Grand Loup

L’homme à l’envers, de Fred Vargas Lire un roman policier en 3° ou 2° LECTURE |LECTURECURSIVE|EXPRESSION ORALE|EXPRESSIONECRITE|GRAMMAIRE| L’homme à l’envers|Textes documentaires et articles de presse|Diction : La mort du Loup de VignyVers le dialogue argumentatif : peut-on comprendre un meurtrier et lui pardonner ? Travaux hebdomadaires d’expression orale en rapport avec la séquence : choix d’émissions ou de films/téléfilms à la télévision, présentation de faits d’actualité, diction et présentation

tarde pas à se présenter : un loup, d'une force et d'une audace exceptionnelles, égorge moutons, chevaux et vaches. Une battue est décidée. Langlois l'organise minutieusement comme une cérémonie, une fête. Les villageois, venus en nombre, sont les rabatteurs. Le procureur royal, Saucisse et Madame Tim, la châtelaine de Saint-Baudille, une nouvelle amie de Langlois, sont de la partie. Les femmes sont dans leurs plus beaux atours, installées sur des traîneaux. La trace du loup conduit tout ce monde au pied

|•courte fable de 41 vers | | |•intrigue: rencontre entre chien et loup | | |•plsrs parties: description (4vers), situation initial: rencontre (vers

Séquence : La Peur du loup Objectif général : Etude d’un roman policier : Fred Vargas , L’homme à l’envers ; coll.j’ai lu policier. Etude en classe , fiche de lecture à réaliser . Progression : |Séances |Objectifs / Activités élèves |Notions / Vocabulaire | |1-Un auteur , un livre |Présenter le livre ( recherche sur l’auteur ,|Hypothèses de lectures | |

poèmes en vers libre comportant une morale, ici il s'agit comme souvent dans les fables d'un récit fictif où La Fontaine utilise des animaux pour corriger les défauts humains. Chaque récit inspire une morale . Le loup et le chien présente deux modes de vies opposées, celui du loup qui est libre et celui du chien qui est lui au service de son maître, (l’opposition entre l'esclavage et la liberté). lecture du texte I. L’art du récit - La fable est dynamique (il n'y a que des actions)

« Le Loup et le Chien », LA FONTAINE Introduction : La Fontaine est le fabuliste le plus connu, il est célèbre pour ses fables et connait bien la cour. La rédaction des fables est faites sur toute une vie, elles sont regroupées dans des livres et critiquent la cour et la société. Il s’agit de la 5eme fable, «  Le Loup et le Chien » est une fable animalière qui parle de la liberté. Elle met en scène 2 animaux, le Loup et le Chien, 2 animaux proches et complètement différents à la fois, un est

déterminerait lequel d’entre eux est le plus fort de la forêt. Le lion accepta ce combat sans même y réfléchir, pour lui, il était le plus fort, le plus vaillant, et il s’appelait Lion, alors quoi de plus normal qu’il gagne un combat contre un vulgaire loup ? Excepté qu’il n’avait aucune idée de ce qu’il l’attendait, la louve lui sauta au coup et le mordit grièvement, il se débattit et s’extirpa de la pression de la morsure, énervé le Lion voulut trancher la gorge de cette louve qui osa se moquer de lui

exposée. Le loup et le chien paraissent dans Fables, qui a été écrit par Jean de La Fontaine sur une période de 28 ans. Dans cette fable on retrouve le Loup et Le chien, on peut donc d'ors et déjà relever les caractéristiques de ces animaux : Le chien est un animal domestique, et va donc au cours de cette fable tenter de persuader le loup d'adopter son mode de vie, en vain. En effet la fable se termine par « maître loup s'enfuit et court encor. » cela exprime donc le rejet du loup face à cette

de Moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. » A ces mots on cria haro (10) sur le Baudet. Un Loup quelque peu clerc (11) prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit Animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n'était

LE LOUP ET LE CHIEN (*)     Un Loup n'avait que les os et la peau ;         Tant les Chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli (1), qui s'était fourvoyé par mégarde.         L'attaquer, le mettre en quartiers,         Sire Loup l'eût fait volontiers.         Mais il fallait livrer bataille         Et le Mâtin était de taille         A se défendre hardiment.         Le Loup donc l'aborde humblement,     Entre en propos, et lui fait compliment