bourse, le ministère des Finances, la Tour Montparnasse, le parc des Expositions. 3. L’agglomération parisienne est un

l’agenda politique. Les grands ensembles sous forme de barres et de tours sont ainsi érigés comme solution d’urgence face à la crise. La seconde date des années 1960-1970, période pendant laquelle la crise du logement des pauvres laisse place à une crise urbaine étouffée par l’illusion du progrès. La crise quantitative subsiste toujours conjuguant des problèmes spécifiques liés à la qualité du logement social. C’est le temps de la remise en question des grands ensembles et son courant fonctionnaliste

2 cités HBM des années 30 : les Gratte-Ciel à Villeurbanne et la cité Tony Garnier à Lyon). La seconde guerre mondiale et la poursuite de l’exode rural renforcent les mauvaises conditions de logement des couches populaires, notamment dans les grandes villes où se développent des bidonvilles. En 1948, le marché privé du logement est réglementé et l’allocation logement instaurée. En 1951, l’appellation « Habitations à Loyer Modéré » se substitue à « Habitations à Bon Marché » :