Graphème

associé à l’enseignement de tâches dites structurées, c’est- à-dire des tâches qui peuvent être essentiellement résolues par l’application « d’algorithmes » : mettre en œuvre une technique opératoire en mathématiques, maîtriser les correspondances graphème-phonème ou les règles de grammaire, transposer une carte topographique en un graphique de relief, etc.h ; 17 ; 18 ; 19. Toutefois, l’enseignement explicite a aussi montré son efficacité dans le cas de tâches dites peu structurées, qui sont complexes

(alphabet latin) étant insuffisant, un deuxième étage a été créé en combinant les lettres existantes de façon à former des digrammes (ex. : an, in, on, un). De plus, des lettres diacritiques venaient s'insérer dans certains mots pour différencier des graphèmes simples qui se confondaient. Une des complexités de l’orthographe française — dénoncée et partiellement corrigée à partir du XVIe siècle — est l’usage des consonnes muettes. Celles-ci etaient relativement rares dans les premiers documents français

noter (...). Tous les tests de lecture de mots sont très en dessous du niveau. Cela m’a amené à me demander s’il n’y avait pas de problème visuel ou oculomoteur. Lola est très gênée par ses difficultés graphiques (lettres mal formées) où sont mêlés graphèmes en script et en cursive qui ne permettent pas de s’appuyer sur une mémoire lexicale. Lola présente des difficultés en langage écrit où elle est gênée, pour l’utilisation de la voie phonologique, par un déficit de l’analyse auditive, consécutive à

enveloppées dans le coloris de l’ombre bleu. Selon Goodman, la «compréhension» du «monde» de Matisse ne vient pas d’intuitions initiales, mais augmente au fur et à mesure de la reconstitution des relations des couleurs, de leurs formes, masses et graphèmes de traits, dont le contenu pictural représente la relation de l’artiste à la nature du paysage marocain. Inversement, l’artiste accomplit le «fait» de la constitution du «monde» de sa peinture dans la pratique des opérations avec le matériau, dans

l'Education Nationale depuis Septembre à raison de 3h par semaine, ainsi que des cours de remise à niveau en maths et en français avec l'éducateur scolaire du centre éducatif. Icare déchiffre bien le français et il arrive bien à faire le lien phonème/graphème. Il est capable d'écrire rapidement un texte court sans faire d'erreur. Son lexique personnel s’enrichit constamment et il montre une réelle motivation quant à l'apprentissage de nouveaux mots, et de nouvelles structures langagières. Sur l’unité

de l’apprentissage de la lecture (cf. Ecalle et Magnan, 2002, pour une synthèse). Dans la mesure où la lec- ture repose pour partie sur la capacité à établir des relations entre les constituants de l’oral (les pho- nèmes) et ceux de l’écrit (les graphèmes), on com- prend aisément pourquoi l’aptitude à percevoir et à se représenter la langue orale comme une séquence d’unités phonologiques favorise l’apprentissage de la lecture (ONL, 1998). Les programmes officiels indi- quent d’ailleurs clairement

de mots construits avec les éléments du code appris. Activités nombreuses et fréquentes sur le code : exercices, « jeux », notamment avec des outils numériques, permettant de fixer des correspondances, d’accélérer les processus d’association de graphèmes en syllabes, de décomposition et recomposition de mots. Utilisation des manuels ou/et des outils élaborés par la classe, notamment comme aides pour écrire. Comprendre un texte (lien avec l’écriture) » Mobilisation de la compétence de décodage. »

communiquent la forme d’une unité lexicale. Dans le cas de la transcription il s’agit de substituer à chaque phonème de la lange source un graphème de la langue cible, et dans le cas de la translittération , de trouver dans le système d’écriture de la langue cible des graphèmes similaires pour les remplacer dans la langue source. Ce procédé n’est pas employé dans les textes de notre corpus, et le nom du produit y est toujours

L’exactitude fait référence à la capacité du lecteur à identifier des mots écrits le plus exactement possible : un lecteur habile aura un haut taux d’exactitude (Kuhn, 2008; Torgensen, Hudson, 2006). Il s’agit de la conversion la plus exacte des graphèmes en phonèmes (Ellery, 2009). Elle se mesure en comptant le nombre de mots lus correctement par rapport au nombre total de mots dans le texte pour établir le pourcentage d’exactitude. Pour bien comprendre un texte, l’élève doit être capable de

la durée des pauses). Si la prosodie d’un locuteur réel est recopiée sur la voix de synthèse, le résultat obtenu est sensiblement meilleur. En effet, l’impression de naturel et son intelligibilité s’améliorent. Transcription graphème-phonème Le but de la transcription graphème-phonème est de passer du texte orthographique (plus ou moins traité par le module précédent) à une suite de symboles phonétiques. Plusieurs niveaux de connaissances sont pris en compte : phonétiques, phonologiques, lexicales